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Fiodor Dostoïevski

Auteur

Russie Né(e) le 1821-11-11
Russie 1881-02-09 ( 59 ans )
2 372 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par bioki 2011-06-09T19:17:53+02:00

Biographie

Dostoïevski naquit en 1821 à Moscou à l’hôpital où son père était médecin. Il eut une enfance maladive et une jeunesse difficile. Nommé ingénieur militaire en 1840, il démissionna en 1844 pour se consacrer à la littérature.

Il publia avec succès un court roman « Les Pauvres gens », mais, impliqué dans une conspiration, il fut déporté politique durant quatre ans en Sibérie.

Gracié par Alexandre II, il revint à Saint-Pétersbourg dans un état de santé délabré et des crises d’épilepsie, expliquant son besoin de solitude et son caractère sombre. Il épousa en 1861 une veuve Mme Issaïew, dépensière et joueuse.

Il publia son récit de captivité « Souvenirs de la maison des morts » , puis son chef d’œuvre : « Crime et châtiment », au succès considérable.

Son épouse décédée, il se remaria avec sa jeune secrétaire, femme intelligente et collaboratrice de son œuvre, même après sa mort.

Il voyagea durant plusieurs année en Europe, et publia d’autres grands romans : « Les Possédés », « Les Frères Karamazov », et « L’Idiot ».

De retour en Russie et accueilli avec enthousiasme, il y mourut en janvier 1881.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 7.6/10
Nombre d'évaluations : 769

2 Citations 284 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Fiodor Dostoïevski

Sortie France/Français : 2015-10-07

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par inoshizu 2024-02-05T11:40:40+01:00
Le Joueur

Me voilà pour parler de l’histoire d’un homme prêt à s’anéantir, s’humilier et s’écraser pour une femme, en bref, un homme en proie à un amour dévastateur et ardent. A la charnière entre le romantisme à la française et le fatalisme russe, quel bonheur de lecture ! Le fait que beau-coup de personnages de l’intrigue ne soient pas russes créer une espèce de choc des cultures, et permet d’excentriques comparaisons, qui exacerbent et font ressortir la spécificité (parfois le ridicule) de chacun. Et puis j'aime tellement le portrait de l'homme russe qui y est dépeint : cy-nique et résigné mais en même temps si enthousiaste et jovial, presque enfantin. Il est vrai que les Français en prenons pour notre grade, mais c'est avec justesse (je crois) que Dostoïevski dé-peint le français arrogant et égocentrique, là où le russe apparaît plus simple d'esprit, mais plus humain. Et pourtant, ni le russe, ni le français ne sont complètement épargnés par l’ironie de l’auteur, puisque tout au long de ce récit, tous les personnages tombent peu à peu dans la dis-grâce. Cela rend le tout plus familier, plus convivial, comme si nous suivions les aventures de personnages qui à force de malchances et railleries du destin avaient fini par constituer une es-pèce de grande famille. Outre les personnages, j’ai également remarqué une tension notable, qui règne quasiment du début à la fin. Tout ne tient qu'à un fil, et à maintes reprises, le lecteur n’a d’autre choix que de ressentir l'euphorie du jeu. Euphorie qui d’ailleurs, est bien souvent mise en parallèle avec les chagrins de l’amour. Les passions d’Alexis l'ont mené à sa perte, et même quand il y voit une salvation, il est déjà trop tard. Dostoïevski est un maître dans l'art de sonder les cœurs (sonder son propre cœur, en fait) et dans la compréhension des psychoses sentimen-tales, et il est incroyable de se dire qu’il écrit ce livre alors qu'il est lui-même profondément plongé dans ce vice. Il sait pertinemment que ce jeu le mènera à sa perte et pourtant il joue en-core. Cela démontre bien une incapacité de s'en débarrasser, tout comme l'amour. « Les vrais avares ne jouent pas. Les vrais joueurs n'aiment pas l'argent ». Je salue au passage l’effort de traduction d’André Markowicz, qui n’a pas cherché à alléger la lourdeur de certaines paroles parfois bien trop répétitives, en retranscrivant ainsi à merveille le poids du désespoir de notre personnage. Il en va de même pour les dialogues, sans quoi le roman n'est rien. La présence et les paroles des autres donnent du sens au roman, et ajoutent souvent au malheur de notre per-sonnage principal. La fin elle-même n’a pas été atténuée et ne laisse entrevoir rien de bon.. Mais comment aurait-il pu en être autrement venant de notre cher Dostoïevski ? Le fait qu’il ait dicté cette œuvre (qui plus est à sa propre femme !) ressemble à une confession, et pas à un ré-cit, surtout lorsqu’on sait qu'au moment d’achever ce roman, il avait le même âge que son per-sonnage principal. Je me répète, mais comment ne pas se sentir plus proche à la fois de l’auteur et du narrateur après ça ? De fait, le fait d'imaginer qu'Alexis est en fait le reflet de son auteur me fait - comme d'habitude, si je puis dire - le prendre davantage en affection. Cet homme si énigmatique se décrirai donc comme un être faible et esclave de ses passions ? Quel effort d’introspection, tout de même ! Cette vision de l'homme tourmenté et profondément sombre, Dostoïevski l'avait très jeune, et je commence à me dire que j'aimerais beaucoup lire ses œuvres dans une certaine continuité, et dans l’ordre de leur parution, pour parvenir à comprendre et suivre l’évolution de sa réflexion sur l’Homme… Vraiment, quel auteur, et quelle joie de me dire, chaque fois en refermant un de ses livres « voilà pourquoi cet homme est mon auteur préféré ! »

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Commentaire ajouté par gwenole-180 2024-02-19T19:42:05+01:00
Les Carnets du sous-sol

Une analyse d'un personnage nihiliste doublé d'une ranceur envers autrui. C'est d'une description minutieuse, qui est d'actualité surtout dans des périodes de réflexion intérieure intense. C'est un symptome d'un surplus d'analyse personnelle qui finit par être psychotique.

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Commentaire ajouté par u5er 2024-02-24T14:53:41+01:00
Les Carnets du sous-sol

je pense que j’aurais pu apprécié davantage ce livre si j’avais compris la première partie…

Sinon c’était une très bonne lecture, j’ai bcp aimé entrer dans les pensées du personnage et suivre ses réflexions tout en assistant à des flashbacks dans la 2e partie (qui était plus « rythmée » donc plus facile à lire)

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Commentaire ajouté par nightcore2626 2024-02-27T14:32:25+01:00
Les Pauvres Gens

Le titre suffit.

Makar Dievouchkine était bien trop innocent et gentil pour Varvara. Si dans le résumé, leur amour était présenté comme égal, on se rend vite compte à la lecture qu'il est asymétrique, et plutôt que romantique, il prend un tour assez filial.

Varvara, parfois attendrissante (notamment lorsqu'elle dit que Makar ne peut pas la nourrir de bonbons, ou lorsqu'elle raconte son enfance avec sa famille), utilise, manipule, s'amuse avec les sentiments de Makar afin de profiter de lui - Dostoïevski n'en dit rien, mais on le comprend.

Ils vivent tous deux misérablement, et pourtant, Makar n'hésite pas à se sacrifier et à s'enfoncer plus encore dans la pauvreté pour pouvoir lui apporter à elle de quoi mieux vivre.

Et lorsqu'il finit ivre dans les escaliers de son appartement, lorsqu'il n'a plus un sous, lorsqu'il est effectivement au plus bas de cette misère et lorsque tout le monde le déteste, elle aussi, le trouve embarrassant et laisse penser qu'elle ne veut plus de lien avec un ivrogne misérable. Les silences parlent à la place des lettres. La longueur et le nombre de lettres de chacun elle aussi est singificative : plus on avance, plus les lettres de Varvara se font courtes et se raréfient.

La misère est dans les vêtements et chaussures, les appartements, le dehors, dans les commerces, chez les voisins. Tout inspire la misère.

Mais peut-être que le plus misérable, c'est bien ce lien que Makar pensait avoir et entretenir avec Varvara, alors qu'il n'en était rien.

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Commentaire ajouté par Corvus_Lusor 2024-03-18T10:49:22+01:00
Crime et châtiment

Un jeune homme, se basant sur une idéologie toute personnelle, assassine une usurière en faisant une victime collatérale. Puis c’est l’état de choc auquel se mêle l’angoisse d’être pris, ce qui génère chez lui un comportement erratique qui inquiète ses proches. Voilà, en gros. Ça se lit pas trop mal, mais j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs, des scènes qui, si elles ont leur intérêt, suscitent un certain ennui. Les personnages sont corrects mais n’ont pas assez de place pour se développer au milieu des errances de Raskolnikov. Ce qu’on retient surtout, c’est un instantané de la société russe de l’époque, en particulier des gens modestes, où la pauvreté se mêle à l’alcoolisme et la promiscuité, ce qui n’est pas exactement mon type de lecture préféré.

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Commentaire ajouté par Noemie25 2024-04-11T14:41:02+02:00
Crime et châtiment

C'est un roman à lire une fois ou plusieurs fois dans la vie. Vraiment addictif. Dosto c'est de l'art

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Commentaire ajouté par hectorio 2024-04-22T19:42:38+02:00
Crime et châtiment

Oeuvre complète. Elle fait le grand écart des extrêmes. Triste à en pleurer, drôle à mourir de rire. Cette oeuvre emprunte de chasteté découvre toute la complexité de la vie.

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Commentaire ajouté par layn 2024-04-23T14:59:44+02:00
Les Nuits blanches

Chouette livre mais ça reste de la littérature russe, aka, des phrases extrêmement longues et dont il faut trois jours pour déchiffrer le sens, des contextes assez aléatoires et dramatiques gratuitement et des personnages qui ont plus de prénom que de joie de vivre.

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Commentaire ajouté par plume-1279 2024-05-12T15:09:31+02:00
Crime et châtiment

Certainement l'un des meilleurs livres, je le recommande très fortement.

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Commentaire ajouté par nightcore2626 2024-05-14T10:55:15+02:00
Le Double

À mesure que le personnage, Monsieur Goliadkine semblait Spoiler(cliquez pour révéler)sombrer dans la folie, je perdais moi-même la raison. Pas la meilleure idée que j'ai pu avoir, de lire CE livre dans le métro qui me rend schizophrénique.

On ne comprend pas bien pourquoi il agit comme ça ; au départ, il semble juste souffrir d'une sacré anxiété sociale "je le salue ? je le salue pas", "je fais croire que je suis quelqu'un qui me ressemble en tout point" Spoiler(cliquez pour révéler)prolepse, foreshadowing du double ici

Quand le premier vrai dialogue survient entre son médecin et lui, là, on comprend bien qu'il est complètement touché mentalement, le pauvre.

Il inspire la pitié parce que, sans se mentir, il pue la lose. Il fait pitié. J'ai jamais ressenti ça pour un personnage de fiction, mais lui... C'est une autre affaire tellement qu'il est lamentable dans ses agissements, sans que ce ne soit totalement de sa faute.

Ce qui fait le plus de peine, c'est bien que personne dans son entourage ne lui vient en aide.

La vraie question, ce serait aussi de se demander Spoiler(cliquez pour révéler)est-ce qu'il imagine son double, ou est-ce qu'il existe vraiment ?.

Bref, il est bon pour Sainte-Anne. Et en plus, il est raciste envers les allemands, ce qui expliquerait la Spoiler(cliquez pour révéler)dernière phrase écrite d'un accent allemand comme si c'était un cauchemar. Ouais, il a mérité sa place à l'asile, parce qu'il a vraiment rien pour lui.

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On parle de Fiodor Dostoïevski ici :

5 résolutions de lecteur pour 2019 !
2019-01-15T19:02:33+01:00

Dédicaces de Fiodor Dostoïevski
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Editeurs

Actes Sud : 25 livres

Gallimard : 17 livres

LGF - Le Livre de Poche : 7 livres

L'Archipel : 3 livres

Plough Publishing House : 3 livres

Omnibus : 2 livres

Henri Béziat : 2 livres

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