Commentaires de livres faits par Anabelle22
Extraits de livres par Anabelle22
Commentaires de livres appréciés par Anabelle22
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— Oui. Je suis formelle. On n’est rien qu’entre nous. »
À ces mots, Kelly pousse un rugissement si tonitruant qu’il fait vibrer mon casque comme un tocsin :
« Quelle mégasalope ! Quelle enfoirée cosmique ! Je t’en foutrais, moi, des abeilles gardiennes ; Serena n’est qu’un vieux cafard baveux, comme ceux qui ont clamsé dans le septième habitat, et le jour où la Terre l’apprendra, ce sera comme une gigantesque godasse qui l’écrasera en faisant un bruit bien dégueulasse ! »
Kelly pousse un soupir d’aise en faisant sauter sa ceinture de sécurité.
« Ah ! Ça fait un bien fou ! soupire-t-elle. Rien que pour avoir pu pousser cette petite gueulante hors caméras, ça valait le coup de se planter ! Quand vous voulez, les filles. On devrait se magner, tant qu’il fait encore jour… »
Il avait vu rouge et avait oublié le respect qu’il devait à sa supérieure hiérarchique ; du moins en pensée. Il n’était pas idiot et savait ce qu’il risquait s’il allait verbalement trop loin avec sa dirigeante.
C’est pourquoi il avait bien veillé à abaisser ses défenses mentales pour que son interlocutrice puisse capter ceci :
- Et qui ressemble à une adolescente à peine pubère ?! Vous avez eu de la chance de ne pas traverser tous ces siècles avant ma naissance avec de l’acné sur la figure !
- Misérable ! Je vais te faire ravaler ta langue et tes crocs avec, éructa-t-elle après avoir laissé échapper un cri de rage qui avait stupéfié toute l’assistance.
Il s’était contenté de lui offrir son sempiternel sourire narquois, heureux d’avoir touché le point sensible. Blodwyn avait été figée entre ses seize et ses dix-sept ans et n’aurait jamais l’allure d’une vraie femme et il était de notoriété publique qu’employer le mot « adolescente » pour la désigner pouvait valoir un séjour aux cachots ou un aller simple vers l’Enfer. Phoenix était décidément un spécialiste pour appuyer là où ça faisait mal, instruments de torture ou non et ces derniers temps, il devait admettre qu’il y prenait même un plaisir malsain.
- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, je n’ai rien dit, Blodwyn. Tout le monde peut en attester.
“If you bite me, I will bite you back, Demon.”
“What makes you think I won’t consider that foreplay?” he asked, raising a brow high on his forehead.
“Is that all you think about?” I asked as his lips turned up, and a devilish smile splayed across his mouth.
“I think about tying my females up, making them scream, and beg for more. I also like hot wax and long walks in the sand. Does that count?” he asked with heat burning in his eyes as he said it.
“Kinky fuckery, Demon. Keep that shit to yourself.” I laughed and shook my head at him.
“I like it. What can I say? It does it for me.”
“We brought fruit back after our first trip to Washington. We purchased seeds, and brought them back to plant. Faery soil is unpolluted like yours. They came up like this, and the juice and taste are far superior to the fruit I tasted there.”
I winced when he had said which state I was from. I missed home already. I chewed my bottom lip and glanced up to catch him staring at me. This had been a stupid idea. I should have just gone to bed and stayed there.
“Here,” he said and held one up. I moved my hand to take it from him, but he held it away.
“What the hell?”
“Let me feed you,” he grumbled.
“I'm pregnant, not disabled, Fairy!” I sputtered.
“I know that"
“Then why the hell can’t I feed myself!?” I shouted.
“Because, I’m trying to be romantic!” he growled and scowled.
“Oh,” I whispered, shocked as I backed up an inch. “Why?”
“Does it matter why?” he grouched.
“No, I guess not.”
What.
The.
Hell!?
“Danu,” he whispered.
“I told you that I would come when needed, oh ye of little faith,” she smiled, and I found myself wanting to touch her.
“I have faith, Danu, but I’m not sure it’s always well placed.”
Oh hell no. I shook my head to dispel the urge.
“Where have you brought us?” he asked.
“To the maze of warriors,” she replied easily. “Or, as the Dark Fae of old called it, the labyrinth.”
“We came for the relic,” Ristan pointed out.
“You think I wouldn’t know that? I’m the one who brought you here.
— Je n’en crois pas mes yeux ! m’exclamai-je en portant la main à mon front. Neil, à l’avenir, essaie d’être plus précis lorsque tu utilises le mot « maison ».
— Pourquoi ? rétorqua Neil, d’un ton presque vexé. C’est ma maison. Je t’avais prévenue qu’elle était grande.
Grande ? Non, ce n’était pas le bon mot. « Tentaculaire » conviendrait mieux. Voire même « gargantuesque ». Si on penchait la demeure sur le côté, j’étais persuadée qu’elle toucherait la lune.
L’architecture semblait mêler des éléments gothiques à un style de châteaux français avec ses toits pointus et sa lignée de chiens-assis au troisième étage. L’ensemble était parfaitement symétrique, depuis les deux tourelles carrées érigées à chaque extrémité des ailes jusqu’aux plus petites et rondes qui marquaient le centre de la propriété. Entre le jaune pâle des murs et le gris des toitures, l’endroit faisait penser à un mélange fantasmagorique entre Poudlard et le manoir de la famille Addams.
Une quinzaine de citations comiques de la série télévisée Downton Abbey me vinrent à l’esprit.
En sortant de la voiture, je remis mes ballerines. Les grandes portes d’entrée semblaient capables de résister à l’attaque d’un bélier médiéval.
— Si ce n’est pas La Chose de la famille Addams qui nous ouvre la porte, je risque d’être très déçue, déclarai-je en sifflant devant l’imposante demeure.
Pendant le décollage, j’ai serré la main de Neil aussi fort que j’ai pu, mais dès que nous fûmes stabilisés dans les airs, le vol se révéla calme. Je bâillai à plusieurs reprises pour me déboucher les oreilles, et Neil me proposa un chewing-gum. Je l’acceptai avec plaisir.
— Au moins, ce jet est plus silencieux qu’un 747. Je déteste avoir les oreilles bouchées avec un vacarme assourdissant en toile de fond. On n’entend rien et on a la sensation d’avoir un sac sur la tête.
— Le pire, ce sont les décollages et les atterrissages.
Tandis qu’il se passait la main dans les cheveux et sur le visage, je remarquai que Neil était pâle comme un linge.
— Je trouve que tu as plutôt bien maîtrisé ta peur.
Ou sans doute étais-je trop paniquée moi-même pour remarquer son angoisse.
— Disons que je m’efforçais de me contrôler parce que toi aussi tu avais peur.
Puis il éclata d’un rire gêné et ajouta avec un terrible accent du Sud :
— Je dois être fort pour ma poupée.
J’entrai dans son jeu, me pâmant d’admiration, la tête posée sur son bras.
— Oh, mon héros.
— C’était prévu, on en a parlé en début de semaine, répondit la jeune femme, puis elle me sonda du regard. Visiblement, tu avais d’autres choses en tête.
— Tu devais venir le vingt-neuf, affirma-t-il, comme si le seul fait de prononcer la date pouvait nous sortir de cette affreuse situation.
— Non, c’était le vingt-huit, corrigea Emma en portant la tasse à ses lèvres. Puisque Tony n’est pas venu me chercher à l’aéroport, j’aurais dû me douter que tu t’étais trompé de date. Encore une fois.
— Hum… (Neil s’éclaircit la voix.) Quand est-ce que tu es arrivée ?
— À peu près au moment du « Je veux que tu me baises ».
Avec du recul, je me dis que j’aurais pu répondre : « Tout va bien » ou « C’est juste ta fille », mais une seule pensée m’obsédait : il allait se précipiter dans la cuisine tout nu avant que je n’aie le temps de le prévenir. Être là devant Emma, seulement vêtue d’un pull trop grand, c’était déjà assez humiliant. Prise d’une panique hystérique, je lui ai donc hurlé :
— Enfile un pantalon !
— Oh, adorable. Merci beaucoup, lança Emma avant de reporter son attention sur le magazine ouvert en face d’elle.
– Si tu continues comme ça, il va y avoir des conséquences.
– Et ce sera une punition ou une récompense pour t’avoir épaté ?Son visage s’adoucit quelque peu, et il rit.
– Je n’ai pas encore décidé. Je n’arrive pas à penser.
Je frissonnai par anticipation.
– Je suis impatiente de le découvrir.
- Oui.
- Qu’avez-vous répondu ?
- La vérité.
- Vous leurs avez dit que je vous ai ridiculisé au Kick-boxing, dis-je en fronçant les sourcils.
Il rit
- Non, j’ai dit que j’avais repris l’entraînement et que j’étais tombé sur plus fort que moi
Je suis coupée dans mes réflexions par le chauffeur qui me demande mon adresse, je pourrais être polie, lui faire la conversation, lui demander son nom, mais je lui en veux encore d’avoir faillit m’écraser.
Charles gare la voiture.
Oui, j’ai fini par lui parler. J’ai appris qu’il est marié, il a deux filles de 17 et 19 ans, il adore le camping avec sa famille et est très fier de ses filles
He squeezed me tight, “They love you, I can tell and it doesn’t matter what they think about our relationship, I love you for all that you are, nothing less, and for the record, I think you’re a beautiful disaster.”
— Comment as-tu pu penser à emporter un plaid avec toi ? Tu sais que tu m’impressionnes, lui dis-je d’un ton taquin.
— Eh bien, je savais que tu aurais envie de t’asseoir dehors après le déjeuner, alors même s’il fait à peu près moins quarante degrés et que je suis tenté de m’enrouler dedans…
— Tu es un saint, affirmai-je en l’embrassant tendrement.
— Pas vraiment, non. Maintenant que tu es cachée sous cette couverture, nous pouvons faire tout un tas de cochonneries sans que personne ne s’en rende compte, me répondit-il en glissant ses mains sous mon pull.
Je pouffai de rire en essayant d’échapper à ses mains glacées et l’embrassai encore. Il se mit à me chatouiller impitoyablement, puis doucement changea de rythme et commença à me caresser en descendant lentement vers mon ventre.
Quelqu’un se mit soudain à tousser, non loin. Nous levâmes les yeux et découvrîmes en même temps… ma mère. Elle se tenait là, juste devant nous. En un éclair, Harry retira sa main de sous mon pull.
Aidan raised his eyebrows as a slow grin spread across his face. “Actually, I was just going to tell you that you have a little mustard on your cheek. Right there.” He pointed at my left cheek, and my entire body burned red and splotchy. There was no containing this embarrassment.
I took a step back, my eyes on anything but him. “Oh, right. Thanks.” I swiped at the spot and glanced down at my hand, but nothing came away. I started to go for it again, when he stood and slowly walked toward me. My heartbeat sped up with each step, and then he reached out and ran his thumb across my cheek, sending a surge of tingles from my cheek to my toes. I wanted to look out into our office, check to see if others could see us, but I couldn’t bring myself to look away from him. And then he lifted his thumb to his mouth and licked away the mustard, and holy. Hell. My already-heated body burst into flames.
He held my gaze as his arm dropped back to his side. “And it is a big deal. To me. It’s all I can think about.”
“I did fix you, but you were dead. Give me some credit,” Apollo said.
I jumped, smacking my hand on my chest. Apollo sat on the edge of the toilet seat, one leg crossed over the other.Beside me, Aiden bowed stiffly. “My master.”
“Oh, my gods,” I said. “Seriously. Are you trying to kill me again by giving me a heart attack?”
“I had some… unanswered concerns about the night Alexandria left the Council,” Telly replied. “At first she was not very cooperative when it came to the questions, but I do believe we worked out an understanding. After that, she was surprisingly helpful.”
Yeah, he worked it out on my face.
— Princesse a tout l’air de vouloir rentrer, comprit Benjamin. Il faut dire que le retour d’hier soir n’a pas été une balade de santé…
C’est un doux euphémisme de le dire, je te rappelle que tu t’es fait tabasser dans les règles de l’art. Les choses auraient pu mal se terminer si la vieille femme, cette Morgane, n’était pas intervenue pour mettre le holà. Alors moins longtemps on s’attardera ici, mieux ça vaudra !