Farah Anah

☆ L’histoire : Au début, j’avais l’impression que c’était l’histoire de Rebel University et The Bucket list mis ensemble. J’avais dû mal à me plonger dedans parce que je comparais trop l’histoire avec les 2 autres, il y a énormément de similitudes. A partir du moment où j’ai arrêter de comparer ces histoires, j’étais plongée dedans.

☆ Les personnages : Quinn est vraiment une Queen, elle sait ce qu’elle veut ou ne veut pas. Elle sait ce qui l’a comble ou pas. Elle a pas peur de dire la vérité même si ça blesse, de sortir les crocs et les griffes pour se faire respecter et écouter. Elle est déterminée dans sa vie professionnelle mais également dans sa vie personnelle.

☆ Les personnages : West est trop chelou, je suis désolé de le dire, mais vraiment il dit des trucs trop gênant et qui me répugné un peu et dont j’étais en mode « Hein ?! 🥴 ». Déjà, pour commencer, à partir de quand t’es en kiffe sur une meuf qui sort avec un pote à toi. En plus t’a pas honte de le dire, de vouloir un plan à trois avec elle et ton pote 😑C’est la première fois, que j’aime pas un personnage dans un livre, je suis déçue un peu.

~ Tropes :

• Ennemi to lovers

• Féminisme

• Campus

• Sportif

• Fraternité

• J'avais vraiment hâte de retrouver toute la bande de HHU, avec cette fois notre turbulent West Reed ! Le profil type du quaterback qui fait baver toutes les filles (ou presque) et qui en profite 🤭

Si ce genre de protagoniste masculin à tendance à me faire ni chaud ni froid habituellement, j'ai retrouvé en West quelqu'un de fiable sur qui son entourage peu compter, un homme honnête, qui arrive à se remettre en question, un homme courageux bien qu'un peu trop par moment 🤣🫣

Et surtout, avec un humour que j'adore !

Donc West restera un de mes quaterback favoris, merci Farah !

• Et puis la petite nouvelle du groupe, Quinn, telle une tempête va ravager le petit cœur de notre West.

Quinn c'est LA femme indépendante, engagée, féministe ++ avec un caractère bien trempé, c'est vraiment un personnage que j'ai appréciée découvrir dans sa globalité !

On pourrait penser que tout oppose Quinn et West, mais j'ai remarqué chez eux deux leurs tendances protectrices et leurs actes si bienveillants envers leurs proches.

À leurs manières, parfois maladroites, ils ont su capter mon attention et me toucher ❤️

• Comme pour Lexmo (le 1er tome sur un autre couple de High Hills University) j'ai adoré les personnages secondaires, j'ai été très heureuse de retrouver Zach et Leyah (West pas touche à Leyah, on a dit 🤣).

Et j'ai hâte de découvrir celui de Liam, mon petit chouchou 🥹

• Bravo à Farah pour toujours avoir cette capacité à se glisser dans la peau d'un personnage avec autant d'aisance !

Et merci pour cet agréable moment de lecture pleine de douceur et fraîcheur ❤️

L’histoire est bien c’est original on a pas l’habitude de voir ce genre de relation. Mais je m’en suis lassée, Ava n’a pas vrm de but dcp on suit l’histoire mais y’a pas d’enjeux, à part se demander qd la darone va les cramer. Après l’écriture est bien les passages où ils sont intimes est super bien retranscrit j’ai aimé.

Pour final dire que je me suis arrêtée à la page 133 car je n’arrive plus à continuer de lire, ce n’est sûrement pas un livre coup de cœur mais plein de passages sont drôles

Pour commencer il faut que je donne le contexte de ce commentaire. Je ne lit pas de dark romance (mes quelques essais m'ont convaincu que ce genre n'était pas pour moi).

Quand j'ai lu la quatrième de couverture je me suis dit: un livre dans la même veine que Les larmes de Sael ou La reine sans couronne de LC Blake où le sauvage n'est finalement pas le "méchant " de l'histoire. Rien dans le résumé, ni sur le site d'achat, ni en prologue du livre ne m'a averti que c'était de la dark romance.

A mon sens ce livre prône la banalisation du viol. Tous les personnages féminin y passe et leur sentence finale "aucun camp n'est meilleur que l'autre c'est la loi du plus fort" me laisse très mal à l'aise. Même la relation entre les deux héros me donne un sentiment de malaise.

Je peux comprendre que l'histoire plaise mais je reproche à l'auteur de ne pas mettre ses lecteurs en garde sur les thèmes abordés et surtout la façon dont ils vont être aborder.

Énorme coup de cœur pour ce roman avec lequel je découvre la plume de Farah Anah. J'avais déjà vu quelques retours plus que bons sur ce livre, et c'est à mon tour de venir faire son éloge - ou tout du moins essayer parce que ça ne va pas être facile d'exprimer à travers des mots la façon dont ce roman m'a envoutée, captivée, et faite vibrer comme très peu d'autres réussissent à le faire. Je tire sincèrement mon chapeau à l'autrice pour l'écriture de cette masterclass. Au-delà d'être une Dark Romance, j'admire totalement la façon dont elle explore la psychologie de ses personnages, et puis j'adore sa plume poétique qui met des images criantes aux moments intenses, et fait naître des émotions qui vous tord les tripes et vous prend au cœur. Soyez sûr qu'une fois ce roman commencé, il sera très difficile à lâcher.

A travers les yeux d'Ava et d'Imrel, on plonge progressivement dans un univers où les odeurs sont le maître mot de toute l'histoire, et où les sensations olfactives vont être les maîtresses des sensations vécues par les personnages. Impossible de ressortir indemne de cette lecture sans remettre en cause quelques perceptions du monde, et de se dire : "mais oui, c'est évident !"

Ava est un personnage féminin attachant. Elle possède ses propres démons, ses propres terreurs et des fragilités touchantes qui font d'elle quelqu'un de fort et de courageux. Le divorce de ses parents marque le début de son enfer personnel, et bien que huit années se soient écoulés depuis lors et qu'elle maintient au mieux sa tête hors de l'eau, on sent très vite que cet événement a laissé des stigmates aujourd'hui invisibles à l’œil nu. Ses vacances en Toscane sont l'occasion pour elle de rendre visite à sa famille maternelle, mais aussi de se confronter à sa mère et Imrel, son beau-père, celui qui a foutu en l'air toute sa vie, et de faire la connaissance de sa petite sœur Pia.

Au fil des jours qu'elle va passer à la Villa Lavanda, on va regarder Ava tomber petit à petit dans les filets d'Imrel. Si elle-même tente tant bien que mal de faire front et d'alimenter sa haine envers cet homme qui est la cause de tous ses maux, elle sent bien que la situation lui échappe et que malheureusement, elle ne peut absolument pas lutter contre le magnétisme puissant du Parfumeur.

Imrel est... obsessionnel. Il dégage un mystère et une fascination hors du commun, et il est extrêmement difficile de lui résister. Et son physique avantageux ne gâche absolument rien au paysage :'-D J'ai été envoûtée et captivée par la façon dont il se distille petit à petit dans l'esprit d'Ava, la manière dont il la manipule pour lui faire adopter sa façon de voir - ou plutôt de sentir - le monde. C'est bien simple, il n'exerce pas uniquement une influence sur le personnage féminin de l'histoire, mais aussi sur le lecteur. À peine ai-je commencé à le découvrir que j'ai désiré tout savoir de cet homme. Il initie Ava aux plaisirs des sens, en même temps qu'il tente de percer le mystère de son odeur. Il lui voue une véritable obsession, et au fur et à mesure que j'ai découvert les origines de tout ceci, j'ai eu mon cœur qui s'est mis à battre à mille à l'heure, et j'ai fini mordu en un rien de temps pour le dire.

La relation qui s'instaure entre Ava et Imrel est intense, puissante d'une alchimie malsaine que je me suis plu à adorer. L'interdit fait peser une ambiance sombre dans le paysage, lourde aussi, voire même étouffante à l'image de la chaleur toscane en plein été. Il est certain qu'Ava ne ressortira pas indemne de cette histoire. Ses attentes sont complètement différentes de celles d'Imrel. Elles ne pourront jamais se conjuguer. Et honnêtement, j'ai eu très, très peur tout le long de ma lecture parce que je ne savais pas du tout ce que Farah Anah allait nous réserver comme fin à cette histoire. Cette crainte s'est mêlée à l'obsession à tel point que j'ai sauté à pieds joints dans l'histoire sans savoir si mon cœur allait finir en 18 000 morceaux ou peut-être un peu plus indemne que je ne l'aurais cru.

Ton parfum est un roman anticonformiste qui va remettre en question pas mal de valeurs morales. On se rend très vite compte qu'Imrel ne fonctionne absolument pas comme tout le monde, et il ne tient qu'à nous de pouvoir moduler notre esprit pour comprendre sa façon d'être. Il est aussi dérangeant et malsain, et pourtant... et pourtant... j'ai aimé ça ! Farah Anah manipule les déviances psychologiques de ses personnages à la perfection. Elle les exploite à tel point que mon cerveau a surchauffé. Et puis, les révélations... Est-ce qu'on parle deux secondes des révélations ?! Je n'ai rien vu venir ! Tout est tellement bien plus profond que ce qu'on peut penser. Comme j'ai pu lui dire "ou c'est de la folie, ou c'est du génie". Et je pense que les deux ne sont pas une mauvaise combinaison.

N'hésitez pas à vous laisser séduire par ce roman si vous n'avez pas peur de voir votre esprit malmené afin de laisser vos sens prendre le dessus sur votre perception du monde. Vous n'en sortirez pas indemne, mais si vous avez l'esprit ouvert, ne passez pas à côté de ce bijou de la dark romance.

Sanaé m’impressionne par sa force physique mais surtout psychologique, elle traverse les batailles en ressortant toujours plus forte.

Leith est très orgueilleux et toujours très cruel, ce sentiment de vengeance le domine.

Ils ne cessent de s’affronter, Leith doute de Sanaé et même de ses sentiments, son côté jaloux et possessif lui fait tout remettre en question. Le châtiment que Leith choisi est extrêmement douloureux. C’est un amour qui détruit et fait souffrir.

Nous sommes face à des atrocités, aucun répit et notre cœur est malmené. J’ai eu des gros moments de stress et d’espoir selon les parties du livre.

C’est une duologie particulière qui ne peut pas plaire à tout le monde, mais moi j’ai vraiment beaucoup aimé. L’écriture de l’autrice y est pour beaucoup je pense, j’aime la façon dont elle amène les choses.

J’ai toujours beaucoup d’empathie pour le personnage de Sendrik que j’adore.

MAIS POURQUOI JE N’AI PAS LU LEXMO ?! Rassurez-vous je rectifierai cette erreur très rapidement et tout ça grâce à Queen! Un grand merci aux éditions et à Diboux pour l’envoi de cette merveille autant visuelle qu’intellectuelle 🫶🏻.

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La globalité du roman est concentré sur les jeunes fêtards dans un campus universitaire où alcool et drogues sont religions mais pas que ! Farah Anah a mis plein de thèmes sérieux dans ce livre et qui touchent un grand nombre d’entre nous. Il est question de body positive, de girl power, d’amitié, de confiance, de reconstruction et d’amour.

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Quinn m’a, au départ, un peu désarçonné avec son féminisme carabiné. Mais au fil des pages j’ai vu son combat et sa détermination à aider les femmes sous ses posts chocs. WeRqueens nous le rappelle si on doute. Son personnage casse les codes pour mon plus grand plaisir. Plaisir doublé quand j’ai découvert West Reed. Queutard mais pas que ! Sous ses airs joyeux et profiteur de la vie se cache aussi un mal-être et un désir d’être digne de ses parents.

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La romance prend vraiment son temps (bon l’auteure n’est pas connu pour écrire des petits romans) et j’ai apprécié qu’ils se découvrent, s’aident mutuellement. En plus de la romance, la relation fraternelle entre Quinn et Dolly boy était touchante. Je rencontrais aussi la joyeuse bande pour la première fois et c’est un coup de cœur.

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Queen c’est une romance universitaire mais porteuses de messages forts : une ode au melting-pot des cultures, des combats et des religions. Un message d’amour et d’amitié fraternelle, même sang ou pas. Et cette fin … Liam qu’as-tu fait ?!

Le livre se dévore.

La plume talentueuse de Farah Anah y est pour beaucoup.

Le trope campus, fraternité est toujours efficace. Mention spéciale pour celle qui découvre tout des plaisirs de la vie.

Cependant, je n'explique pas la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à Lexmo. Peut-être trop candide pour moi.

Le scénario est prévisible. Je pense que j'avais besoin d'autre chose au moment où je l'ai lu, mais il sera parfait pour ceux qui désirent plonger dans une romance universitaire légère.

Je ferme à peine le livre..

Un bijou !

Le meilleur slow Burn que j'ai lu jusqu'à présent. Alors bien sûr les sujets abordés sont tout sauf légers et très malsains prenez bien garde aux TW mais j'ai vraiment adoré cette lecture.. ouf !

Même si le début se met en place lentement c'est ce qui fait le charme de ce huit clos infernal à l'intérieur de ce manoir et de cette famille dysfonctionnelle, si vous hésitez ou ne savez pas quoi lire alors bordel foncez !

Seul bémol : ce langage soutenu à la limite du médiéval parfois, si lecture sur liseuse pensez à enclencher le dictionnaire 🤣

Après avoir découvert la plume de Farah Anah à travers Ton Parfum, il était évident que j’allais continuer dans ma lancée et allais découvrir un autre de ses romans dont j’ai beaucoup entendu parler. Faire les éloges de Loving Doll est loin d’être évident parce qu’encore une fois, l’autrice a réussi à me charmer par ses personnages à la psychologie déviante (toujours !) et à me captiver par les secrets les plus inavouables de la famille Von Gail. Sa plume poétique est envoûtante et m’a entraînée à travers les pages de cette Dark Romance qui a su me toucher au cœur et aux tripes, et me retourner le cerveau dans tous les sens.

A travers les yeux de Kai et Wolf, j’ai plongé dans les sombres secrets familiaux des Von Gail, mais aussi dans le lien profond et puissant qui uni nos deux personnages principaux. Offerte à Wolfgang à l’âge de onze ans pour remplacer sa petite sœur, une fillette sortie de nulle part, va devoir jouer un rôle : celui de Katharina Von Gail, décédée un an plus tôt, avec qui sa ressemblance est frappante. Prendre son identité, s’habiller comme elle, satisfaire les moindres caprices de son nouveau grand-frère, tout est mis en place pour ramener le jeune homme détruit dans le droit chemin qu’il a quitté depuis ce funeste jour. Elle n’a pas le choix. Malgré cela, dès les premières pages, on se rend bien compte que Kai a un passé mystérieux. Retrouvée vivante près des ruines d’un monastère ravagé par un incendie, on ne sait rien d’elle.

Distant et froid avec les membres de sa famille, électron complètement libre et indomptable, Wolf est un jeune homme brisé par le décès de sa petite sœur. Et lorsqu’on lui présente celle qui remplacera Katharina, c’est le choc. Comme si un clone pouvait la remplacer. Comme si les machinations de sa famille en vue de l’aider à faire son deuil étaient acceptables – réduire une fillette à être quelqu’un d’autre qu’elle-même… Pourtant, à travers les années, Wolf et sa poupée tissent un lien puissant et indissociable. La fascination et l’obsession qu’ils se vouent prennent des tournants différents au fur et à mesure que Kai grandit. Il est bien obligé de se rendre compte qu’elle n’est plus une petite fille, mais bien une femme. Et que si elle a adopté l’identité de Katharina, elle est aussi quelqu’un avec ses propres aspirations. Elle réveille ainsi ses plus bas instincts en même temps qu’il lui permet de s’ouvrir au monde et de quitter son enveloppe d’obéissance. Le nouvel aspect de leur relation est intense et puissant. L’alchimie est à la fois belle et malsaine, et je l’ai adoré. Leur possessivité respective est lourde et sombre comme l’ambiance qui règne au manoir des Von Gail. Leur désir l’un pour l’autre est impossible à combattre. Tout ceci a de lourde conséquence, et a fait palpiter mon cœur à plus d’une reprise, poussé par une montée d’adrénaline au fil des pages, et au fil des rebondissements.

Farah Anah nous maintient dans le mystère, elle étire ses révélations dans le temps afin de garder son lectorat en haleine. J’ai deviné certaines petites choses parce qu’elles m’ont semblé évidente, d’autres ont été des surprises de taille. J’adore la manière dont cette autrice fait carburer mon cerveau avec les mystères et les déviances psychologiques de ses personnages. Les scènes sont aussi puissantes qu’incroyables, c’est une véritable immersion dans un univers assez « huis clos » étant donné que la plupart de l’histoire se déroule au manoir. C’est une magnifique composition musicale où les premières notes sont discrètes et hésitantes pour finalement éclater dans un maelstrom de sentiments où se mêle l’amour, la colère et la peur ; avec quelques lignes d’apaisement qui permettent aussi de reprendre son souffle et où le soleil tente une percée dans l’atmosphère qui s’assombrie de plus en plus.

Loving Doll est une histoire qui ne laisse personne insensible, et qui m’a fait succomber pour deux personnages fascinants qui s’aiment d’une façon indescriptible et qui se place bien au-delà de l’Amour. Elle sort des sentiers battus, offre quelque chose d’inédit, d’original, de puissant, loin de tout ce qu’on peut lire en temps normal. Elle nous plonge dans les confins de la psychologie humaine, aussi bien dans sa beauté que dans sa noirceur. Le loup n’est pas forcément celui qui en revêt le masque. A nouveau, je ne ressors pas indemne d’une histoire de Farah Anah. Elle m’a laissé vidée. Le retour à la réalité a été un choc, il m’a fallu un moment pour quitter le manoir Von Gail et ses deux âmes sœurs prêtes à tout l’une pour l’autre, au point de repousser les limites de l’acceptable. Je ne peux que conseiller cette lecture à celles et ceux qui sont capables de moduler leur esprit pour vivre à 100% cette histoire à fond et se laisser transporter par sa mélodie.