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Commentaires de livres faits par Irene-Adler

Extraits de livres par Irene-Adler

Commentaires de livres appréciés par Irene-Adler

Extraits de livres appréciés par Irene-Adler

date : 29-12-2011 par x-Key
On l'appelait "la Rivière du Mort". Un jour, sur le haut cours, des Indiens Delawares avaient massacré un groupe de chasseurs de fourrures anglais. C'étaient des Anglais qui avaient baptisé la rivière.

Seule, sans aide aucune, la rivière se chargeait parfois de tuer, d'un revers de vague, dans le sursaut démonté d'une chute écumante.

Ce jour-là, elle était sage, parcourue dans ses maigres remous de pacifiques intentions. Elle avait retrouvé la chanson des printemps, et l'odeur, et les fous rires incontrôlables de la première saison. Cette chanson lui allait bien, même si les paroles ne venaient pas encore parfaitement, empêtrées dans des squelettes de glace, aux rives bourdonnantes.

Sur la rivière, le long canoë d'écorce glissait doucement, sans autre bruit que celui des pagaies frappant l'eau régulièrement. Il y avait deux hommes, à bord du canoë ; l'un pagayant "d'avant", l'autre "d'arrière". Entre eux, les ballots de fourrures de trois saisons de chasse.

C'était un printemps neuf. La première saison, celle des réveils et des retours. En 1740, peut-être...

Peut-être, car justement, ces hommes dans le canoë revenaient. Et, depuis trop longtemps, retirés hors de toute civilisation, dans le haut pays d'Ohio, et même plus loin encore ; ils ne savaient plus. Des retours tels que celui-là ont fameuse couleur... Ils ne savaient plus l'année exacte.

Cela n'avait guère d'importance.

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"On a réfléchi, et on s'est dit : quand c'est le Quatar qui rachète les musées, les plages privées et les clubs de foot, personne ne crie a l'invasion arabe. Tout le monde est content. Donc ce ne sont pas les étrangers qui font peur, ce sont les étrangers PAUVRES. Les survêtements, les vieux anoraks, les tentes, les sacs plastiques..." (p. 20)
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- Avoue que c'est rageant ! C'est Errol qui a tout organisé pour qu'on se retrouve au stade ! Il nous a eu des places VIP, avec accès aux loges, et tout et tout ! Et au dernier moment, ils le laissent pas monter dans l'avion à cause de toutes ses prothèses !
- Faut les comprendre. Errol, c'est un peu le chaînon manquant entre l'homme et la machine infernale. Et puis, même roux, les barbus sont pas à la mode...
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Disons qu'on a estimé qu'après avoir habillé les nazis des bottes à la casquette, Hugo Boss pouvait bien fournir quelques costumes gratis à des nécessiteux basanés.
C'est de bonne guerre.
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Ça a pas empêché qu'on a perdu le match.
C'est mieux. Depuis la nuit des temps, notre pays enracine son identité nationale dans la défaite. Alésia, Azincourt, Pavie, Waterloo, Sedan, Trafalgar, Diên Biên Phu... C'est un concept purement français. C'est même peut être ça, la France. On se trouve glorieux dans la défaite, ce qui nous rend quasi invincibles.
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date : 28-03-2017 par anonyme
Ma vallée est en feu, elle est en flammes. Voilà plus de vingt ans qu’elle se consume. Ces récits, ce plaidoyer pour son salut… c’est tout ce que je sais faire. J’ignore si un livre peut aider à protéger une vallée et ses habitants. Je sais qu’un livre risque plutôt de leur faire du tort en ces temps où il s’agit de posséder – où le monde marchand a fini par nous avoir, nous aussi, à force de nous répéter que nous voulons le Meilleur, l’Occasion Unique, le Haut du Panier –, que la révélation des secrets invisibles et sauvages de cette vallée pourrait y attirer de nouveaux acquéreurs : ceux qui viennent prendre au lieu de donner.
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- Tu as déjà campé, padé ?
- Personnellement, non, mais j'ai des gens de ma famille qui l'ont fait...
- Oui, enfin, c'était en Égypte et il y a 3500 ans, Moïshé !
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- Vous n'êtes libre de rien, Holmes ! Vous allez nous suivre sans histoires et peut-être vivrez-vous quelques jours de plus.
- Pour un homme supposé mort, c'est un luxe appréciable...
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Spirou : 'Tiens, c'est tout ce que j'ai trouvé : tout Yankee, tout cuisiné et tout surgelé !'
Fantasio : '... et tout à fait sans goût ! Lucky's pizza ! "La pizza des veinards !" 'soignent plus leur pub que leurs préparations. Encore une chance qu'on nous ait pas coupé le gaz !'
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- Don Di Pene Engelberti ?
- Présent !
- Don Gio e Dragone ?
- Prévent !
- Don Quichoto ?
- Présent !
- Don San Convictione ?
- Présent !
- Et enfin Don Toninio Retutto, notre doyen ?
- Heu... excusé ! Il est au lit avec les oreillons. J'ai un mot de sa mama...
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- Êtes-vous à moitié blanc ?
- En effet. Je suis à moitié nègre. Vous en parlez comme si vous n'en éprouviez aucune honte.
- Il n'y a pas de honte à être qui je suis, déclara-t-il. La honte se trouve seulement dans la façon dont j'ai été conçu, et ce n'est pas moi qui doit porter ce fardeau.
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date : 29-12-2011 par x-Key
Un clou rouillé et tordu retenait encore la planche au tronc de l'arbre. Sur le morceau de bois rongé par les vers on pouvait lire, en grosses lettres peintes au pochoir : "Canetown 300 habitants".Le reste, en admettant qu'il y en eût un, était parti avec la seconde planche de la pancarte.

Scébanja descendit de cheval. Avec un coin de son foulard rouge, il essuya la sueur qui lui perlait au front, et poussa un long soupir. Un moment, il contempla l'inscription sur la planche, un demi-sourire sur ses lèvres épaisses, puis son regard erra sur les alentours. Il ne voyait pas encore la ville mais pouvait déjà la deviner derrière le gros boqueteau, au bout de la piste, bien assise comme toujours dans le creux des collines. Quelques filets de fumée montaient lentement au-dessus des arbres, calmes dans l'air léger qu'un reste de soleil rendait brillant.

Scébanja soupira une seconde fois.

Depuis quand était-il parti ? Cela faisait quatre ans. Quatre ans ! Mais dans sa mémoire attendrie ces quatre ans pesaient le double...
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"Notre budget pour les trois films - tournés en même temps - est de six cents millions. Voire plus, s'il le faut."
"Wow."
"Pour ce qui est du scénario... Il racontera l'histoire de Jack."
"Jack qui ?"
"Celui qui a escaladé la tige de haricot quand il était enfant... C'est le premier film. Et qui, plus tard, a massacré des géants... C'est le second film."
"Et le troisième ?"
"Il débarque en Amérique, bat le Diable au poker, séduit Blanche Neige, Cendrillon, Raiponce et la Belle au bois dormant, puis il tue le grand méchant Loup."
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On connaît tous les deux vos pouvoirs de persuasion. Vous dégagez une odeur de musc si aphrodisiaque qu'on ferait tous fortune si on pouvait la mettre en bouteille. Mais vous êtes superficiel, Prince Charmant. Creux. Une tonne de séduction sans une seule particule d'amour vrai.
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J'ai du mal à croire que tu étais un valeureux guerrier avant notre rencontre à Fableville. Et tous les exploits que tu as accomplis pour arriver jusqu'ici... La vache, mec ! Tu es un méga-super-héros !
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GOUPIL : Revenons-en à nos moutons. Si vous craquez déjà pour les grands méchants loups, ce n’est qu’une question de temps avant que vous ne gravissiez quelques barreaux de plus sur l’échelle sophisticatoire pour arriver à un certain Goupil LeRenard.
BLANCHE NEIGE : Un : le mot "sophisticatoire" n’existe pas. Et deux : la seule chose qui n’est qu’une "question de temps", c’est que je vais t’étrangler.
GOUPIL : C’est ça.
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« Ce qui est fait est fait, Posey. On ne peut pas remettre de la fiente dans une oie. »
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-Blutch ! C'est affreux ! C'est la première fois que je déserte !
-Et c'est la première fois qui coûte sergent ! Vous verrez...après ça ira tout seul !
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Blutch : Hello ! Comment va Stark ? Il est mort ?
Toubib : - Oui et non. Depuis que vous me l'avez amené, il est toujours dans le coma.
- Encore ? Enfin, faut les comprendre !
- Comprendre qui ?
- Le bon Dieu et le Diable, voyons ! Comme aucun des deux ne désire l'avoir chez lui, il doit sûrement y avoir une grosse partie de poker là-haut ! Croyez-moi, toubib, je plains celui qui perdra ! Ça sera la grosse panique dans son camp.
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- A quoi pensez-vous Blutch ? …
- … Au regard du capitaine Philip quand il le pose sur la fille du colon ! … Ce n'est pas vous qui me feriez les yeux doux comme ça. Hein, sergent ? …
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- Qu'est-ce que c'est un bikini?
- Rien ou presque.(...)
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- C'était fatal, il dit, le visage tout rouge, en tortillant son chapeau. qu'il y ait une foutue guerre ou un foutu cyclone ou une foutue épidémie de peste bubonique ou une foutue révolution ou une foutue maison de repos pour gangsters avec batailles rangées à la mitraillette à travers tout le paysage, ça ne peut pas se passer ailleurs que dans la ferme à Sagamore Noonan. C'est l'endroit logique, tout indiqué pour.
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C'est bien ça, le mariage ! Des types ordinaires rêvant de femmes extraordinaires, qui elles-mêmes ordinaires rêvent de types extraordinaires.
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-Bouuuuuhhh!...
Oh,que je suis malheureuse!!..
-Vous savez il ne faut rien regretter.Le mariage n'est qu'une charmante erreur que deux êtres humains commettent ensemble.
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- Il a raison chef. Pourquoi ils tirent pas ?
- Mais qu'est-ce que j'en sais, moi ? Tais-toi et charge !
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- L'ancien ! Tu viens d'où ?
- De là où on se perd ... où les chemins se croisent et se séparent.
- Tu parles tout le temps comme une chèvre savante ?
- Parler est tout ce que je sais faire, petit homme.
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