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Commentaires de livres faits par Keagan

Extraits de livres par Keagan

Commentaires de livres appréciés par Keagan

Extraits de livres appréciés par Keagan

Un superbe ouvrage de vulgarisation, très clair et drôle, qu'on peut lire avec les enfants. Il y a plein de petites anecdotes étonnantes, comme par exemple ce que j'ai mis en extrait dans la description du livre, dans notre petit verre d'eau on retrouve des molécules du dernier verre de Jules César. Ou encore, on y apprend comment Benjamin Franklin est passé à ça près de mesurer les atomes.
Ou encore, que l'ornithorynque secrète son lait par les pores de sa peau.
Ou encore qu'il y a autant d'étoiles dans l'espace que de grains de sable dans toutes les plages de la Terre - et bien plus encore d'atomes dans une seule de nos mains.
Vraiment, je trouve ce livre génial et amusant, j'ai un peu l'impression de redécouvrir la science avec des détails comme ceux sus-cités que je ne savais pas (ou presque, et quand bien même je trouve des choses que je savais déjà j'apprécie beaucoup de les retrouver, expliquées différemment), quand bien même je suis familière des ouvrages de science et vulgarisation scientifique.
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J'avais en fait déjà lu (presque) tous les romans et nouvelles de Doyle avant d'acheter celui-ci. (Il m'en manque 6 nouvelles).
Je le voulais absolument en version originale (je comprend parfaitement l'anglais), mais je n'ai pu trouver que cette version bilingue.

J'aime tellement les Sherlock Holmes, le personnage est fantastique, en lui-même, et dans la dynamique de sa relation avec John Watson.
Je vous ai cité un extrait que je trouve particulièrement représentatif et émouvant de ce qui fait que j'aime ces personnages - en plus des capacités intellectuelles incroyables que Holmes met au service de la résolution d'enquêtes a priori insolubles.

Les Trois Garridebs est l'une de mes nouvelles préférées. ^^

Je suis désolée de ne pas avoir mis l'extrait en français, je le ferai plus tard a moins que quelqu'un le fasse avant moi, on verra, mais là tissuite le temps me manque. :)
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date : 23-01-2015
Je vais re-citer l'extrait qu'on peut lire en page de garde:

""Si vous aussi vous regardez les génériques de films jusqu'au bout au cas où il y aurait un truc caché, si vous aimez les histoires de vampires-robots ou de zombis-poulets, si ça illumine votre journée d'apprendre que John Wayne s’appelait en fait Marion, si vous aimez les classements du genre "les meilleures comédies romantiques avec des loups-garous", si vous connaissez par coeur les répliques d'au moins un film...
... alors vous avez raison de lire ce livre."

... parce que c'est exactement ça. Si on apprécie le cinéma autant que l'humour absurde et les anecdotes d'apparence inutiles, alors oui en effet c'est un livre qu'on apprécie.

C'est assez simple, en le lisant je me suis un peu crue sur Tumblr ou 9gag, c'est plus ou moins l'esprit. Ca part dans tous les sens, c'est très drôle, esthétiquement bien foutu...
Bref il me manquait plus qu'une page sur les fandom et mon bonheur de geek était total. :o)

Ce livre, c'est ma nièce qui me l'a dégotté à la librairie, elle me l'a tendu en me disant "regarde c'est pour toi, ça!".
Fichtre! Qu'elle avait raison!

Ce petit livre est un petit bijou selon moi, encore faut-il savoir en apprécier l'humour, très geek, si on peut dire (y'a de la référence, quoi, personnellement j'ai pas vu évoqué de film que je connaissais pas, ça reste de la culture ciné générale, mais c'est franchement pas pour rien que le titre c'est 'Ciné geek').

Enfin donc voilà, la geek que je suis était ravie.
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date : 18-01-2015
Enfin La Nuit est un petit roman (192 pages) qui part d'une idée simple: imaginer le comportement d'un homme et d'une femme face à une catastrophe inconnue.

En l’occurrence, dans ce roman une catastrophe (probablement d'origine humaine), provoque une réaction qui amène à un jour perpétuel. Le ciel devient jaune et très chaud, et la nuit ne tombe plus, voilée par ce ciel lumineux.

Comme le dit lui-même Camille Leboulanger, l'écriture de ce roman à été largement influencée par La Route de Cormac MacCarthy, chose qui frappe aux yeux quand on le lit. Bien qu'ils soient très différents dans le détail.
Pour rappel, j'avais écrit une critique sur le film adapté du roman de MacCarthy, où j'y disais déjà qu'il y avait un lien indéniable entre ces deux récits. A lire ici.

Enfin La Nuit, comme La Route, puise dans les codes du Road Movie sur fond de SF post-apocalyptique. Dans l'un comme dans l'autre il s'agit avant toute chose de se centrer sur l'humain et non sur la catastrophe elle-même.
Comme dans La Route, on ne sait quasiment rien de ce qui provoque la catastrophe, on ne peut qu'observer les comportements des gens, bien qu'il y ai des indices (un en l'occurrence) qui permettent de se faire une idée sur la question.

Exemple donné en guise de 4ème de couverture:

"Le ciel était embrasé. On avait bien donné des explications à la télévision, histoires de guerres, de catastrophes, d'ennemis, d'alliés. Des noms, d'autres, beaucoup de noms qui se croisaient sans grande cohérence entre eux. Alors, du coup, les gens étaient dans la rue, le regard plongé dans le feu du ciel. Le grand embrasement. Ravage. La nuit était plus claire que le plein jour. Les lampadaires devenaient inutiles. Le ciel s'était embrasé le 23 janvier, sur le coup de 22h30. Et si, sur le moment, personne ne comprenait vraiment ce qu'il se passait, il faudrait bien admettre, une semaine plus tard, que la nuit ne retomberai plus jamais."

Voilà tout ce qu'on sait de cet évènement initial, et on n'en saura jamais plus. Et on ne cherche au final pas à savoir, ce n'est pas important. Comme je le disais dans ma critique de La Route - et ça vaut aussi pour ce roman - la raison initiale s'est produite, c'est fait, inscrit dans l'histoire, et savoir le pourquoi et le comment n'a plus d'importance. Ce qui reste, c'est la survie, la façon dont dans cet environnement vont agir les survivants.

On peut se demander pourquoi un jour perpétuel à décimé les trois quarts de la population? C'est dit aussi très rapidement: entre vague de suicide, émeutes, et assassinats en chaine, beaucoup de gens sont morts à cause du ciel qui semblait annoncer la fin du monde.

Mais tout ça n'a pas réellement d'importance, les personnages sont des gens comme vous et moi, pas des scientifiques, pas des savants, juste des gens qui ont subit cet évènement et essaient de vivre avec.

Ces personnages, ils sont présentés en deux parties rendues distinctes par le style utilisé par l'auteur. Le roman s'ouvre à la première personne sur le personnage d'Etienne, un flic qui fait la rencontre de Sophie, peu de temps après l'embrasement du ciel.
Plus loin, l'auteur nous présente à la troisième personne le personnage de Thomas, dont on comprend très vite qu'il partage beaucoup de points communs avec Etienne, principalement leur fonction: policiers tous les deux.
Le second lien entre ces deux personnage tient en un prénom: Sophie. Thomas fait également la rencontre d'une Sophie - pas la Sophie que connait Etienne - une adolescente laissée abandonnée dans sa ferme par ses parents - morts tous les deux - avec qui il va prendre la route à dos de vélo.

S'ensuivra un récit de ce voyage sous le ciel embrasé, parsemé de rencontres qui influenceront la nature des personnages, leur rapport aux autres et au monde.

C'est un roman qui parle de l'humain, et de solitude. Comme je le disais plus haut, il fait preuve d'une grande sagesse, il nous amène à réfléchir sur nous, notre monde et notre société.
C'est le but que la Science Fiction avait au départ, parler du présent, de l'actualité sociale, économique, politique, ou écologique, parler des enjeux actuels, sous couvert d'un cadre futuriste et/ou exceptionnel.
Fareinheit 451 de Ray Bradbury, Le Monde des A de Von Vogt, ou bien Dune de Franck Herbert en sont des parfaits exemples.
En cela la Science Fiction se rapproche beaucoup du genre de la fable, qui permettait sous couvert d'un récit fantastique et surréaliste de critiquer la société contemporaine à l'auteur.

Ici, avec Enfin La Nuit, c'est ce que nous avons. J'y vois une critique d'un monde fait d'individualisme, de consommation et de possession.
Ce roman parle de trouver "de l'espace", une certaine forme de liberté loin des contraintes liées à la vie en société, loin des contraintes de propriété.
L'absence de nuit donne paradoxalement aux personnages une liberté qu'ils n'avaient pas jusqu'alors, c'est ce que parvient à comprendre Thomas.

"Je crois que j'ai compris quelque chose. Je crois qu'on étais tous malades de solitude, à cause des autres. On était malades des autres. Malades de trop, même si on ne se l'avouait pas. Malades faute d'espace. On avait besoin de respirer. De faire de la place pour pouvoir bouger. Pour pouvoir choisir son point de vue pour regarder la mer. Pour pouvoir choisir sa voiture, sa maison, sans qu'on nous demande un chèque, une carte bleue, un crédit. On n'en pouvait plus, et on ne le savait pas. Alors le ciel est devenu jaune. Et on a respiré un grand coup. [...] Toujours est-il qu'on s'est retrouvés seuls. Éparpillés. Et qu'on a eu de l'espace, et surtout du temps. Du temps pour faire des choses, pour ne rien faire, pour commencer, pour finir, pour commencer sans finir. Je suis sûr que, quelque part, il y a un homme qui écrit enfin le livre qu'il a toujours voulu écrire, peut-être après s'être débarrassé de sa femme et de ses enfants, que quelqu'un d'autre est enfin parti pour le voyage solitaire qu'il ou elle a toujours voulu faire et qu'il ou elle n'aurait jamais fait avant."

Ce qu'essaie à demi-mot de dire Thomas c'est qu'avant l'embrasement du ciel on n'avait pas le temps de se chercher, de se trouver, de se réaliser pleinement, pas plus qu'on n'en avait la liberté ni la place.
C'est un discours qui bien que légèrement naïf, est très intéressant à écouter, et à tourner dans sa tête, il nous force à l'introspection et à se demander: "est-ce que c'est vrai?", "est-ce que je suis pleinement moi-même?".

Personnellement, la réponse est négative, et je peux vous dire que ça amène une sacré prise de conscience. La nuance qu'il faut prendre avec ce discours c'est que même si on ne peut pas évoluer avec une totale liberté dans la société actuelle, on peut s'approcher au maximum de cet idéal.


Comme les deux extraits postés ici en témoignent, tout cela est dit avec un style sobre, épuré, simple, qui fait échos au discours prononcé tout au long du récit. Les idées et les émotions qu'écrit Camille Leboulanger sont exprimées avec suffisamment de simplicité pour qu'on puisse les comprendre pleinement et les assimiler, le message est clair, et l'émotion délivrée nous transperce de plein fouet.
Je ne veut pas vous spoiler l'histoire donc je ne parlerais pas explicitement des scènes qui me viennent en tête, mais sachez juste que ce roman est troublant, les personnages attachants, et l'émotion qu'il délivre est honnête, simple, et glaçante - il est émouvant, très émouvant.

Pour vous donner une idée, je note ce roman à 9/10.
Il souffre peut-être de quelques défauts, mais à dire vrai, je ne les ai pas vu, et surtout je m'en fiche, j'ai pris ce que ce roman avait de meilleur à donner, et dieu que c'est bon.
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Sherlock Holmes, un personnage que j'ai d'abord découvert avec les films (ceux avec Robert Downey Jr) et adoré passionnément dans la série Sherlock de la BBC, avec le personnage interprété magnifiquement par Benedict Cumberbatch.

Alors il faut savoir que moi et les romans policiers, ça fait pas vraiment bon ménage, c'est un genre avec lequel j'ai du mal.
J'ai d'abord lu Souvenirs de Sherlock Holmes, trouvé dans une broquante, je l'ai dévoré.

C'est tout naturellement après avoir été éblouie par le personnage à l'écran que je m'y suis mise, et que j'ai commencé à m'acheter tous les romans sur ce personnage par Conan Doyle.

Pour en venir à nos moutons: Etude en Rouge. Je l'ai lui aussi dévoré, trop vite peut-être, mais qu'importe, je l'ai adoré.
Le style d'écriture est très fluide, les personnages sont juste magnifiques.

Sherlock est sans nul doute un personnage passionnant, impressionnant, et a sa façon très touchant. Dans ce qu'il a d'atypique, je dirai. On est d'accord que globalement pour ce qu'on en sait c'est pas un personnage qui se laisse aller aux sentiments, mais il a sa façon propre d'être attachant.
Dans ce roman ça se sent surtout dans sa passion, dans l'extrême gaité qu'il met dans ce qu'il entreprend. Quand au début il réussi son expérience, la façon dont il l'explique, complètement émerveillé, transporte.
Il est d'une part enfantin et d'autre part incroyablement intelligent et méthodique.

Ici, d'autre part, l'histoire est à la fois surprenante et captivante. Cette enquête qui d'abord semble insoluble se révèle au fur et à mesure des déductions de Sherlock et grâce au passage qui contextualise ce crime.
On en vient par là à s'émouvoir du sort de l'assassin, tant ses motivations sont, quelque part, honnêtes.
Par ce petit effet de style, Conan Doyle nous pose un dilemme: tous les crimes sont-ils immoraux? N'est-il pas possible de pardonner un meurtre, dans une certaine limite?

En un seul premier roman, Doyle pose des bases de réflexions intéressantes, et nous présente des personnages dont on sait qu'on s'y attachera pour très longtemps.
On comprend alors très aisément pourquoi Sherlock Holmes est le personnage de fiction qui a le plus suscité d'engouement par la suite, dès la sortie de ce roman jusqu'à aujourd'hui. On comprend pourquoi il a inspiré autant de personnages. Et on comprend pourquoi les noms de Sherlock Holmes et John Watson ne sont jamais inconnu, à les entendre, même sans les connaitre, on sait qui ils sont.

Tout ceci est bien dommage pour Arthur Conan Doyle qui détestait ses romans et n'aurait voulu pour rien au monde qu'on se souvienne de lui pour les aventures de Sherlock Holmes.
Dommage pour lui, tant mieux pour nous.
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date : 08-10-2013
Arh... non non et re non.

J'ai acheté ce bouquin au pif, sans vraiment faire attention à la quatrième de couv', sans ça, je me serai déjà douté de l'embrouille. :o)

De fait, j'ai commencé ce bouquin sans savoir à quoi m'attendre mais j'ai très vite compris que ce ne serai pas pour moi.

Dès le départ on sent l'histoire à la Twilight pour ado boutonneux - or je suis très loin d'avoir 13 ans et demi. :o) (enfin pas si loin j'espère, je suis encore jeune bordel! - 25 ans, c'est pas si vieux, non? Bon. Ok. :o) )

Ce roman est d'une mièvrerie sans nom, il est mal écrit et ne laisse aucun suspense à se mettre sous la dent, tout est téléphoné.
J'ai franchement eu l'impression de lire une rédac' de collégien, c'était affligeant tant pour le fond que pour la forme.

J'ai franchement eu l'impression aussi que les auteurs ont essayé de surenchérir inutilement "ouiiiiii on va mettre une histoire d'amour, c'est bien. Ce sera des ados, c'est cool, c'est vendeur, ça. HAN! Ca portera sur le surnaturel... possession démoniaque c'est bien. Mais ça suffit pas. ET PAF! La gamine aura des supers pouvoirs! Yeah: Oui!!! et le jeune il sera à moitié Navajo et écoutera des groupes de metal que je vais piocher au pif dans la rubrique metal de wikipédia. Je suis trop un fuckin' génie. 8) "

Sérieux??? La simplicité serait-elle un concept qui leur aurait échappé? Trop de trop tue le trop, mes amis, arrêtez le délire! Plutôt que de chercher le truc marketing qui fera vendre, osez plutôt vous replonger dans vos cours d'expression écrite, même ma nièce de 13 ans serai capable de me pondre des phrases mieux construites que ça!

Je l'ai fini non sans mal, mais j'ai le sentiment d'avoir perdu un petit bout de ma vie dans cette crétinerie.
Je suis soulagée de pouvoir passer à autre chose, et franchement, si un jeune ado y trouve son compte, amis lecteurs un peu plus avertis, je vous en prie passez votre chemin, ce roman n'est pas pour vous.
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J'ai pas mal apprécié l'histoire, bien construite et assez prenante.
Par contre je suis nettement moins séduite pas les dessins dont l'esthétique ne me parle pas du tout.
En somme pour moi, il n'y a rien de franchement extraordinaire, mais c'est tout de même agréable à lire.
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date : 22-08-2013
J'ai commencé mes premiers mots croisés l'année dernière, avec Michel Laclos. Mon père faisait ses grilles depuis de nombreuses années, avant de m'y mettre moi-même, je l'aidais, en cherchant avec lui le mot juste.

Et cette année, qu'apprends-je? Michel Laclos est mort... Au moment où je commençais juste. J'en ai ressenti une vive frustration, je m'étais passionnée pour ses grilles.

J'ai été heureuse d'apprendre qu'il avait publié beaucoup de recueils de grilles aux éditions Zulma, et je me suis aujourd'hui procuré le Mots Croisés 15.

Ainsi je pourrai continuer quelques temps de m'adonner à ma toute fraiche passion des mots croisés, avec Michel Laclos dont les définitions drôles, surprenantes, et compliquées avaient éveillé mon moi cruciverbiste.
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Un très beau livre, avec des photos magnifiques et des textes explicatifs très intéressants. On y découvre des races de chats peu connues, et -c'est le cas de le dire - tout à fait fascinantes.
Un beau livre qui fera le bonheur des amoureux des chats!
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Ce petit manuel est une vraie merveille, il remet les points sur les i en ce qui concerne les insectes quotidiens.
On y trouve des fiches explicatives par insecte, des techniques cruelty-free pour s'en protéger et les éloigner au besoin.
Ce petit livre est aussi bon pour les enfants que pour les adultes, souvent ignorants du monde des insectes.
De plus l'écriture rend son contenu très accessible, simple à comprendre.
Un livre qui nous emmène vers le respect de la nature et des petites bestioles trop souvent diabolisées à tort. ^^
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Je me suis beaucoup servi de ce livre pour diverses recherches, il est très bien écrit, très accessible. Mais dû au format, évidemment ces différents évènements sont traités de façon exhaustive, et certains ne sont même pas du tout abordés.
Donc, ce livre conviens pour un rapide coup d'œil, pas pour des recherches poussées sur un sujet précis.
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C'est un livre magnifique, captivant, bien qu'un peu dur à saisir par moments.
Je pense qu'il faut de toutes façons le lire plusieurs fois.
Le message qu'il délivre est en tout cas saisissant.
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date : 11-08-2013
J'ai déjà le tome deux, juste magnifique, alors j'ai placé ce tome là dans ma liste de livre à me procurer.
J'espère que ce tome-ci saura me satisfaire autant que le second. Et aussi que d'autres suivront. ^^

Et sinon, la couverture qui était proposée était celle du tome deux, pas du un, j'ai donc rajouté la bonne couverture. C'est pas le même livre.
Voilà. ^^
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date : 11-08-2013
Ce livre est une vraie merveille. Je n'ai pas encore eu le plaisir de lire le tome précédent, mais ça n'est pas très important, l'ordre dans lequel on les lit.

Les textes sont magnifiquement écrits, on y ressent tout l'amour de l'auteur pour la musique, amour qu'il transmet au lecteur avec justesse.

Les dessins sont d'une belle qualité graphique autant que symbolique. Ils ne racontent pas l'histoire par les mots mais par des bribes d'instants de vie.
Parfois, c'est une bande-dessinée classique, avec un début, une fin; et d'autres fois, c'est juste une succession d'images symboliques qui retransmettent l’esprit de la musique qu'ils illustrent.

J'espère vraiment pouvoir lire le tome 1 bientôt.
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date : 06-08-2013
C'est très bon roman, qui tient en haleine et sait mêler avec brio roman noir et fantastique.
Il y a un petit côté "alanguis", également, sans doute l'ambiance tropicale qui s'en dégage, une ambiance lourde, pesante, un peu comme la chaleur qui règne sous les tropiques je suppose.
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Ces nouvelles sont toutes passionnantes et bien écrites, elles envoient vers d'autres mondes parfois absurdes, mais toujours surprenants et émouvants.
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J'ai trouvé ce roman très incisif, la critique qu'il fait du monde est tout simplement percutante.
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J'ai trouvé ce roman affligeant de médiocrité. L'histoire aurai pu avoir été écrite par un collégien. Le style est pauvre, scolaire - de suspense il n'y a point... Tout est cousu de fil blanc, la fin est tellement prévisible que c'est à se demander pourquoi on prend la peine d'aller jusque là.
Et cette vision manichéenne du bien et du mal est tellement simpliste... Il ne va jamais au fond des choses, c'est très frustrant quand on aimerai avoir une nouvelle vision des choses.
Ce roman m'a ennuyé à tel point que je suis maintenant franchement sur mes gardes par rapport à ce que Coelho a à proposer d'autre.
Pour l'instant pour moi c'est un quidam qui se prend pour un philosophe en ressortant des principes appris à l'école mais présentés avec une utilisation excessive autant qu'inutile d'adjectifs un peu jolis, parce que "ça fait bien".
J'ai détesté ce livre.
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date : 03-08-2013
J'ai en premier lieu eu un avis mitigé sur ce roman, parce qu'au final la situation initiale n'évolue pas au fil du roman.
Mais après réflexion, je me suis dit, c'est aussi là que se cache l'horreur de la situation.
On part d'une situation délirante et absurde pour se rendre compte qu'elle ne sortira jamais de cette absurdité.
Je lui avais trouvé un second défaut, qui était que rien ne précise comment on en est arrivé là, qu'est ce qui a fait que les gens aient inventé un jeu aussi cruel, et surtout, ce qui fait que la population entière l'ait acceptée sans jamais se révolter.
Mais là aussi après réflexion, j'ai compris que ça n'avait pas d'importance, savoir ce qui s'est passé avant n'a pas vraiment d'importance.
Au final, j'ai beaucoup aimé ce roman et ce qui est sûr c'est que les semaines qui ont suivit, je n'ai plus vu la marche de la même manière!

Ce roman a une magnifique porté symbolique, comme le dit bien tommyvercetti, ci-avant, la marche est ici symbole de vie, la vie est une marche, et on ne peut pas s'arrêter.
La vie est dure, cruelle, mais il faut continuer de marcher coûte que coûte. Tout le monde en est dégoûté, mais tout le monde sait que c'est comme ça que ça fonctionne et qu'on y peut rien.

A côté de ça, il y a une très forte critique de société par rapport aux jeux télé et émissions de télé réalité, de plus en plus cruelle et inhumaine, cette télévision là fait des gens des moutons qui ne sont plus capables de se révolter, qui se soumettent parce qu'on a éteint en eux la volonté d'agir et de penser différemment.
Ce roman a été écrit à une époque on on était déjà bien embourbés dans cette télévision là (aux Etats-Unis comme en France), alors quand on le lis en ayant en tête notre monde actuel (je l'ai lu l'année dernière), on se rend compte qu'on va de plus en plus vers cette extinction de la pensée critique au profit d'une uniformisation liée à une très forte soumission. Tout nous amène à cette soumission, et on finit par en arriver au monde de Marche ou Crève, un monde où on regarde les yeux pétillants des enfants marcher jusqu'à en avoir les pieds en sang, parce que c'est le jeu, c'est ça la normalité, et ils n'ont juste plus assez de volonté et de sens critique pour vouloir enrayer ce système.
(je vous conseille par ailleurs de voir le très bon documentaire "La Minute de Cerveau Disponible", qui explique en détail tous ces mécanismes)

Il roman qui a plusieurs lectures possibles, donc, mais il en ressort une chose: en le lisant, des défauts nous sautent aux yeux, mais une fois qu'on a fermé ce livre on s’aperçoit que ça n'avait pas d'importance, et que le message qu'il veut transmettre n'a pas besoin d'être explicité.
C'est le genre de lecture qui marque, et dont on se souviens très longtemps.
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date : 03-08-2013
J'ai beaucoup aimé cette histoire qui fait une belle critique de société par rapport à la culture.
Ce que raconte ce roman est tout à fait transposable aujourd'hui, parce qu'on continue de rejeter le savoir sans vraiment se demander si c'est possible ou vrai, parce qu'il est plus rassurant de rester sur le savoir qu'on a déjà.
J'ai aussi beaucoup apprécié le parallèle fait avec le mythe de Prométée.
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date : 29-07-2012
Je suis en train de le lire, j'adore. C'est addictif, saisissant.
D'autant que tout relève du domaine du possible. On n'en est pas encore à parler de dystopie, mais on n'en est pas très loin.
Egan nous montre comment pourraient évoluer les sciences d'après les problèmes moraux qu'elles impliquent aujourd'hui.
Il fait en quelque sorte une extrapolation des sciences médicales, génétiques et pharmaceutiques.
Un livre que je recommanderait à tous les amateurs de SF, parce que ce bouquin est tout simplement génial.
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J'ai beaucoup aimé ce mélange d'Histoire, de science et de science-fiction. J'ai retrouvé le personnage historique que j'admire autant que le plaisir de la SF.
D'autant que les deux s'imbriquent bien.
Mes deux amours s'en trouvent comblées: l'astronomie et la SF.
Ceci dit pour ce qui est des éléments de physique quantique, force est d'admettre qu'il faut un effort de concentration supplémentaire. Je ne sais pas s'il était possible de vulgariser d'avantage, mais bon, j'ai j'ai parfois eut un peu de mal. Heureusement ça n'enlève rien au plaisir et à la compréhension générale du récit.
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date : 10-03-2012
J'ai adoré. C'est l'expression du fantasme que nous avons tous face à ces cons auxquels nous sommes confrontés quotidiennement. J'ai souvent eut l'impression que le personnage faisait ce que souvent je rêvais de faire, tuer les cons.
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date : 27-06-2011
Tristan et Yseut, c'est certes une belle histoire, mais ça me laisse froide. Je ne saurai pas vraiment expliquer pourquoi. Aujourd'hui on en a des dizaines d'histoires de ce genre, du coup l'originalité de l’œuvre telle qu'elle devait l'être à l'époque de son écriture me passe totalement à côté. C'est bête, je sais bien, mais j'ai franchement du mal à apprécier vraiment cette histoire.
Qui plus est, les annotations de l'auteur me gâchent le plaisir, elles ne sont utiles que pour ses collègues et les étudiants en lettres, mais pas pour le lecteur lambda.
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date : 17-04-2011
Ce roman m'a bouleversée dès les premières lignes, tellement vrai dans l'horreur qu'il dépeint.
Ludovic m'a touchée par sa fragilité, par le rejet dont il fait l'objet.
C'est un roman en outre très bien écrit, chaque mot à sa puissance.
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date : 17-04-2011
J'ai beaucoup aimé ce roman, il fait parti de mes coups de cœur.
J'ai aimé cette façon d'écrire, la poésie des instants, les personnages, tantôt touchants tantôt ignobles dans leur stupidité.
Il nous apprend que naitre dans telle ou telle classe sociale ne détermine pas la personne que l'on devient.
On y apprend à être soi-même. Mais aussi que vouloir changer par amour est dangereux.
Une belle leçon de vie.
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