J'ai lu la Moïra il y a longtemps. Et la trilogie a toujours eu pour moi une saveur particulière : c'est mon premier roman, celui qui m'a fait aimer la lecture et grâce auquel je suis devenue une dévoreuse de livres assidue. Alors, forcément, quand j'ai appris que la trilogie allait être adapté en bande dessinée, je n'ai pas manqué le rendez-vous. Sitôt en librairie, sitôt trouvé, sitôt lu.

C'est un sentiment étrange qui m'a tenu tout au long de ma lecture, comme une immense nostalgie à replongé dans l'univers de Gaelia aux côtés d'Aléa et Imala. Le dessin est très agréable et donne vie aux personnages rencontrés à travers le roman. On redécouvre avec plaisir la destinée qui se profile pour la jeune héroïne en devenir. Je suis impatiente de pouvoir lire la suite !

Un second tome sympathique. On en découvre un peu plus sur notre trio infernal : Ema, Taïga et Tamaki. Je crains que l'esprit shojo prenne le dessus au vue de l'évolution de leurs relations. J'espère que ça ne tournera pas en mode Twilight bis, ce serait vraiment dommage.
J'adore la grande soeur d'Ema, elle est trop mignonne. On découvre davantage l'univers dans lequel notre héroïne évolue : sa relation avec sa sœur, le lycée et ses camarades de classe, Topos et les enquêtes impliquant des êtres surnaturels. A travers les entrainements d'Ema avec Taïga, on apprend un peu plus à connaître ce dernier, ce que j'apprécie. Car ce petit taiseux rend me curieuse.
J'ai hâte de lire la suite, car la nouvelle enquête qui s'annonce promet quelques surprises et Tamaki réalise qu'il n'est pas seul :

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un autre vampire entre en jeu.

Conclusion sur l'histoire de la femme des neiges et l'innocent Monsieur Muroi. Les théories farfelues de Kotoko sont parfois un peu perchées. Bien qu'on finisse par comprendre qu'elles sont "nécessaires" suivant les situations. Un petit coup de cœur pour la Yokai, elle est adorable !

La relation de Kotoko avec ce pauvre Kuro n'évolue pas tellement. Et j'ai été surprise par l'enquête menée avec la cousine de ce dernier, ne m'attendant pas vraiment à ce que Rikka et Kotoko s'associent le temps d'une affaire. Celle-ci expliquerait-elle que leur relation se soit dégradée et ait amené l'affaire de la femme d'acier ? Évidemment, comme à chaque fin de volume, réponse au tome suivant.

Une très jolie conclusion telle qu'on l'espérait. Koki a bien grandi et son regard sur le handicap de son père ne change en rien sa relation avec Itsuki et Tsugumi, bien au contraire. Pas de mensonge entre eux, juste de l'amour et de la bienveillance. Un peu d'inquiétude aussi, mais comme tout parent.
Les voir évoluer tous les trois est un plaisir. On y verse quelques larmes, évidemment. Leur histoire nous touche. Ils sont tellement attachants qu'on ne peut qu'être heureux de les voir s'épanouir ensemble malgré les épreuves. Les liens qui les unissent les aident à palier les difficultés et ils en ressortent plus forts, plus proches, plus unis. Les voilà qui forme une adorable famille pleines de profonds sentiments et on les adore !

Une série qui m'a séduite dès le premier volume et qui n'a eu de cesse de me plaire. Elle ne laisse pas indifférent et apporte un regard sincère sur le handicap. Elle nous confronte à beaucoup d'émotions, allant de la joie aux larmes, et toujours avec énormément de tendresse. Je la conseille vivement, malgré les larmes qu'elle a pu m'arracher parfois je dois l'avouer.
La version collector est un petit bijou et les témoignages des lecteurs à la fin très touchants. Tout comme A Silent Voice, il nous faudrait des histoires de cet acabit plus souvent. Car il n'y a plus de tabou à avoir, quelque soit le sujet. Et il est grand temps de découvrir et de comprendre que les personnes en situation de handicap sont des personnes comme les autres, avec les mêmes désirs et souhaits que les autres. Le jugement n'a plus lieu et Perfect World nous le prouve à chaque tome avec une infinie douceur. Je remercie vraiment Rie Aruga pour cette initiative et vais garder précieusement la série dans ma bibliothèque.

Retour au palais impérial pour Shao Jun, dont l'avenir de la Confrérie chinoise repose désormais sur les épaules. Grande décision pour Lisa quand à ses régressions. Ce tome annonce un bouleversement dans le déroulé de l'histoire de nos deux héroïnes. Reste à savoir si Shao Jun saura sortir Qijie de sa prison dorée (et si son amie est restée fidèle malgré sa position d'Impératrice), et si notre assassine parviendra à récupérer le coffret que lui a confié Ezio Auditore.

Un premier volume qui m'a laissé dubitative sur l'évolution possible de l'histoire. Il faut y reconnaître une certaine originalité dans le dessin mais sur le fond, j'attends concrètement de voir la suite. J'ai certaines réserves quant à cette prétendue chasse aux sorcières très caricaturées à mon gout (pour l'instant tout du moins). Cependant, étant donné que je souhaite en savoir davantage sur le sortilège qui touche Guido et sur l'enquête lancée en fin de tome, rendez-vous au volume suivant.

Après une 9ème tome un peu long à mon goût, on retrouve l'intrigue de départ pour sa finalité. Ce n'est pas pour déplaire. Désormais, Le Prince du Crime compte parmi les ennemis de toute l'Angleterre et les choses sérieuses s'annoncent.

On visite enfin le quartier des plaisirs où a grandi Mao Mao. De quoi en apprendre un peu plus sur elle et sur ses connaissances d'apothicaire auprès de son père. Les enquêtes sont moins accrocheuses cette fois, je les ai trouvé un peu longues. Mais on sent bien que la relation entre Mao Mao et Jinshi évolue. Personnellement je pressens un peu ce qui le concerne. Je verrais si mon flair a vu juste. Affaire à suivre !

Trop rapide à mon goût et un peu brouillon par moment. C'est dommage. L'idée de fond est originale, l'univers intéressant. J'aurai apprécié que ce soit davantage travaillé et moins précipité. Ça aurait même mérité une suite.

Un premier tome sympathique. Un univers intéressant. Bien que certaines choses aillent un peu vite à mon goût, je suis curieuse de lire la suite.

On retrouve Omusubi dans ses bêtises félines et sa jeune maîtresse dans sa découverte d'une cohabitation avec un jeune chat. Leur évolution à tous les deux est agréable à suivre. La lecture pleine de légèreté fortement appréciable. J'aime assez cette similitude entre le chat et l'évolution d'un personnage dans un jeu vidéo. C'est assez drôle de le voir "gagner en expérience". En digne propriétaire de chat et adepte de RPG, je m'y reconnais un peu, il faut l'avouer. Cependant, bien que très mignon, c'est un peu redondant à la longue. Il n'y a pas réellement de trame à tout cela. Reste à voir ce que le tome suivant proposera.

De nouveaux personnages font leur apparition et forcent notre lycéenne broyeuse de noir à s'ouvrir davantage et à se faire des amis. Ce qui n'est pas toujours pour plaire à Jin qui jalouse facilement. C'est presque agaçant de le voir réagir comme une adolescent lorsque Mikoto se rapproche des autres.
Mais leurs relations naissantes avec ces nouvelles rencontres les font grandir autant l'un que l'autre. Même si le professeur me semble toujours très immature par moment, on sent l'évolution des personnages au fil des tomes. Très doucement, mais sûrement. Soit. Mikoto fait son petit bonhomme de chemin. Comment son histoire avec Jin va-t-elle se transformer ? Leurs sentiments pourtant de plus en plus évidents, c'est étonnant que leur relation n'évolue pas davantage.

Je suis un peu sceptique sur le fait que cela tienne réellement sur 10 tomes (ou plus) car pour moi ça traîne un peu en longueur et la relation entre le professeur et son élève est hasardeuse voir très maladroite. Certes, l'arrivée de nouveaux personnages apporte une autre dynamique à l'histoire. Mais je ne suis toujours pas convaincue, et bien que la fin de ce quatrième tome suggère que les choses s'amorcent un peu plus entre nos deux amoureux, je ne sais toujours pas si je poursuivrais ma lecture à la sortie du cinquième volume. Affaire à suivre en somme.

Un dessin vraiment beau, une ambiance nippone qui a un charme fou. Je ne regrette pas d'avoir couru chercher ce tome à sa sortie. Nous retrouvons Aeka quelques années plus tard pour découvrir sa véritable histoire. Je n'ai pas été déçue, bien que je m'attendais un peu à de telles révélations. Un seul bémol : que ce soit si court. J'aurai adoré en voir plus, en apprendre davantage. Une suite serait-elle envisageable ? Qui sait.

Un dessin sublime qui contraste avec un univers très sombre. On y retrouve la riche culture nippone et le monde brutal des samouraïs. Des personnages guère approfondis, une histoire qui va un peu vite à mon goût. C'est dommage. Sans doute est-ce fait exprès, puisque je sens que les aboutissants sont proches.
Ce premier tome, qui ressemble davantage à un prologue, laisse beaucoup de questions sans réponse. J'espère les trouver dans le second volume. Car cette histoire de dragons pique ma curiosité et je me doute que l'entraînement d'Aeka n'est pas anodin.

Fin du premier cycle qui m'a tout de même laissé dubitative. Moins convaincue que par ses deux prédécesseurs. Une fin qui m'a semblé précipitée et qui m'a surprise par sa tournure. Certes, je sentais que la relation entre Emeuraude et Zagat était beaucoup plus profonde que ce qu'elle paraissait. Mais je ne m'attendais pas à ce que ça se termine ainsi.

Toutefois, le dessin est toujours aussi plaisant. On retrouve ce trait si particulier à l'univers de Clamp mais aussi beaucoup de nostalgie pour celles et ceux qui ont connu les premiers mangas traduits en version française. Les combats sont bien menés et les personnages se révèlent à mesure que l'on avance dans notre lecture. D'autant plus que les Dieux Runes sont enfin réveillé et qu'on se doute que leur lien avec nos trois héroïnes ne s'arrêtent pas là. Alors, forcément, je suis curieuse de pouvoir lire le second cycle.

Après avoir lu la trilogie du Paris des Merveilles, je ne pouvais certainement pas passer à côté de cette bande dessinée. Et je ne regrette pas. Un réel plaisir de retrouver cette ambiance qui m'a tellement plu dans le roman. Un dessin agréable donnant de jolies bouilles à de nouveaux personnages. Un trio féminin sympathique, haut en couleur et plein d'humour, que j'ai réellement envie de suivre dans ses aventures. Une action qui nous tient en halène sans lassitude. La curiosité nous tient du début à la fin, et je ne saurais que courir lire la suite !

Un second tome aussi explosif que le premier. On ne s'ennuie pas. C'est presque addictif. On veut les réponses à nos questions et on sent qu'on touche au but. Ce suspense de fin nous encourage à poursuivre l'aventure aux côtés des Artilleuses. J'ai hâte de lire la suite !

Le quantité de fautes d'orthographe et de fautes de grammaire est telle que ça gâche la lecture. J'ai eu beaucoup de mal à rester concentrée sur l'histoire tant il y en a. Certaines sont vraiment énormes, c'est presque impardonnable !
Une bonne relecture pour correction (voir plusieurs) n'aurait pas fait de mal avant d'éditer et de publier. Une erreur qu'il aurait été préférable d'éviter car on garde davantage en mémoire ce nombre impressionnant de fautes en tous genres (et ça pique vraiment les yeux) que l'histoire et ses personnages. Dommage.

L'histoire, parlons en. Elle n'a rien de palpitant. C'est très long à se mettre en place et les personnages font très/trop jeunes à mon goût pour avoir la vingtaine. Leurs réactions et leurs discutions manquent cruellement de maturité vu leur âge. Tout est long, quand ça ne va pas trop vite en besogne. L'antagoniste est mentionné sans cesse de page en page sans qu'on le voit. Frustrant. Et quand enfin ça devient intéressant, c'est terminé. On reste grandement sur sa faim.

Il faut reconnaître qu'il y a un bon fond, une idée intéressante à développer. Mais cela aurait mérité plus de travail et d'approfondissement avant de se jeter à l'eau.

Tout aussi plaisant à lire que son prédécesseur. Les intrigues à la cour impériale nous occupent et les relations de Mao Mao avec les dames de compagnie du pavillon de Jade se développent davantage. Sa renommée en qualité de goûteuse et apothicaire arrivent jusqu'aux oreilles de l'Empereur lui même. Et la voilà qui œuvre pour les autres pavillons à la rencontre des autres concubines. Ce qui présage de nouvelles intrigues, ça c'est certain ! Ses talents n'ont pas fini de faire leur preuve et son intelligence fait mouche.
L'univers est vraiment intéressant, riche et détaillé. Le dessin est sublime, c'est un plaisir à regarder. Et l'histoire sait nous embarquer au cœur de la cour impériale à la découverte de personnages attachants, drôles et intelligents.

Personnellement, s'il n'y avait qu'une chose à reprocher, ce serait son côté extrême avec les poisons. A se demander parfois si elle n'est pas un peu suicidaire sur les bords...
Ceci dit, j'ai hâte de voir ce que la suite lui réserve. Rendez-vous au tome 3.

Une immersion sublimes dans la culture et le chamanisme mongol. Un graphisme très beau, qui nous immerge totalement dans l'univers spirituel de ce peuple nomade. On y suit le voyage initiatique de Temudjin pour devenir le chef mongol qui unifiera les clans.

Inspiré de l'origine du théâtre Nô et de personnages historiques. Je n'ai pas été emballée plus que ça. Ça se laisse lire mais je n'en garde pas un souvenir impérissable. Au delà de leur amour partagé pour l'art du Sarugaku, la relation entre le Shogun et le petit roturier est tout de même très ambiguë... Le dessin ne m'a pas vraiment charmé et les personnages non plus. J'ai lu plus par intérêt pour la culture nippone qu'autre chose. Car dans le fond le plus intéressant ici reste le thème du théâtre japonais et cette culture des arts de la scène si caractéristique de l'archipel. Quoi qu'il en soit, je tache tout de même de voir ce que le tome 2 donne, de quoi terminer l'histoire.

Une revisite du célèbre conte, revu et corrigé par Patrick Sobral. Intéressant et inventif. Je regrette toutefois que ce soit si bref. On a alors le sentiment qu'il manque quelque chose pour que l'histoire soit complète. Pas que ce soit bâclé mais ça va un peu vite : en un tome, c'est normal. Quoi qu'il en soit on apprécie l'originalité de cette revisite et son graphisme si caractéristique.

Un second volume aussi drôle que le premier. Notre gameuse apprend peu à peu à s'occuper de son adorable boule de poils. Tout propriétaire de chat s'y reconnaîtra sans doute un peu parfois.
On y rencontre sa sœur, accros aux réseaux sociaux. Sa collègue mène toujours l'enquête sur l'identité du propriétaire du blog. Et la petite vendeuse de l'animalerie lui apporte de judicieux conseils. Reste à voir comment tout cela va évoluer sur les prochains tomes.

Une quête initiatique à travers un graphisme magnifique. Une histoire originale qui mène les personnages à se découvrir. Hannu et Ville se découvrent, au delà de leur relation humain/chien. Leur quête les fait évoluer, grandir. Et même si ce coquin de renard les entraîne malgré eux dans un monde entre rêve et réalité, les voilà qui apprennent aussi à se rapprocher l'un de l'autre, et à apprendre des autres.

Gisèle et Ao sont extrêmement attachants et je me plais à suivre leur histoire. La magie du jeune apprenti est étonnante, originale, fascinante. Au cours de ce tome-ci, on sent que l'intrigue prend de l'ampleur et que le passé de la magicienne se dévoile peu à peu.

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Guère de surprise sur sa vraie nature de dragon et sur pourquoi elle souhaite que son mari la tue.
La Flamme fait son entrée et menace la paix relative qui règne sur Paris. Albert montre son vrai visage. Gisèle et Ao sauront-ils affronter le danger qui s'annonce, mais aussi surmonter le destin effrayant qui les attend ? Rendez-vous dans le tome 3 pour le savoir.

Un premier tome que j'ai trouvé très intéressant. On y retrouve un peu de ce qui fait la série initiale The Ancient Magus Bride. Du moins dans l'idée de départ : une magicienne hors paire cherche un jeune mari/apprenti aux talents insoupçonnés pour le former. Mais pour le coup, les personnages ont une psyché différente, la magie est originale et l'intrigue change. C'est ce qui m'a vraiment plu.
L'idée de faire de la magie à travers la peinture et les couleurs est géniale ! J'ai même le sentiment que cette histoire là est mieux tenue et a un réel but dans le fond (contrairement à la série initiale que je commence à trouver un peu longue et ne plus savoir où elle mène vraiment). Alors, ma curiosité se réveille et je cours lire la suite de ce pas !