Je viens tout juste de tourner la dernière page.

Qu'ai-je ressenti en fermant le livre ? Un manque. Il me manque déjà. Je voulais prolonger mes séjours en compagnie de tous ces personnages qui le peuplent. Je n'aurais jamais songé qu'il me fera cet effet-là. Je suis tout à coup vide et nostalgique.

Ce n'est pas dans mes habitudes de parler de l'intrigue, et je ne le ferais pas. Les thèmes abordés sont plus éloquents, mais la façon dont ils étaient cousus, c'est une tout autre histoire : Plus humaine, plus réelle, plus vraie. Rien n'a réussi à me faire détourner le regard de ses phrases et cela jusqu'à la dernière ligne.

Un après-midi de ce jour-ci, la mort m'a murmurée à l'oreille. Tantôt, je souriais de soulagement et tantôt je pleurais de tristesse.

Des mots, de simples mots et pourtant, ils avaient un effet et une couleur, un goût et une odeur.

Elle était présente tout le long de ma lecture, et au-dessus de mon épaule, elle parcourait les pages avec moi, elle sentit les mots comme les âmes. Je ne la voyais pas, mais mon instinct me disait qu'elle était là près de moi. Mes yeux ne faisaient que la suivre, et elle, avec panache, me chuchotait l'histoire de la Voleuse de livres. En arrivant à la dernière page, j'ai cru discerner sa silhouette ténébreuse à la dernière ligne. " Ce n'est qu'un au revoir." crus-je entendre.

Je songeais à la tristesse et à la douleur, puis à elle. Avais-je le courage de l'oublier ? Surement pas.

Qu'elle fût ma lecture et qu'elle fût mon périple en sa compagnie.

Quelle trilogie et quelle fin !

Cela faisait un bout de temps que je n'avais pas senti cette urgence et cette impatience de connaître le dénouement.

Pour une fois, je lis une série où la romance n'est pas le centre de l'intrigue, et cela fait plaisir.

Ici, on est en quête de vérité. Le mystère est omniprésent jusqu'au bout, ce qui nous fait tourner les pages avec une certaine frénésie.

Au début on a fait la rencontre de kyla, une jeune effacée, perdue, tourmentée par ses souvenirs, puis fracturée et manipulée, et enfin brisée et vidée de toute espérance.

La fin m'a à la fois émue et réjouit, rien n'a été laissé en suspens.Tout devient limpide. En tournant la dernière page, j'étais à la fois contente et triste de le terminer, j'aimerais tellement lire des livres comme ceux-ci, toujours avec cette envie impérieuse d'en savoir plus, sans que rien nous distraie ni même pouvoir trouver le sommeil.

J'ai vraiment adoré et dévoré cette trilogie ! Je ne pense pas l'oublier de sitôt.

C'est rare qu'un livre m'attire dès le premier mot, la première lettre, la première page tant le mystère était omniprésent jusqu'à la dernière page !

La trame est plus profonde qu'il puisse paraître au premier abord, son point de départ est une idée qui sort de l'ordinaire.

Contrairement à d'autres, je n'en ai ressenti ni longueur ni ennui, tellement j'étais captivée par ce que je découvrais au fil des pages.

Le seul point que je lui reproche, c'est la plume qui manque de consistance, et pourtant elle n'en reste pas moins la plus adaptée. Pour ma part c'était une prouesse que l'auteure puisse s'effacer complètement, en laissant sa place à une jeune fille de 16 ans, je trouve que c'est un travail remarquable !

Terry Teri a réussi à créer une héroïne à partir d'un monde cruel et autoritaire qui n'épargne aucun écart de conduite, un monde où la liberté de l'expression n'a pas son mot, sinon gare à vous.

L'écrivaine l'a modelée avec minutie, puis l'a animée par des mots et des pensées. Résultat : on ne fait pas face aux idées de l'auteure, mais celles de kyla, c'est elle qui nous narre son histoire, peuplée de rêves et de cauchemars. On la suit partout, on vit ce qu'elle vit. Cependant pas à travers les yeux de Teri, mais avec les yeux de la jeune fille.

J'ai fort apprécié ma lecture !

Il me tarde de découvrir le tome 02 !

Un livre attachant, une histoire rafraîchissante et drôle. Cela fait du bien pour passer un très bon moment, mais sans plus.

Les mots me trahissent, ne voulant pas sortir de leur écrin. Pourtant, ils me submergent, ils m'étourdissent. Mes mains tremblent à leur toucher et mon cerveau se consume à leurs résonances.

Sachez que, je n'ai point perdu l'esprit, mais j'ai frôlé la crise. Je bouillonne de l'intérieur et mon cœur danse dans ma poitrine, tel un enfant insouciant, arpentant une forêt enchanteresse. Est-ce à cause du Prince des ténèbres ? Oui, sans l'ombre d'un doute...

Avec tout le respect que je dois à l'œuvre de Shakespeare que je n'avais jamais lue, néanmoins, je connaissais les principales lignes de l'histoire, je peux me prononcer en ces termes qui viennent du cœur, que ce roman, qu'en effet, ne ressemble à aucun autre, il a enfermé mon âme dans ses pages, en me détournant de Roméo et Juliette, en l'effaçant de mon esprit pour laisser uniquement le Prince des ténèbres sur son trône de majesté, dans un château constitué de chair et de sang, cela dit : dans mon cœur qui palpite son nom.

Cela ne peut être un coup de cœur, non, cela ne peut l'être, c'est plus fort et plus intense. Est-ce un coup de foudre ? Je ne saurais m'exprimer... Que faire si je suis tombée éperdument amoureuse de ce livre.

Comment sentirais-je derechef l'envie de vivre une nouvelle aventure ? Comment le pourrais-je, sans que mes pensées me conduisent à Vérone et ses habitants, à l'intrépide et adoré Benvolio et à la belle et forte Rosaline. Ainsi qu'au malheureux et insouciant, Roméo, et le pauvre et torturé Mercutio.

Ce livre est une torture. Une malédiction d'amour et de souffrance, dont je suis éprise. Son charme subsiste en mon sein, me hantant de sa sublime plume. Une langue riche et élégante, qui ravit et rend jaloux tout amoureux, voulant adopter un tel style, qui relève de la perfection, de la poésie et de l'érudit.

Les dernières pages m'ont fait vibrer, transpirer. J'étais livide, écrasée sous le poids d'un suspens insoutenable et la crainte du dénouement. Un supplice qui n'avait pas d'égal seulement les battements et le hurlement de mon cœur tourmenté et malmené, et des yeux gros ouverts à la quête d'un quelconque apaisement dans ces mots et ces lettres, qui défilaient devant mon regard ébahi.

Lisez-le, dévorez-le ! Et laissez-vous emporter par cet amour maléfique.

C'est un roman fort intéressant qui aborde des sujets douloureux tels que le deuil, la maladie, le pardon...

C'est une quête de reconstruction et d'acceptation.

Malgré le manque de suspens et d'action, je l'ai apprécié en le lisant presque en une journée, tellement c'était une lecture addictive, avec des personnages très attachants, une mention spéciale pour Red !

À lire !

Comment pourrais-je n'avoir jamais su de la présence de ce livre ?

Je n'avais nulle idée que le film était inspiré en réalité par ce livre, jusqu’à un heureux hasard, et quel hasard !

C'est un énorme coup de coeur !

À en juger, je dirais que "Diana Wynne Jones" est une vraie magicienne, pour écrire une telle histoire imprégnée de magie et de vie !

Je ne peux le comparer avec le film, car ce dernier avait aussi son charme, toutefois avec une pointe de regret, ce roman m'a fait vivre plus de choses que de son adaptation qui est bien différente sous plusieurs aspects.

En arrivant à la dernière page, je ne voulais pas les quitter, alors je me voyais la relire et relire maintes fois, j'étais sous le charme de tout ce bon monde.

Quelle merveille, et quelle imagination, j'ai vécu des moments inoubliables !

Mon plus grand bonheur : c'est quand un livre fait battre mon coeur comme le fait un être en chaire et en os. C'est vraiment beau comme sentiment !

Magique, envoûtant, enchanteur, ensorceleur, sont les justes mots pour décrire une telle perle ! À lire et relire sans retenue et sans modération, car soyez-en sûrs qu'il va vous étonner !

Un livre très attachant, bien que la plume soit quelque peu enfantine.

Globalement, c'était une lecture satisfaisante. Je le conseille chaleureusement.

Mon périple s'est achevé abruptement en tournant la dernière page. J'aurais souhaité voir un petit prologue à la fin, mais bon.

C'était une quête de la vérité et de l'acceptation. Il m'avait agréablement rappelé le Petit Prince, tellement les mots sonnaient juste et profonds. C'était un récit à la fois philosophique et psychologique. Il nous enseigne avec sagesse et justesse. J'étais conquise par cette lecture !

C'est tellement vrai :

"Tu voulais qu'elle parte et en même temps tu voulais désespérément que je la sauve. Ton esprit préférera croire à des mensonges rassurants tout en connaissant les douloureuses vérités qui rendent ces mensonges nécessaires. Et ton esprit te punira de croire aux deux."