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Commentaires de livres faits par pusul

Extraits de livres par pusul

Commentaires de livres appréciés par pusul

Extraits de livres appréciés par pusul

— On ne pourrait pas camper en bas, près des lacs ? proposa Nynaeve. Il ferait sans doute plus frais…
— Par la Lumière, dit Mat, je plongerais ma tête dans l’eau, et rien ne dit que je l’en ressortirais !
À cet instant précis, les eaux du lac le plus proche ondulèrent puis s’écartèrent pour laisser apercevoir une immense silhouette noire. Dans une gerbe d’éclaboussures, ce qui devait être une queue – mais terminée par un dard pointu comme celui d’une guêpe, en mille fois plus grand – se dressa un instant à l’air libre. Tout au long de la créature, on distinguait des sortes de tentacules qui grouillaient comme des vers géants. Les pieds, ou assimilés, d’un mille-pattes aquatique démesuré ? C’était probable, mais impossible à dire, car l’eau se referma bientôt sur le monstre aux contours de plus en plus indistincts.
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— Mais la guerre…, commença Mat.
Thom Merrilin ne le laissa pas continuer.
— À la guerre, mon garçon, des crétins tuent d’autres crétins pour défendre des causes imbéciles. C’est tout ce qu’il convient de savoir.
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Très petite, dame Moiraine lui arrivait tout juste à la poitrine, mais sa présence et sa prestance, toutes deux écrasantes, donnaient l’impression qu’il était inconvenant d’être plus grand qu’elle, comme si sa taille devait être la référence ultime.
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- Je n'aime pas ça du tout! marmonna Nynaeve, continuant une dispute commencée bien plus tôt, dans sa chambre. Pas du tout, Lan, tu m'entends ?

C'était la vingtième fois qu'elle répétait ça. Mais l'ancienne Sage-Dame n'était pas du genre à rendre les armes sous le prétexte fallacieux qu'elle avait perdu la bataille.
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— De quoi parlais-tu pendant des heures avec Ila ? osa soudain demander Perrin. Quand tu ne dansais pas avec le grand bellâtre, tu menais des messes basses avec sa grand-mère…

— Ila m’a donné des conseils, pour que j’apprenne à être une femme…

Perrin éclata de rire et ne vit pas le regard noir que lui jeta son amie.

— Des conseils ? Personne ne nous explique comment être un homme ! Nous le sommes, et voilà tout…

— C’est probablement pour ça que vous vous en sortez si mal, riposta la jeune fille.

Loin devant, Elyas ricana assez fort pour que ses compagnons l’entendent.
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Très petite, dame Moiraine lui arrivait tout juste à la poitrine, mais sa présence et sa prestance, toutes deux écrasantes, donnaient l’impression qu’il était inconvenant d’être plus grand qu’elle, comme si sa taille devait être la référence ultime.
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date : 24-10-2023
« Je sais un truc sur vous.

– Quoi donc, Ken ?

– Le texto que vous m’avez envoyé. Vous n’avez pas écrit garden center avec un g et un c minuscules. Vous avez mis des majuscules. Et vous parlez sans faire de fautes. Vous n’êtes pas aussi idiot que vous voulez le faire croire, hein ?
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date : 24-10-2023
Toutes ces questions ne se poseront pas s’il ne se fait pas prendre. Et cela n’est jamais arrivé. À dix-sept reprises, il s’en est tiré. Mais il ne s’est jamais retrouvé dans ce genre de situation. Cette fois, il ne s’agit pas de s’échapper d’une ruelle, à proximité d’une voiture prête à démarrer, en ayant étudié le meilleur itinéraire au préalable.
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Le jeune dandy prit une inspiration et entra dans la pièce, son plaisir atténué par le poids de l’information qu’il devait transmettre. Le fardeau d’un espion, disait toujours lord Akeldama, n’était pas de savoir des choses, mais de savoir quand en parler aux autres. Ça et le fait que se balader à quatre pattes pouvait être très salissant - un travail terrible pour les genoux d’un pantalon.
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-    Eh bien, monsieur Biffy, vous en dites, des choses scandaleuses.
-    Vous êtes injuste avec moi, madame Lefoux. Je ne médis jamais. J’observe. Puis je rapporte mes observations à presque tout le monde. »
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Pour l’instant, Floote était censé reprendre le poste de majordome de la résidence secondaire. Cette rétrogradation temporaire au grade de domestique ne l’avait même pas fait sourciller. Alexia suspectait que son ancienne autorité sur la maisonnée et la possibilité de contrôler tout ce qui s’y passait lui avaient manqué. Le poste de secrétaire personnel était peut-être plus élevé, mais il n’offrait pas le contrôle étendu qu’exerçait un majordome sur les ragots.
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« Oh, professeur Lyall, seriez-vous en train d’essayer d’être drôle ? Ça ne vous va pas. »
Le Béta aux cheveux sable lança un regard sinistre à lady Maccon. « J’explore de nouvelles options de personnalité.
-    Eh bien, cessez.
-    Oui, madame. »
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Vous savez que les règlements de la Patrouille nous interdisent de faire des changements historiques.

— Qu’appelez-vous donc ce que nous faisons ?

— Quelque chose de spécialement prescrit par le Grand Quartier général. Peut-être pour rectifier quelque intervention quelque part, en un autre moment. Qu’en sais-je ? Je ne suis qu’un degré sur l’échelle de l’évolution. A un million d’années d’ici, ces hommes ont des pouvoirs dont je n’ai pas la moindre idée.

— Ni moi non plus, murmura Sandoval.
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J’aurais dû tout de suite lui porter secours. Et risquer ma vie.

Pourquoi ne pas la suivre dans la mort, alors ?

Non. C’est insensé. Deux morts ne font pas une vie. Je n’aurais pas été en mesure de la sauver ; je n’avais pas le matériel pour… la meilleure solution était de chercher du secours.
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date : 08-02-2023
-    Tu es quoi, Blaze ? »

Il inclina la tête et renifla une chandelle de morve. « Je suis un crétin. »

George disait toujours qu’il n’y avait pas de honte à ça, mais que c’était un fait et qu’il fallait l’admettre. On ne peut faire croire à personne qu’on est intelligent quand on est un crétin. Les gens te regardent et constatent ce qu’il en est : les lumières sont bien allumées mais il n’y a personne à la maison. Quand on est un crétin, on fait son boulot et on se casse. Et si on se fait prendre, autant tout raconter, sauf les noms des types qui étaient avec toi, vu qu’à la fin, de toute façon, ils t’auront tiré les vers du nez. George disait que les crétins, question mensonge, sont archinuls.
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– Puis-je vous offrir un thé ? proposai-je.
– Non, merci. Je ne peux pas être vu fraternisant avec l’ennemi sans nécessité.
– Vous venez de dire que je n’étais pas l’ennemi.
– Vous êtes idéologiquement corrompu mais inoffensif, rectifia-t-il.
Sur ces mots, et sans cesser de s’incliner à profusion, il s’apprêta à prendre congé.
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Il n’y a qu’une seule règle gravée dans le marbre : vous pouvez faire ce que vous voulez, à condition de ne pas foutre le bordel. Donc, pas question de lâcher une bombe atomique sur New York ou de descendre Roosevelt, fût-ce dans un dessein expérimental. Nous avons autre chose à faire que gérer ce genre d’âneries.
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Pendant que l’horloger s’attelait à enrouler le fil de fer autour d’une sorte de tubulure près du nez de l’engin, Alexia monta à l’intérieur. Pour découvrir, à son épouvantable embarras, que le siège en forme de couche faisait remonter ses jupes sous ses aisselles et pendre ses jambes sous les énormes ailes de l’appareil, ses dessous exposés à la vue de tous. C’étaient ses meilleures culottes, Dieu merci, en flanelle rouge avec trois rangs de dentelle sur l’ourlet, mais cela restait un vêtement qu’une dame ne devrait montrer à personne, sauf à sa femme de chambre et à son mari - qu’il aille au diable, de toute façon.
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Le visage de Mme Loontwill était celui d’une jolie femme qui avait vieilli sans s’en rendre compte ; il se plissa en une grimace dont Alexia pensa qu’elle était censée signifier l’inquiétude maternelle. Au lieu de quoi elle la fit ressembler à un pékinois atteint de problèmes gastriques.
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Bob déglutit péniblement. Des émotions contradictoires s’agitent en lui – répugnance, tristesse, peur, regret, et même de la compassion pour cet individu dérangé. Il baisse la tête.
— Vous en avez vu de toutes les couleurs.
— Regarde ça, Bob, dit le Gouverneur en désignant la petite zombie. (Le petit monstre incline la tête et le fixe d’un air fâché. Elle cligne des paupières. L’ombre vague de Penny Blake brille au fond de son regard.) Ma petite est toujours là-dedans. Pas vrai, ma chérie ?

Il s’approche de la créature enchaînée, s’accroupit et lui caresse la joue. Bob se raidit.
— Faites attention, faudrait pas que vous…
— C’est ma jolie petite fille, dit le Gouverneur en caressant les cheveux crasseux.

Le visage de la petite change, elle plisse les paupières et ses lèvres noirâtres se retroussent sur ses petites dents pourries.
— Faites gaffe, dit Bob en s’avançant.

La créature tente de mordre le poignet du Gouverneur, mais celui-ci retire sa main juste à temps.
— Holà !

La petite zombie tire sur ses chaînes et griffe le vide tandis que le Gouverneur recule.
— C’était le vilain petit lapin qui avait voulu faire du mal à son papa ! chantonne-t-il comme on le fait avec un bébé. (Bob a la tête qui lui tourne. Une nausée monte dans sa gorge.) Bob, sois gentil, passe-moi le sac dans lequel j’ai apporté la tête.
— Hein ?
— Sois gentil et passe-moi la petite friandise qui reste dans le sac, là-bas.

Réprimant sa nausée, Bob se tourne, ramasse le sac et regarde à l’intérieur. Un doigt livide, apparemment un doigt d’homme, est resté au fond dans une bouillie sanglante. Des poils hérissent les phalanges et à l’extrémité déchiquetée apparaît même un petit bout d’os blanc.
Quelque chose cède au fond de Bob, comme un élastique qui claque, alors qu’il sort un mouchoir de sa poche, se baisse et prend le doigt.
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La détonation déchire le ciel et les plombs se logent dans le front du nain le plus proche. À quelques mètres, le petit corps en putréfaction se convulse et tombe à la renverse sur les trois autres nains maquillés en clowns sanglants. Les petits zombies difformes comme des gnomes morbides s’éparpillent.

Josh jette un dernier regard à ces créatures surréalistes qui fondent sur lui.

Derrière, titubant sur la rive, surgit un assortiment hétéroclite d’artistes de cirque morts-vivants. Un colosse à moustache en guidon de vélo et aux muscles déchiquetés et sanglants avance aux côtés d’une femme monstrueusement obèse, à moitié nue, ses énormes seins pendouillant sur son entrejambe, ses yeux laiteux enfouis dans un visage gonflé comme un beignet périmé.

Tout un tas de contorsionnistes, monstres et forains suivent comme des idiots. Des hydrocéphales qui claquent des mâchoires vacillent en compagnie de trapézistes en costumes scintillants aux visages gangrénés, suivis d’amputés qui claudiquent spasmodiquement. La horde avance par saccades, féroce et affamée comme un banc de piranhas.
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— Le mec que tu leur balances, c’est qui ?
— Oh… Le vieux qui habitait près de la poste.
— Mort naturelle, j’espère ?
— Ouais, fait Gabe en balançant un autre morceau par l’ouverture. Crise d’asthme hier soir, le pauvre. Il paraît qu’il avait de l’emphysème.

Le Gouverneur laisse échapper un soupir.
— Il a rejoint le Seigneur, à présent. Passe-moi un bras. Un avant-bras. Et peut-être un peu d’abats. Un rein ou le cœur.

Gabe s’interrompt. Les bruits humides de mastication frénétique résonnent dans le couloir. Il jette au Gouverneur un curieux regard, mélange de compassion, d’affection et peut-être d’obéissance, comme le scout qui s’apprête à seconder son chef.
— Je vais vous dire ce que je vais faire, dit-il d’une voix rauque. Rentrez chez vous et je vais vous apporter tout ça.
— Pourquoi ?
— Si des gens me voient trimballer quelque chose, ils réfléchiront pas, fait Gabe en haussant les épaules. Vous, ils voudront vous aider… Ils voudront peut-être savoir ce que c’est, vous demanderont ce que vous faites.

Philip le dévisage un instant.
— C’est pas faux.
— Ça passera mal.
— Très bien, acquiesce Philip, satisfait. On fera comme tu proposes. Je serai chez moi le reste de la soirée. Apporte-moi tout ça.

— Reçu.
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L’homme sait comment séduire un public. Captivant l’assistance avec son regard flamboyant, son micro au poing avec la ferveur d’un prédicateur, il est nimbé d’une étrange aura charismatique. Philip Blake n’est pas grand ni particulièrement séduisant – à vrai dire, certains le qualifieraient d’un peu crasseux et rachitique –, il n’en dégage pas moins une assurance surnaturelle. Ses yeux noirs reflètent la lumière comme des géodes et une barbiche de bandit du tiers-monde encadre son visage taillé à la serpe.
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En bras de chemise, pantalon et bottes en caoutchouc, adossé à la banquette, un pied posé avec désinvolture sur le coussin, il tripote un jouet d’enfant. Dans ses énormes mains, il retourne le minuscule hélicoptère télécommandé comme s’il n’en avait jamais vu de sa vie. Sa fascination morbide pour les jouets – en fait, le simple concept de jouet, et l’absurdité de leur existence en cette époque, comme si le fait que l’on puisse jouer était désormais une offense faite à Dieu – lui donne le vertige. Son propre père ne voyait pas d’un bon œil le fait de jouer.
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Quelque chose se libère en elle – quelque chose d’invisible et de profondément enfoui – déclenché par ce signal énigmatique. Ils se rapprochent. Ils ne sont plus qu’à une trentaine de mètres de la remorqueuse fumante et ruisselante de sang, et Lilly sent en elle les vagues de fureur se fracasser contre quelque chose de bien plus sombre.

Un psychologue qualifierait cela d’hypomanie. Les soldats en service disent « folie meurtrière ».
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— Alors, qu’est-ce que tu dis, en définitive ? (Lilly serre les poings sans même s’en rendre compte et se rapproche de la grosse femme.) Tu te défiles ? Tu as le droit de rester avec David et Tommy pour tenir la baraque. On perd du temps à discuter, là.
— C’est pas compliqué, fait Norma en se tordant les mains. Je demande juste si tu veux récupérer les gosses ou si tu veux punir leurs ravisseurs de la pire manière possible ?
— Peut-être un peu des deux, répond Lilly, le regard flamboyant. Et alors ? C’est comme ça que ça se passe.
Jinx intervient en posant la main sur l’épaule de Lilly.
— OK, on respire tous un bon coup. Pas la peine de s’énerver, on discute, c’est tout.
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