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Nesta le remarqua et parut également lire dans son regard.

- Qu'est-ce que vous regardez ? demanda-t-elle d'un ton sec.

Cassian haussa les sourcils.

- Quelqu'un qui a laissé sa sœur cadette risquer sa vie jour après jour en forêt sans rien faire. Quelqu'un qui a laissé une enfant de quatorze ans s'aventurer tout près du mur.

Mon visage devient brûlant et j'ouvris la bouche sans même savoir ce que j'allais dire.

- Votre sœur est morte... morte pour sauver mon peuple, poursuivit-il. Et elle est prête à mourir de nouveau pour vous protéger de la guerre. Alors n'attendez pas de moi que je reste assis sans rien dire pendant que vous rabaisser ce corps qu'elle n'a pas choisi, et que, par la même occasion, vous insultez mon peuple.

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Il est persuadé qu'on se souviendra de lui comme du méchant de l'histoire. J'aurais dû lui répondre que le méchant et généralement celui qui enferme la jeune fille et jette la clef, Rhys est celui qui m'a libérée.

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“– Je pense que quand je te regarde, je peux à peine respirer et j’ai l’impression que je vais “mourir, dit-il. Je pense que je te désire tant que j’ai du mal à me concentrer quand tu es là et que cette chambre est bien trop petite pour que je puisse dormir avec toi. Surtout avec ces ailes.”

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“– Il m’aimait… et il m’aime encore, Rhysand.

– La question n’est pas de savoir s’il vous aime, mais à quel degré. Et il vous aime trop. L’amour peut se muer en poison.”

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– Ça m'étonnerait, susurra-t-il. Ça vous a bien trop plu de me voir nu.

– Crétin !

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Le Grand Seigneur ne me sourit pas et je lui présentai un visage impassible à l’expression légèrement blasée.

Son regard descendit vers ma poitrine que découvrait l’échancrure de mon corsage, comme s’il pouvait voir où logeait l’once de vie et de pouvoir qu’il m’avait donnée. Rhysand suivit son regard.

– Ses seins ne sont-ils pas magnifiques ? lança-t-il. Et aussi appétissants que des pommes mûres.

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– Est-ce que cela vous a plu de me voir à genoux devant vous ?

demanda-t-il d’une voix caressante qui me terrifia.

Je savais qu’il entendait mon cœur battre comme un roulement de tonnerre, mais je lui adressai un petit sourire narquois et méprisant, me dégageai et sautai à bas du rocher.

– Bien sûr. Vous, les mâles, n’êtes bons qu’à ça, n’est-ce pas ?

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J'avais l'impression de me noyer, de lutter pour remonter vers une surface qui n'existait pas. Je me sentais épuisée.

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Les émotions. Je crois que Nesta ressent tout intensément et que cela la consume. Sans ce mur qu'elle a érigé autour d'elle, elle serait submergée par ses émotions.

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Pendant un long moment, nous n’entendîmes plus que la pluie qui tambourinait sur le toit. – Très bien, dit-il enfin. Je rejoignis l’autre côté du lit à quatre pattes et me glissai sous la courtepointe. Des draps frais et amidonnés m’enveloppèrent comme une main glacée. Mais ce n’était pas de froid que je frissonnais quand le matelas se creusa, la courtepointe se souleva et les deux chandelles posées à côté du lit s’éteignirent. Les ténèbres m’assaillirent au même instant que la chaleur de son corps. Je dus prendre sur moi pour ne pas me rapprocher doucement de lui. Aucun de nous ne bougeait. Je scrutais les ténèbres, écoutais le bruit de la pluie et tentais de lui voler un peu de la chaleur de son corps. – Tu trembles si fort que tu fais frémir le lit, dit-il. – Mes cheveux sont mouillés, répondis-je. Ce qui était vrai. Rhys se tut un instant, puis le matelas gémit et se creusa juste derrière moi tandis que sa chaleur se répandait sur moi. – Je n’ai aucune idée derrière la tête, je veux juste te réchauffer, déclara-t-il. Puis il partit d’un rire qui me fit froncer les sourcils. Mais ses larges mains se glissaient déjà autour de moi. L’une se posa sur mon estomac pour m’attirer contre la chaleur de son corps, l’autre contourna mes côtes et se lova sous ma poitrine tandis qu’il pressait la sienne contre mon dos. Ses jambes enserrèrent les miennes et des ténèbres plus pesantes et plus chaudes nous enveloppèrent dans un parfum de citron et de sel marin. Je levai une main vers elles et mes doigts rencontrèrent quelque chose de doux et de soyeux : son aile déployée au-dessus de moi. J’en suivis le contour du doigt et il frissonna en me serrant plus fort. – Ton doigt est vraiment très froid, fit-il entre ses dents et je sentis la tiédeur de son souffle contre ma nuque. Je réprimai un sourire et passai les doigts le long de son aile dont mon ongle érafla doucement la surface soyeuse. Rhys se raidit et sa main s’ouvrit en éventail contre mon ventre. – Vicieuse et cruelle petite créature, susurra-t-il en caressant du bout du nez ma nuque qui fléchit sous ses lèvres. Personne ne t’a enseigné les bonnes manières ? – J’ignorais que ces pauvres petits Illyriens étaient si sensibles, persiflai-je en promenant un autre doigt sur l’intérieur de ses ailes. Je sentis une pression contre mes reins et un flot de chaleur m’envahit. Je me raidis et me relâchai au même instant. Je caressai de nouveau ses ailes, avec deux doigts cette fois-ci, et il ondula contre moi au rythme de la caresse. Ses doigts caressèrent nonchalamment mon ventre. Il traça des cercles autour de mon nombril et je me pressai contre lui et me cambrai légèrement pour livrer mes seins à son autre main. – Tu es insatiable, murmura-t-il, les lèvres toutes proches de ma nuque. Tu commences par me glacer avec tes mains froides et maintenant, tu veux que… mais que veux-tu, Feyre ? Encore, encore, encore, aurais-je voulu l’implorer alors que ses doigts suivaient les contours de mes seins et que son autre main caressait toujours mon ventre en descendant avec une lenteur intenable vers la ceinture de mon pantalon et la douleur exquise qui enflait sous l’étoffe. Les dents de Rhys frôlèrent ma nuque d’une caresse indolente. – Qu’est-ce que tu veux, Feyre ? répéta-t-il en mordillant le lobe de mon oreille. Je poussai un petit cri et me cambrai contre lui comme pour faire glisser sa main là où je la voulais. Je savais ce qu’il désirait m’entendre dire mais je n’étais pas encore prête à lui accorder satisfaction. – M’amuser un peu, répondis-je, le souffle court. Passer un bon moment… Je me demandai s’il croyait à ce mensonge, s’il pensait vraiment que c’était tout ce que je voulais. Mais ses mains recommencèrent à me caresser. – Alors accorde-moi le plaisir de te divertir, fit-il. Il glissa une main sous ma chemise. Je sentis sa peau contre la mienne et les cals de sa main me firent gémir quand ils éraflèrent mes seins. – Tu n’imagines pas combien je les adore, souffla-t-il contre ma nuque. Je gémis de nouveau quand il effleura le téton et m’abandonnai à cette caresse. Il était dur comme du granit contre moi. Je me frottai contre son ventre, lui arrachant un grondement léger et lascif. – Arrête, gronda-t-il contre ma peau. Tu vas tout gâcher… Je ne l’aurais voulu pour rien au monde. Je me tordis, essayai de le saisir, mais il se pressa plus fort contre moi, si bien que je ne pouvais même plus glisser une main entre nous. – Je voudrais te toucher d’abord, murmura-t-il d’une voix si rauque que je la reconnus à peine. Laisse-moi seulement… te toucher, répéta-t-il, et il posa la main sur mon sein. Je m’immobilisai puis me détendis tandis que son autre main caressait de nouveau mon ventre. Quand je te regarde, je peux à peine respirer… Laisse-moi te toucher. Parce que j’étais jaloux et furieux… Elle est à moi. Je chassai ces pensées, ces révélations qu’il m’avait faites. Sa main redescendit le long de mon pantalon. – Encore ! parvins-je à articuler. Ce qui le fit sourire. – Décidément, quel manque de manières ! Et sa main descendit enfin sous le tissu. Ce premier frôlement fit jaillir un grondement du fond de ma gorge. Il poussa un grognement de satisfaction et son pouce décrivit des cercles entre mes cuisses, frôlant sans jamais… Son autre main pressa doucement mon sein au moment même où son pouce s’enfonçait où je le voulais. J’arquai les hanches, la tête contre son épaule, pantelante. Je poussai un cri et il partit d’un rire bas et doux. – Tu aimes ça ? demanda-t-il. Ma seule réponse fut un gémissement. Ses doigts glissèrent plus bas, lentement, effrontément. Il s’attardait comme s’il avait tout son temps et tout en moi s’abandonna à cette caresse. Je l’implorai encore en me pressant davantage contre lui. Il expira entre ses dents et glissa un doigt en moi. – Feyre… Ses lèvres se pressèrent sur ma nuque et l’embrassèrent en remontant vers mon oreille. Je gémis si fort que le bruit couvrit la rumeur de la pluie tandis qu’il glissait un second doigt en moi, me remplissant au point que je ne pouvais plus penser et à peine respirer. Je me moquais en cet instant de savoir ce que j’étais, qui j’étais et ce que j’avais fait. Je me laissai aller contre lui en ouvrant la bouche. Sa langue s’y enfonça dans un mouvement qui me laissa une idée très précise de ce qu’il pourrait faire entre mes jambes. Ses doigts plongèrent et ressortirent lentement et brutalement, et toute mon existence se réduisit à cette sensation, à l’intérieur de mon corps se resserrant à chaque caresse profonde, à chaque coup de langue dans ma bouche qui était comme l’écho de ces caresses. – Tu n’imagines même pas combien je… Il s’interrompit et poussa un grondement. – Feyre ! Entendre mon nom sur ses lèvres en fut trop pour moi. Le plaisir déferla, me submergea et quand je gémis, sa bouche couvrit la mienne comme pour avaler mon cri. Je frissonnais en le serrant étroitement en moi. Il jura, haletant, et sa main m’accompagna dans mes derniers spasmes, jusqu’au moment où je restai inerte et tremblante dans ses bras. Rhys s’écarta pour me regarder droit dans les yeux. – J’avais envie de le faire depuis que je t’ai sentie contre moi, à la Cour des Cauchemars. J’avais envie de te prendre là-bas devant tout le monde. Mais je voulais avant tout faire ça. Et, tout en soutenant mon regard, il porta ses doigts à sa bouche et les suça. J’avais envie de le dévorer. Je posai la main sur sa poitrine pour le rejeter sur le lit, mais il saisit mon poignet. – Je veux être seul, loin de tous, quand tu le feras, Feyre, dit-il en semant des baisers sur mon visage et mon cou. Parce que, à ce moment-là, je rugirai assez fort pour abattre une montagne. Je me liquéfiai de nouveau en entendant ces paroles et il rit doucement. – Et quand c’est moi qui te lécherai, je veux que tu sois étendue sur une table comme un festin pour moi seul, acheva-t-il en me serrant contre lui. J’ai eu tout mon temps pour imaginer comment et où je te posséderai, murmura-t-il, et ses doigts descendirent de nouveau le long de mon ventre, mais s’arrêtèrent sous la ceinture de mon pantalon. Je n’ai pas l’intention de tout faire en une seule nuit ni dans une chambre où je ne peux même pas te prendre contre le mur. Je frissonnai. Je sentais son membre encore rigide contre moi et j’aurais voulu l’avoir en moi. – Dors, me dit-il. Mais il aurait aussi bien pu m’ordonner de respirer sous l’eau. Il recommença pourtant à caresser mon corps, mais cette fois-ci pour l’apaiser par de longues caresses le long de mon ventre, et je m’endormis plus vite que je l’aurais pensé. Peut-être était-ce l’effet du vin, ou la détente après ce moment de plaisir, mais je ne fis pas le moindre cauchemar.

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