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J’abaissai le mur pour l’insulter par-dessus le pont mental qui nous reliait, puis l’érigeai à nouveau.
Afficher en entier- Viens, ô fiancée, sceller ton union avec ton bien-aimé. Viens afin que le bien puisse triompher, déclama Ianthe.
Le bien... Il n'y avait rien de bon en moi. Mon âme, mon âme immortelle, être damnée...
Je voulus inspirer pour répondre : Non... non ! Mais je n'eus pas à le faire.
Un coup de tonnerre retentit derrière moi comme le heurt de deux gigantesques rochers lancés l'un contre l'autre.
Des cris fusèrent dans l'assistance, des invités s'égaillèrent et certains s'évanouirent dans l'air tandis qu'une nuée noire jaillissait.
Je pivotai sur moi-même et, à travers des lambeaux de nuit flottant comme de la fumée dans le vent, je vis Rhysand lisser les revers de sa veste noire.
- Bonsoir, Feyre chérie.
Afficher en entier« Je t’aime, répétai-je, disant enfin ce que je n’avais même pas osé penser. Je suis prête à revivre chaque seconde de ce que j’ai subi pour cet instant ou je t’ai trouvé. Et si la guerre éclate, nous l’affronterons ensemble. Je ne laisserai personne m’arracher à toi ni t’arracher a moi. »
Feyre à Rhysand
Afficher en entier« Je dévorais des livres jour après jour, des histoires de gens et de lieux qui m’étaient inconnus, et ce furent peut-être eux seuls qui m’empêchèrent de céder au désespoir »
Extrait de
Un palais de colère et de brume
Sarah J. Maas
Afficher en entier« Cette occupation m’avait apporté la compagnie paisible de personnages imaginaires grâce auxquels je me sentais moins seule. »
Extrait de
Un palais de colère et de brume
Sarah J. Maas.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)- Non. Feyre est désormais la Grande Dame de la Cour de la Nuit.
Et mon égale en tout. Elle porterait ma couronne et prendrait place sur un trône à côté du mien. Elle ne serait jamais tenue à l’écart de rien ni assignée à organiser des soirées, à concevoir et à élever des héritiers.
Elle serait ma reine.
Afficher en entier- Une pensée contre une autre, lançai-je. Mais surtout rien qui concerne l'entraînement !
Il gloussa, vida son verre et me regarda boire une gorgée du mien.
- Je pense que quand je te regarde, je peux à peine respirer et j'ai l'impression que je vais mourir, dit-il. Je pense que je te désire tant que j'ai du mal à me concentrer quand tu es là et que cette chambre est bien trop petite pour que je puisse dormir avec toi. Surtout avec ces ailes.
Afficher en entier- Je tuerai tous ceux qui voudront te faire du mal, gronda Rhys. Je les tuerais. Tu peux me haïr et me mépriser pour cela ...
Afficher en entier- Vous, les mâles illyriens, vous êtes vraiment insupportables, commentais-je.
- Mais nous compensons cela par notre impressionnante envergure...
Afficher en entierL’amour peut être un baume ou un poison…
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