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« C’est alors qu’elle t’a brisé la nuque et je t’ai sentie mourir, chuchota-t-il tandis que des larmes coulaient sur son visage et sur le mien. Cette beauté, cette merveille qui avait fait irruption dans ma vie… n’était plus »

Extrait de 

Un palais de colère et de brume

Sarah J. Maas

Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

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- Amren a raison, lança Rhysand du seuil du salon de l'hôtel particulier. Vous êtes comme des chiens qui attendent mon retour à la maison. J'aurais dû vous apporter du sucre.

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- Je pense que j'étais autrefois solitaire, sans espoir et que j'aurais pu tomber amoureuse du premier venu qui aurait fait preuve de bonté envers moi et m'aurait protégée. Je pense que Tamlin le savait - sans doute pas consciemment, mais qu'il voulait jouer ce rôle vis-à-vis de quelqu'un. Et je pense que cela convenait à celle que j'étais alors. Mais ça ne convient plus à celle que je suis devenue.

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- Je suis... très heureux de t'avoir rencontrée, Feyre, dit-il doucement.

Je refoulai les larmes qui me brûlaient les yeux. Je le pris par la main et l'entraînai.

- Viens, allons danser avec les autres.

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– Et maintenant ? demandai-je.

Sans un mot, il prit le savon et l’éponge, me retourna et commença à me nettoyer.

– À toi de décider, répondit-il. Nous pouvons retourner à Velaris et faire vérifier notre lien par une prêtresse afin que nous soyons reconnus âmes sœurs. Nous pourrions alors organiser une petite fête ou un dîner avec nos amis. À moins que tu ne préfères une grande fête, mais je crois que toi et moi avons la même aversion pour ce genre de célébration.

Ses mains vigoureuses massaient les muscles crispés et endoloris de mon dos et je poussais des grognements de bien-être.

– Nous pourrions également aller trouver une prêtresse pour qu’elle nous déclare mari et femme aussi aussi bien qu’âmes sœurs, si tu veux désigner notre union par un nom plus humain, reprit-il.

– Et toi, comment veux-tu m’appeler ?

– Je veux te considérer comme mon âme sœur, même si je suis également très tenté de t’appeler ma femme. Mais si tu préfères attendre, nous ne sommes tenus à rien. Rien ne presse. Nous sommes destinés l’un à l’autre quoi qu’il arrive.

Je me tournai vers lui.

– En fait, quand je t’ai demandé : « Et maintenant ? », je pensais à Jurian, au roi, aux reines et au Chaudron, mais je suis heureuse de savoir que j’ai le choix en ce qui concerne nos relations. J’ai très envie de te mener par le bout du nez.

– Quelle cruelle et splendide créature tu es, répondit-il avec une lueur d’amusement dans les yeux.

Je pouffai à l’idée qu’il puisse me trouver splendide.

– Oui, tu l’es, insista-t-il. Tu es la plus belle créature que j’aie jamais rencontrée. C’est ce que j’ai pensé la première fois que je t’ai vue, à Calanmai.

J’avais beau me répéter qu’il était stupide d’attacher la moindre importance à la beauté, mes yeux me brûlèrent quand j’entendis ces paroles.

– Et c’est parfait, poursuivit-il, puisque toi-même, tu as pensé ce soir-là que j’étais le plus beau mâle que tu aies jamais vu, ce qui nous met à égalité.

Je le foudroyai du regard et il éclata de rire, me saisit par la taille et m’attira à lui. Je m’assis à califourchon sur lui.

[...]

L’éclat de ses yeux et sa joie sereine me coupèrent le souffle. Je compris à cet instant que nous aurions un avenir ensemble, que j’aurais une vie à moi.

Mais son sourire se mua en une expression empreinte de révérence et quand je tendis les mains pour prendre son visage entre elles, je vis que ma peau était lumineuse.

Elle brillait faiblement, comme éclairée de l’intérieur, en dégageant un halo. C’était une lumière à la fois chaude et blanche, comme celle du soleil ou d’une étoile. Le regard émerveillé de Rhysand rencontra le mien.

– Eh bien, je peux au moins me vanter que grâce à moi, mon âme sœur resplendit de bonheur, déclara-t-il en caressant mon bras.

Je ris et la lumière devint plus vive. Il se pencha vers moi, m’embrassa doucement et je passai les bras autour de son cou.

Il se leva et je resserrai les jambes autour de sa taille tandis qu’il me ramenait dans la chambre. Les draps changés entre temps par magie étaient chauds et doux sous mon corps nu quand il me déposa sur le lit. Je brillais comme une étoile, d’une lumière intense et limpide.

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Dans la pénombre de la chaumière s’élevait un grand rouet fissuré et terni par les ans. Devant l’instrument, me tournant le dos, était assise la Tisserande. Son épaisse chevelure d’onyx tombait jusqu’à sa taille mince et ses mains d’une blancheur de neige enroulaient le fil autour d’un fuseau à la pointe acérée.

Elle paraissait jeune. Sa robe grise simple mais élégante brillait légèrement dans la faible lueur filtrant par les fenêtres, tandis qu’elle chantait d’une voix pure comme l’or :

Avec ses os, l’meunier fabriqua

Une viole pour jouer des airs joyeux,

Avec ses doigts si délicats,

Les chevilles de l’instrument hideux.

Le fil qu’elle enroulait était blanc et semblait doux comme de la laine. Mais ce qu’il restait de mortel en moi savait que ce n’en était pas. Et je préférais ignorer de quelle créature provenaient ces fibres.

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Alone in my bedromm. I realized I couldn't remember the last time I'd truly laughed.

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" We were a song that had been sung from the very first ember of light in the world. "

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"When you spend so long trapped in darkness, Lucien, you find that the darkness begins to stare back."

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His words were a lethal caress as he said, “Did you enjoy the sight of me kneeling before you?”

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