Ajouter un extrait
Liste des extraits
- Si tu mets immédiatement fin à ce marché, je te donnerai tout ce que tu voudras, déclara-t-il.
- Tu es fou ? m'écriai-je.
Tamlin ne me regarda même pas et Rhysand haussa un sourcil avant de répondre.
- J'ai déjà tout ce que je veux.
Afficher en entierTu as déjà assez donné, Feyre.
Peut-être avait-il raison. Et peut-être n'avais-je plus rien à donner.
Afficher en entier- Vous êtes un Grand Seigneur ... n'avez-vous rien de mieux à faire ?
- Si, bien sûr, mais rien de plus plaisant que de vous regarder vous tortiller d'embarras.
Afficher en entierAux étoiles qui entendent les vœux et aux rêves exaucés.
Afficher en entierC'était une diversion pour éveiller ma colère, car mieux valait être furieuse que ne rien ressentir, car la haine me promettait de tenir bon dans les ténèbres sans fond du désespoir
Afficher en entier-Tu veux dire que Rhys, Az et toi, les trois guerriers les plus redoutés de ce pays, avez une bataille annuelle de boules de neige?
Afficher en entierCar c'était de la musique qui s'élevait entre leurs âmes, depuis toujours, et la voix de Cassian était sa mélodie préférée.
Afficher en entier“He did—does love me, Rhysand.”
“The issue isn’t whether he loved you, it’s how much. Too much. Love can be a poison.”
Afficher en entierJe l'avais aimé, j'avais tout ressenti : joie, désir, apaisement... il m'avait fait éprouver tout cela.
Mais peut-être que ses sentiments m'avait aveuglée sur sa violence, sur son besoin de contrôler et de protéger si profondément enraciné en lui qu'il m'avait enfermée comme une prisonnière.
Afficher en entier« Quand j’émergeai du vent et de l’ombre, je chevauchais l’attor.
Il hurla quand je plongeai les flèches empoisonnées dans ses ailes en transperçant les muscles. Il rua sous la douleur et sa langue bifide fendit l’air. Au-dessous de nous, la ville n’était plus qu’une tache floue et la Sidra, un ruisseau.
Je me muai en flamme et étreignis l’attor. Il hurlait et se débattait, les ailes paralysées par le poison…
Cinglés par le vent, nous tombâmes comme une pierre vers la terre, vers le sang et la souffrance.
Je fis surgir mon poignard dans ma main.
Les ténèbres qui consumaient l’horizon se rapprochèrent soudain comme si elles m’avaient repérée.
Non, pas tout de suite…, pensai-je.
Je brandis ma lame au-dessus de la cage thoracique osseuse et étirée de l’attor.
– Ça, c’est pour Rhys, grondai-je dans son oreille pointue. »
Afficher en entier