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– Quand on reste assez longtemps prisonnier des ténèbres, on découvre un jour qu’elles vous sont devenues familières, répondis-je à Lucien. 

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Un coup de tonnerre retentit derrière moi comme le heurt de deux gigantesques rochers lancés l’un contre l’autre.Des cris fusèrent dans l’assistance, des invités s’égaillèrent et certains s’évanouirent dans l’air tandis qu’une nuée noire jaillissait.Je pivotai sur moi-même et, à travers des lambeaux de nuit flottant comme de la fumée dans le vent, je vis Rhysand lisser les revers de sa veste noire.

– Bonsoir, Feyre chérie.

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« — A tous ceux qui rêvent en contemplant les étoiles, Rhys, déclarai-je. (...)

— Aux étoiles qui entendent les vœux et aux rêves exaucés, répondit-il. »

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« Un beau jour , deux sœurs s’en allèrent

Voir les grands navires de leur père.

Une fois au bord de la ravine,

L’ainée poussa la benjamine.

Elle dériva et bien plus loin,

Son corps heurta l’aube du moulin.

Avec ses os, l’meunier fabriqua

Une viole pour jouer des airs joyeux,

Avec ses doigts si délicats,

Les chevilles de l’instrument hideux.

Que fit-il de l’arrête du nez?

Il sculpta un beau chevalet.

Que fit-il de ses veines si bleues?

Des cordes où poser son archet.

Que fit -il de ses deux yeux d’or?

Il en orna sa viole à l’aurore.

Et de sa langue bien pendue

La nouvelle s’est répandue.

Et la première corde a chanté

Je vois au loin le roi mon père.

Et la deuxième corde a chanté

Je vois au loin la reine ma mère.

Et les trois cordes ont entonné

Je vois ma sœur qui m’a noyée. »

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« Un être doué de pouvoirs semblables aux miens peut se glisser dans vôtre tête, y chercher ce qu’il veut et prendre possession de votre esprit. Ou le briser. Je me tiens en ce moment sur le seuil de votre esprit... mais si j’allais plus loin, il me suffirait d’une pensée pour vous rayer de la surface de la Terre. »

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Je voulus inspirer pour répondre : Non… non ! Mais je n’eus pas à le faire.

Un coup de tonnerre retentit derrière moi comme le heurt de deux gigantesques rochers lancés l’un contre l’autre.

Des cris fusèrent dans l’assistance, des invités s’égaillèrent et certains s’évanouirent dans l’air tandis qu’une nuée noire jaillissait.

Je pivotai sur moi-même et, à travers des lambeaux de nuit flottant comme de la fumée dans le vent, je vis Rhysand lisser les revers de sa veste noire.

– Bonsoir, Feyre chérie.

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- Je ne peux pas me concentrer en votre présence : je la sens même quand nous ne sommes pas dans la même pièce.

Un sourire sensuel se dessina sur ses lèvres et je levai les yeux au ciel, excédée.

- Pourquoi ne vous éclipsez-vous pas un moment dans l'un de ces intervalles entre deux royaumes ? lançai-je.

- Içi, ça ne marche pas, répondit-il. Bien : entraînez-vous à votre guise. Si vous avez obtenu un résultat avant le petit déjeuner, prévenez-moi par notre lien, dit-il en désignant le tatouage de ma paume.

- Je peux vraiment vous appeler de cette manière ? demandai-je en examinant l'oeil tatoué.

- Si vous préférez, frottez-le contre certaines parties de votre corps : j'arriverai peut-être plus vite.

Sur ces mots, il disparut avant que j'aie eu le temps de lui lancer la bougie à la tête.

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- Quand j'étais enfant, me dit Rhysand à l'oreille, je m'échappais parfois du pavillon du Vent par la fenêtre de ma chambre et je volais toute la nuit en tournoyant au-dessus de la ville, du fleuve et de la mer. Ça m'arrive encore.

- Vos parents devaient être ravis...

- Mon père ne l'a jamais su. Et ma mère... Elle était illyrienne. Quand elle me surprenait à sauter par la fenêtre, elle me réprimandait... et puis elle me suivait pour voler avec moi jusqu'à l'aube.

- Elle doit être merveilleuse.

- Elle l'était, fit-il, et cette réponse me dissuada de poser d'avantage de questions.

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- Est-ce Rhysand qui vous a ordonné de ne pas venir ?

- Non, dit-elle avec un petit rire. Au contraire, il a voulu me convaincre de venir. Il m'a dit que je me conduisais de manière ridicule. Mais Cassian, lui... Il comprend ce que je ressens. À nous deux, nous avons fait rouler Rhys sous la table la nuit dernière.

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Un coup de tonnerre retentit derrière moi comme le heurt de deux gigantesques rochers lancés l'un contre l'autre.

Des cris fusèrent dans l'assistance, des invités s'égaillèrent et certains s'évanouirent dans l'air tandis qu'une nuée noire jaillissait.

Je pivotai sur moi-même et, à travers des lambeaux de nuit flottant comme de la fumée dans le vent, je vis Rhysand lisser les revers de sa veste noire.

- Bonsoir, Feyre chérie.

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