Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 986
Membres
1 014 623

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Quand on reste assez longtemps prisonnier des ténèbres, on découvre un jour qu'elles vous sont devenues familières.

Afficher en entier

– Je pense que j'étais autrefois solitaire, sans espoir et que j'aurais pu tomber amoureuse du premier venu qui aurait fait preuve de bonté envers moi et m'aurait protégée. Je pense que Tamlin le savait – sans doute pas consciemment, mais qu'il voulait jouer ce rôle vis-à-vis de quelqu'un. Et je pense que cela convenait à celle que j'étais alors. Mais ça ne convient plus à celle que je suis devenue.

Afficher en entier

Si je ne l’aimais pas déjà, je l’aurais aimé rien que pour cette raison : il ne m’incitait pas à rester, il ne me cloîtrait pas après ce qui était arrivé la veille, même si tout son instinct lui dictait de le faire.

Et je songeai que j’avais été traitée avec bien peu de considération auparavant pour me contenter de si peu, pour considérer la liberté qu’on m’accordait comme un privilège et non comme un droit naturel.

Afficher en entier

"Je reconnus l'air que jouaient des musiciens à la terrasse d'un restaurant.

C'était la musique que j'avais entendue alors que j'étais enfermée dans mon cachot glacial. J'étais si terrifiée, si désespérée que cette musique m'avait donné des visions... et finalement aidée à tenir bon.

[...]

- c'est vous, soufflai-je, les yeux fixés sur les musiciens. C'est vous qui m'avez fait entendre cette musique quand j'étais prisonnière. Pourquoi ?

- Parce que vous étiez près de vous effondrer et que je n'avais pas d'autre moyen de vous secourir, répondit Rhysand à mi-voix.

Afficher en entier

Je n’avais pas peur. Le rôle que Rhysand m’avait demandé de jouer ce jour-là ne m’effrayait pas. Pas plus que le vent rugissant à mes oreilles alors que nous nous tamisions au pied d’une chaîne de montagnes enneigées, ou que la descente vertigineuse dans laquelle Rhysand nous entraînait entre les sommets et les vallées.

Nous étions flanqués de Cassian et d’Azriel. Mor devait nous rejoindre au portail de la montagne. Les traits de Rhysand étaient tirés et, comme je m’accrochais à lui, je pouvais sentir que ses épaules étaient crispées. Après m’avoir expliqué ce qu’il attendait de moi, il était devenu absent et comme… hanté. Il était inquiet pour moi, comme je le compris alors.

Je voulus apaiser cette inquiétude, chasser la tension de son visage, ne serait-ce que pendant ces quelques minutes de répit.

– Amren et Mor m’ont dit que l’envergure des ailes d’un Illyrien est révélatrice des dimensions de… d’une autre partie de son anatomie ! criai-je pour me faire entendre de lui par-dessus le rugissement du vent.

– Elles sont bien informées, répliqua-t-il. Je chassai de mon esprit l’image de son corps nu que je n’avais fait qu’entrevoir.

– Elles ont également affirmé que c’est Azriel qui a les plus grandes ailes, repris-je. Une lueur espiègle illumina ses yeux.

– Nous pourrons comparer à notre retour, qu’en dites-vous ? proposa-t-il.

Je pinçai son avant-bras musclé et il m’adressa un sourire malicieux avant de plonger.

Afficher en entier

“– J’aime quand tu me regardes ainsi, dit-il avec une douceur qui fit battre mon cœur plus vite.

– Que veux-tu dire ?

– Tu me regardes comme si mon pouvoir ne te terrifiait pas.

Comme si tu me voyais tel que je suis.”

Afficher en entier

“Par notre lien, je tendis la main pour caresser le mur noir de ses défenses mentales. Une fissure s’ouvrit dedans pour moi seule et je lui parlai à travers elle.

Ton masque ne me fait pas peur. Je te vois derrière lui tel que tu es, Rhys. Et tu es quelqu’un de bien.

Ses mains se resserrèrent sur moi et son regard soutint le mien. Ses lèvres effleurèrent ma joue en une réponse éloquente, et ce fut comme si une digue se rompait en moi.”

Afficher en entier

“– Vous êtes libre de faire ce que vous voulez avec qui vous voulez, répondit-il. Si vous voulez le mettre dans votre lit, allez-y : je n’y verrai aucune objection.

– Je le ferai peut-être.

Je réprimai mon envie de le traiter de menteur pour ses dernières paroles.

– Très bien, fit-il et son haleine caressa ma bouche.”

Afficher en entier

“– Et pendant que vous y êtes, remettez votre chemise, persiflai-je.

Il m’adressa un sourire félin.

– Cela vous trouble de me voir torse nu ?

– Je suis surprise qu’il n’y ait pas davantage de miroirs dans cette maison alors que vous adorez vous admirer.

Azriel dissimula un éclat de rire sous une quinte de toux et Cassian se détourna, une main plaquée sur la bouche. Les commissures des lèvres de Rhysand frémirent.”

Afficher en entier

La question n'est pas de savoir s'il vous aime, mais à quel degré. Et il vous aime trop. L'amour peut se muer en poison.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode