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- Ne soyez pas si nerveuse, dit Alis avec un claquement de langue.

Sa peau couleur d'écorce avait une teinte chaude et sanguine dans la lumière dorée de cette fin d'après-midi.

- Je ne suis pas nerveuse, mentis-je d'une voix rauque.

- Vous vous tortillez comme mon plus jeune neveu quand on lui coupe les cheveux.

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Nous étions le commencement, le milieu et la fin de l'univers, un chant né aux premières lueurs éclairant le monde.

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- Une pensée contre une autre, lançai-je. Mais surtout rien qui concerne l'entraînement !

Il gloussa, vida son verre et me regarda boire une gorgée du mien.

- Je pense que quand je te regarde, je peux à peine respirer et j'ai l'impression que je vais mourrir, dit-il. Je pense que je te désire tant que j'ai du mal à me concentrer quand tu es là et que cette chambre est bien trop petite pour que je puisse dormir avec toi. Surtout avec ces ailes.

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If you were going to die, I was going to die with you.

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Rhys nous tamisa au camp illyrien. Nous abrégerions notre séjour là-bas pour plus de sécurité. Mais avec dix mille guerriers illyriens montant la garde sur les sommets des environs, Rhys doutait qu’un ennemi soit assez stupide pour nous attaquer.

Nous venions de surgir dans la boue devant la petite maison en pierre quand nous entendîmes la voix traînante de Cassian.

– Eh bien, il était temps !

Le grondement féroce qui jaillit de la gorge de Rhys me stupéfia, et je saisis son bras alors qu’il se tournait agressivement vers Cassian. Ce dernier le regarda et éclata de rire.

– Le voyage a été agréable ? persifla Cassian tout en nouant ses cheveux avec une lanière de cuir usée.

– Ne viens pas pleurer s’il te brise les dents, l’avertis-je.

– Alors, et ce lien d’amour, Rhys ? poursuivit Cassian, les bras croisés.

Comme Rhys ne répondait pas, il ricana.

– Feyre ne paraît pas trop fatiguée. Elle pourrait peut-être essayer avec moi…

Rhys laissa exploser sa rage.

Un instant plus tard, tous deux roulaient dans la boue dans un tourbillon d’ailes, de muscles et de mâchoires claquantes.

Je compris alors que Cassian savait parfaitement ce qu’il faisait. Il avait perçu la tension de Rhys et l’aidait à s’en libérer sous peine de faire crouler les montagnes autour de nous.

Personne n’osait s’interposer dans cette terrifiante mêlée des deux mâles pantelant et crachant du sang. Tous attendaient que Rhys s’apaise ou s’en aille.

Cassian éclata de rire quand il reçut un coup de poing en plein visage, puis il riposta. Je tressaillis. J’avais déjà vu Rhys combattre, mais il gardait toujours son sang-froid et son élégance. Je l’avais également vu furieux, mais jamais aussi féroce.

Mor, appuyée au chambranle de la porte, observait la scène.

– Ça va durer encore un moment. Bienvenue dans la famille, Feyre, dit-elle en m’ouvrant la porte.

C’était la phrase la plus merveilleuse que j’eusse jamais entendue.

Rhys et Cassian rentrèrent épuisés, sales et sanglants une heure plus tard. À la vue de mon âme sœur, j’éprouvai une furieuse envie de sentir son odeur et son corps contre le mien. Cassian et Mor s’éclipsèrent sur-le-champ et Rhys ne se donna même pas la peine d’ôter mes vêtements avant de m’allonger sur la table de la cuisine et de me faire hurler assez fort pour alerter tous les Illyriens des environs.

Mais quand ce fut fini, la tension de ses épaules s’était relâchée et la violence contenue de son regard était apaisée.

Puis Cassian frappa à la porte. Un instant plus tard, nous nous tamisions tous les quatre vers la musique et les lumières de Velaris… chez nous.

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– Est-ce que tu m’aimes ? demandai-je.

Il acquiesça. Je me demandais si « amour » n’était pas un mot trop faible pour exprimer tout ce qu’il ressentait, ce qu’il avait fait pour moi et ce que je ressentais pour lui.

Je posai le bol sur la table devant lui.

– Alors mange.

Je le regardai avaler la soupe. Quand il eut terminé, il reposa sa cuillère.

– Et toi ? demanda-t-il.

– Au moment où je t’ai vu devant la porte, j’allais te dire ce que j’avais décidé.

– Et maintenant ?

Avec une conscience accrue de chacune de mes respirations et de chacun de mes gestes, je vins m’asseoir sur ses genoux. Il posa doucement les mains sur mes hanches tandis que je contemplais son visage.

– Maintenant, je veux que tu saches que je t’aime, Rhysand. Même si je suis brisée et affaiblie, mon cœur t’appartient, chuchotai-je. Et c’est un honneur pour moi d’être ton âme sœur.

Il m’enlaça et pressa le front contre mon épaule en tremblant de tout son corps. Je caressai ses cheveux soyeux.

– Je t’aime, répétai-je, disant enfin ce que je n’avais même pas osé penser. Je suis prête à revivre chaque seconde de ce que j’ai subi pour cet instant où je t’ai retrouvé. Et si la guerre éclate, nous l’affronterons ensemble. Je ne laisserai personne m’arracher à toi ni t’arracher à moi.

Rhys leva les yeux vers moi, le visage brillant de larmes. Il resta immobile tandis que je me penchais vers lui et posais les lèvres sur une larme, puis une autre et encore une autre, comme il l’avait fait autrefois avec moi.

Puis je m’écartai de lui pour le regarder dans les yeux.

– Tu es à moi, soufflai-je.

Son corps frémit comme s’il sanglotait, mais ses lèvres trouvèrent les miennes.

Ce fut un baiser doux et tendre. Je passai les bras autour de ses épaules, lui ouvris ma bouche et sa langue vint caresser la mienne.

Mon âme sœur…

Je le sentis durcir contre moi et un grondement fusa de mes lèvres.

Ce bruit parut rompre une digue en lui. Il me souleva avec douceur et m’étendit sur la table, au milieu des pots et des soucoupes remplis de peinture.

Il m’embrassa plus ardemment et j’enroulai les jambes autour de son dos pour l’attirer plus près de moi. Il posa les lèvres sur mon cou et je sentis sa langue et ses dents sur ma peau tandis que ses mains glissaient sous mes vêtements et remontaient pour se poser sur mes seins. Je me cambrai et levai les bras pendant qu’il m’ôtait mon pull d’un seul geste.

Il recula pour regarder mon corps nu jusqu’à la ceinture. De la peinture coulait dans mes cheveux et sur mes bras, mais un instant plus tard, je ne pensais plus qu’à sa bouche sur mon sein et à sa langue qui caressait le téton.

Je plongeai les doigts dans ses cheveux et il posa une main à côté de ma tête, au beau milieu d’une palette couverte de peinture. Il rit et je regardai son doigt couvert de peinture tracer un cercle autour de mon sein, puis descendre et peindre sous mon nombril une flèche pointée vers le bas.

– Pour que je ne me perde pas en route, dit-il.

Je poussai un grondement pour l’inviter à poursuivre et il rit de nouveau. Il pressait les hanches contre mon corps avec une lenteur qui me torturait et je sentais une envie irrésistible de toucher tout son corps. J’empoignai ses vêtements avec mes mains couvertes de peinture et il se redressa pour m’aider à les ôter. Armes et cuirasse tombèrent cuirasse tombèrent à terre, dévoilant ce splendide corps tatoué aux muscles puissants et aux ailes déployées.

Mon âme sœur…

Sa bouche écrasa la mienne. Sa peau contre la mienne était brûlante. Je saisis son visage entre mes mains en le tachant de peinture, ainsi que ses cheveux, que je zébrai de bleu, de rouge et de vert. Ses mains descendirent jusqu’à ma taille et je soulevai les hanches pour l’aider à retirer mes chaussettes et mon pantalon.

Rhys s’écarta, saisit mes hanches et me traîna jusqu’au bord de la table, au milieu de la peinture, des pinceaux et des bols d’eau. Il posa mes jambes sur ses épaules, de part et d’autre de ses ailes, et s’agenouilla devant moi.

Sur les étoiles et les montagnes tatouées sur ses genoux. Lui qui ne s’agenouillait devant rien ni personne…

Sauf devant son âme sœur et son égale.

Son premier coup de langue m’embrasa.

-Je veux que tu sois étendue sur une table comme un festin pour moi seul.-

Il gronda en m’entendant gémir et me cloua d’une main sur la table. Quand sa langue entra en moi, j’agrippai le bord de la table comme si c’était celui du monde dont j’étais près de tomber.

Je me cambrai sous la montée du plaisir et quand il jaillit, je crus voler en éclats.

– Rhys ! l’appelai-je d’une voix rauque, mais il se repaissait toujours de moi.

Le plaisir me surprit encore et Rhys ne se releva que lorsque je restai tremblante, au bord des larmes, épuisée.

Il me regarda avec un sourire de mâle satisfait.

– Tu es à moi, gronda-t-il avant de me soulever dans ses bras.

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"And if he had grabbed me?"

There was nothing but uncompromising will in his eyes.

"Then I would have torn apart the world to get you back."

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He thinks he'll be remembered as the villain in the story.

But I forgot to tell him, that the villain is usually the one who locks up the maiden and throws away the key.

He was the one who let me out.

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There are good days and hard days for me - even now. Don't let the hard days win.

- Mor

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Nous étions le commencement, le milieu et la fin de l'univers, un chant né aux premières lueurs éclairant le monde.

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