Ah, les enfants. On ne peut pas les supporter, et on ne peut pas non plus les manger.

Je n'en suis pas sûre à 100%, mais je crois que ma tasse de café vient de me dire "Tu es mon esclave".

- N'oublie pas que pour construire une relation, il faut entendre ce que l'autre ne dit pas. Ces mots-là sont les plus importants.

-T'inquiète pas. On veillera sur elle quand tu ne seras pas là. Kazuma est remonté à bloc. Si cet enfoiré de Kevin tente de respirer à côté d'elle, il devra le faire par l'anus, je te le garantis.

J'ai fait irruption dans la chambre, et j'ai ralenti en voyant Madoc debout à côté du lit de ma mère, le bébé déjà dans ses bras.
- Je l'ai trouvée le premier, a-t-il dit en me taquinant. Désolé.

Il n'était pas du tout désolé,...

- Est-ce qu'on peut aboutir sans passer par quatre chemins ? ai-je demandé d'une voix douce. Tu me manques et ça me fatigue, Tate.

C'est tout. Plus de paroles, plus de discussions, plus question de nier ce qu'on ne pouvait pas changer... je vivais tout simplement dans son orbite, et j'allais y mourir aussi. On n'avait pas le choix.

"Elle se met à tousser avec force. De peur qu’elle s’étrangle pour de bon, je saute de ma chaise pour lui venir en aide et lui taper doucement dans le dos. Prise par sa toux, elle ne me repousse pas.
Quand elle respire mieux, je suis soulagé, mais ma main n’a pas quitté son dos. Je profite même de cette proximité pour la faire glisser plus bas jusqu’à ses reins, puis son cul que je caresse de haut en bas. Je finis par malaxer ce dernier en glissant un « hum » à l’oreille de ma colocataire. Elle appuie la rondeur de ses fesses dans ma paume et je regrette déjà que nous ne soyons pas seuls.
De dos, elle me fait reculer jusqu’au mur face au bar avant de me faire face, me retrouvant privé de son cul.
— Tu as aimé ? chuchote-t-elle.
Je hausse les sourcils en terme de réponse. Elle me sourit. Ma queue se réveille.
— Ne recommence pas, ou je viens te couper les couilles pendant ton sommeil.
S’appeler Katlyn ou comment casser ton coup en deux secondes"

Avant de donner le coup de grâce, j’ai stabilisé mes mains. J’ai contemplé son visage pendant quelques secondes de plus, me rappelant la sensation de ses lèvres sur les miennes. Le simple fait que je prenne un moment pour savourer ce souvenir signifiait que le mal était déjà fait .
Il m’avait assez manipulée .
Ses yeux se sont ouverts d’un coup, mais il n’a pas bronché. Il m’a regardée comme s’il s’attendait à me voir. Le calme émanait de lui. Il sentait la lame froide sur sa peau, mais il restait immobile, me fixant attentivement, comme il le faisait lorsque nous étions à table .
J’ai retenu mon souffle, figée de terreur d’avoir été prise en flagrant délit .
– Fais- le .

— J’ai envie de t’embrasser, me souffle Aramis.
— Je voudrais bien voir ça. Je te préviens que si tu essayes, il faudra que l’on sorte ta carte d’identité et qu’on amène tes empreintes dentaires pour qu’on te reconnaisse. Je me suis bien fait comprendre ? répliqué-je.

– Cette sorcière ! grommelle encore ma grand-mère en faisant voler de la farine un peu partout, sauf dans son saladier... Non mais, elle s’est crue où ? Ma petite-fille ! Menacer ma chair ! Le sang de mon… Filet-Mignon, sors d’ici ! !

- Je sais garder un secret, insiste Betty-Sue en me voyant dans mes pensées. Et à qui voudrais-tu que je le répète, hein ? A Blanquette, à Côtelette, à Filet-Mignon ?
- Quand je pense que je n'ai pas le droit de t'appeler "mamie" alors que tu as donné des noms pareils à tes animaux !
- Je ne mange pas de viande, j'ai bien le droit d'utiliser ces sobriquets pour me souvenir du goût que ça a !

" - Hey, mec. On fait payer un coût supplémentaire pour reluquer le cul de nos employés.
- Quoi ? Euh... Ah, oui. Combien ? Je serais prêt à payer pour l'admirer de plus près. "

La plupart des gens s’exprimaient dans leur langue maternelle lorsqu’ils se trouvaient seuls, d’autant plus quand ils s’adonnaient à ce genre d’activité. Dieu savait que lui-même n’avait jamais crié en mandarin au milieu d’un orgasme. Évidemment, il ne parlait pas le mandarin.

- Maintenant, tu vas m'écouter, le Psychopathe.[...] Alors voilà ce qu'on va faire. On va tous se calmer, monter en voiture et rentrer à Caillouville. Et tu vas faire tout ça gentiment, sans me faire chier, sinon je te jure que je te fais avaler tes dents, au point que pour les brosser tu devras te carrer ton dentifrice dans le cul !