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Commentaires de livres faits par Anne-118

Extraits de livres par Anne-118

Commentaires de livres appréciés par Anne-118

Extraits de livres appréciés par Anne-118

date : 30-03-2017
Quand il réapparut devant elle, il avait troquée sa veste de jogging souillée par un vêtement identique, mais sec, une serviette au tour du coup. Il leur ouvrit la porte de l'immeuble avec galanterie et marche à ses côtés, le souffle court. Nami finit pas se retourner vers lui au bout de quelques mètres sur le trottoir doucement éclairé par des lampadaires.
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date : 18-02-2016
Mes enfants m'emmerdent, si vous saviez à quel point ! Leurs conversations m'insupportent, la femme de l'un et le mari de l'autre m'insupportent encore plus.
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Après tout un million de filles n'étaient-elles pas prêtes à se damner pour être à ma place ?
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Tu ne souhaites pas réellement sa mort, ai-je pensé en m'étirant sur le siège arrière. Car si elle meurt tu perds tout espoir de la tuer de tes propres mains. Et ça ce serait vraiment dommage.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Dis-moi, tu es libre ce midi pour un brunch chez mes parents ?
Ahaaaaaaa !
Je lorgne du côté des deux mâles qui se battent pour le dernier croissant.
– Absolument !
Je force un peu sur l’accent enjoué.
Non, je n’ai pas envie de « bruncher » chez les vieux de Val. Je préférerais pratiquer une épilation du maillot à la sauvage dans la cabine de douche d’un camping
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Mlle Dorothée était une femme douce et singulièrement sensible ; comme beaucoup de demoiselles solitaires, elle ne craignait rien au monde, sauf de faire de la peine à autrui.
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date : 09-04-2015
Une mélodie ondoie sur l’écran, mon champ de vision est recouvert par la surface trouble de l’eau. Des hommes et des femmes, apparemment vietnamiens, manœuvrent les rames et gouvernails de bateaux ailés comme des dragons. Quelques secondes seulement passent et déjà votre nom apparaît, en caractères roses. C’est comme toujours le sommet du film, à couper le souffle. Avant que le titre ne soit dévoilé, avant que ne commence l’histoire, votre nom doit surgir du fond des mers. Sans ce nom, pas d’actrice, sans actrice, pas d’Éliane Devries censée avoir vécu en Indochine, sans Éliane, pas d’histoire à raconter. Sauf à Paris, sur l’écran, jamais je n’ai vu de pays qui se nomme Indochine.
La voix off était la vôtre. Je ne comprenais pas ce qu’elle racontait, mais je la reconnaissais. Et comme je ne comprenais pas le contenu, la voix était là pour elle-même, pleine d’assurance, souple dans ses accents et ses graves. J’y entendais respirations et frictions, soupirs, parfois aussi une brûlante chaleur faite voix. C’était la première fois que vous parliez dans un film avant même de vous montrer. Votre voix venait des vagues, des voiles, du vent, des hévéas.
Avant le début de l’histoire, quelqu’un est mort. Votre voix parle, semble-t-il, de cette personne défunte. Éliane, vêtue de deuil, est debout devant un autel, le visage encadré d’un voile noir. À son côté se tient une fillette qui n’a pas plus qu’un tiers de sa taille. La fillette, sans lever les yeux, saisit la main d’Éliane comme si ce droit allait de soi. Le visage de la fillette, si jeune qu’on croirait pouvoir discerner sur sa peau les marques des langes, a pourtant déjà une dignité.
Éliane et la fillette ne peuvent être du même sang. La fillette ressemble beaucoup à quelqu’un. Je n’en crois pas mes yeux, mais c’est bien à moi qu’elle ressemble, telle que je suis sur une ancienne photo datant de mon enfance. Les parents de la fillette sont morts, je suppose, et Éliane l’a adoptée. Les vêtements et l’atmosphère de la cérémonie révèlent la position sociale élevée des défunts.
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date : 09-04-2015
A la différence de mon père, qui méprisait son frère, ma mère s'entendait très bien avec sa sœur. Ma tante me raconta un jour avoir entrepris, jeune fille, une expédition clandestine dans ce qui restait d'une plantation de caoutchouc avec une amie. Cette terre avait autrefois appartenu à ses ancêtres. Elle s'était assise sur le canapé d’où se dégageait l'odeur humide et moisie du siècle entier, sous une grande toile d'araignée tendue comme un parapluie au dessus du canapé. Découvrant un coffre près du canapé, ma tante et son amie l'ouvrirent, elles y trouvèrent le pavillon terni d'un gramophone et quelques livres moisis. Ma tante les feuilleta, n'en emporta qu'un seul chez elle - Séraphîta de Balsac - et essaya d'en lire çà et là des passages, ou plutôt d'en deviner le sens. Notre pays avait jadis été une partie de la France, m'avait raconté cette tante quand j'étais petite. A quoi j'avais répondu, paraît-il : "Alors Paris faisait partie de notre pays ! C'est joli !"" Ma tante avait ri. Ce souvenir me réconforta.
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When I surfaced again, there was a cold gun in my hand, and it was pointed at Lillian Gray’s head
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date : 11-10-2014
Kawada : Nanahara... Il y aura encore de nombreuses tragédies... Ce jeu ne laisse aucune place aux sentiments. Si tu pleures à chaque mort, tu ne t'arrêteras plus.
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Garin refoula ses larmes. Il lisait tout cela sur le visage de sa mère : la colère, la misère, l'amertume, la frustration.
Il souffrait de l'imaginer pleurant toute la nuit sur son lit, tressaillant au moindre bruit d'oiseaux sur le toit ou de voisins faisant craquer les lattes du plancher.
Dans le petit domaine de Rochester payé par la rente que lui allouait le temple, trois domestiques cuisinaient et nettoyaient pour les pensionnaires, mais c'était une maigre compensation pour l'armée de domestiques dont Cécilia avait disposé à Lyons, où son père avait été chevalier fortuné avant de rejoindre le temple.
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date : 23-08-2014
La réunion sollicitée par cette phrase code eut lieu peu après le coucher du soleil. A minuit, Ivan Mikhailovitch était encore une fois dans un avion à destination de l’Allemagne.
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- Why do you want to kill me ? Because I'm your country's enemy ?
- For Nana. You ... To avenge Nana.
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M. Kauffmann s'intéressait beaucoup à ce que je ressentais, à ce que je pensais. Il me demandait toujours : « Comment vas-tu, aujourd'hui ? Comment trouves-tu ce morceau ? Est-ce que tu aimes cette couleur ? » Personne ne m'avait jamais posé ce genre de questions, et j'étais la première surprise. J'essayais de répondre, tant bien que mal, mais ce n'est pas évident de raconter ses pensées, et d'exposer ses sentiments. C'est comme tout mettre à l'envers, l'intérieur vers l'extérieur, ça n'est pas naturel. En tout cas, ça ne l'était pas pour moi. Pour ne rien arranger, je ne trouvais pas les mots ; ils me manquaient. Très souvent, je n'avais plus rien sur le bout de la langue, et je restais sans voix, contrainte de tout garder à l'intérieur, enfermé, prisonnier sans aucun moyen d'en sortir. Ça me mettait en rage, et parfois même en larmes.
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Vous savez, depuis quelque temps, je réalise que tout est possible
Le petit ami de ma soeur se travestit, il y a un garçon qui est fou de moi et mon meilleur ami se prend pour un samouraï, alors...
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Puis-je être pardonné pour tout ce que j'ai fait pour en arriver là ?
Je l'espère.
Je le peux.
Je le crois.
- Tris - PAGE 416
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J'ai beau être un mec, ça ne m'a pas empêche de flasher sur un autre mec !
Et ça n'a rien de bizarre
Quand on aime quelqu'un, on aime, c'est tout !
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Depuis tout petit, je sais une chose: que la vie nous abîme, tous. On n'y échappe pas.
Mais je suis en train de découvrir une autre: qu'on peut se réparer. On se répare les uns les autres.
- Tobias - PAGE 461
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-Tu ne peux pas devenir quelqu'un qu'elle détesterait, reprend-elle d'un ton plus posé. Et elle te détesterait si elle te voyait faire ça.
-Tais-toi ! crié-je. Tais-toi ! Tu ne sais pas ce qu'elle penserait; tu ne la connaissais pas, tu...
-J'en ai assez ! me coupe-t-elle violemment. Je sais qu'elle ne voudrait pas que tu l'effaces de ta mémoire comme si elle n'avait jamais compté pour toi !
- Si tu redis ça une seule fois, je te ...
- Tu me quoi ? cria-t-elle en me repoussant sans ménagement. Tu me cognes dessus ? Figures-toi qu'il y a un mot pour qualifier ceux qui profitent de leur force pour frapper les plus faibles : ça s'appelle des lâches !
.......
-Je suis désolé
-Je sais; Je connais ça, l'envie de tout oublier, reprend-elle. Je sais ce que ça fait quand quelqu'un qu'on aime se fait tuer, et qu'on serait prêt à échanger tous les souvenirs qu'on a de lui contre un petit moment de paix.
...... - Dialogue entre Christina et Tobias - Page 444


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-T'as raison. Il venait te parler de quoi, au fait?
-De toi, me répond-il. Le style discours du grand frère, tu vois. "Ne fais pas l'idiot avec ma soeur", tout ça.
-Qu'est-ce que tu lui as répondu?
Il se lève pour s'approcher de moi.
-je lui ai raconté comment on s'est retrouvés ensemble... C'est comme ça qu'on en est arrivés au lancer de couteaux. Et je l'ai assuré que je ne faisais pas l'idiot.
J'ai chaud partout. Il pose ses mains sur mes hanches et me pousse doucement contre la porte. Sa bouche trouve la mienne.
J'ai oublié ce que j'étais venue faire.
Et je m'en fiche.
Je glisse mon bras valide derrière son dos et je l'attire contre moi. Mes doigts cherchent la bordure de son tee-shirt, se glissent dessous, s'écartent en éventail au creux de ses reins. C'est fou la force qu'il dégage...
Il m'embrasse de nouveau, plus pressant. Ses mains se resserrent sur ma taille. Son souffle, mon souffle, son corps, mon corps, tout s'emmêle jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de frontière.
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-C'est super bizarre, murmuré-je à Tobias.
-moi, je trouve ça beau.
Je lui glisse un coup d'oeil.
-Quoi? fait-il avec un petit rire. Ils ont tous le même poids dans les décisions de leur faction. Chacun se sent aussi responsable que les autres. Ca les pousse à se sentir concernés. A faire preuve de bienveillance. Moi, je trouve ça beau.
-Et moi, je trouve ça inapplicable, objecté-je. Ca marche tant que tout va bien. Mais qu'est-ce qui se passe quand tout le monde n'a pas envie de jouer du banjo ou de cultiver les champs? Quand quelqu'un commet une atrocité et qu'il ne suffit plus de parler pour résoudre le problème?
Tobias hausse les épaules.
-On ne devrait pas tarder à le savoir.
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D'une certaine manière, ils avaient peut-être l'un et l'autre un poids similaire à porter sur les épaules.
Mais seul l'un deux...
Avait réussi à s'en débarrasser.
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date : 30-03-2014
Je secouai la tête et m’entendis soupirer. Comment en était-on arrivé là ? Comment un monstre sadique comme Streicher avait-il pu parvenir à une position de pouvoir presque absolu ? Combien y en avait-l d’autres comme lui ? Mais au fond, le plus surprenant dans tout ceci était ma capacité à être encore surpris par ce qui se passait en Allemagne.
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date : 27-03-2014
En fait, chaque cadeau était réellement un cadeau puisqu'il provenait d'abord et avant tout d'un sacrifice et était la réponse à un besoin, à un désir ou à un rêve.
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date : 19-02-2014
Une autre porte s'ouvrait et un autre prisonnier était extirpé, et la même question dans toutes les têtes : « Est-ce que je suis le suivant ? Que vont-ils me faire ? Est-ce que quelqu'un au monde a quelque chose à foutre de ce qui nous arrive ? Si ça se passait en Russie ce serait la réprobation générale... Va te faire foutre, J.C.B. Oiseau de mauvais augure ! »
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Il jura. Les commissariats n'avaient pas d'essence, les tribunaux n'avaient pas de papier, les hôpitaux n'avaient pas de thermomètres, et, en attendant, au gouvernement moribond, ils pensaient au pont sur le détroit de Messine
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