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J’ai entendu toute ma vie que j’étais bizarre de toujours lire, […] comme si c’était une tare. Est-ce si mal de préférer se réfugier dans un autre monde quand on a tant de mal à trouver sa place dans celui-là ?
La peur, la vraie, la plus primale des terreurs, était une chose affreuse. Car avant que l’instinct de survie ne pousse le corps en mouvement, il se racornissait sur lui-même, laissant la proie à la merci du prédateur. Piégée à l’intérieur de sa propre enveloppe, incapable de bouger, de parler, d’appeler à l’aide. Comme si l’immobilité la plus totale constituait l’unique réponse en attendant que le danger passe.
Tu es le velours autour du gant de fer qu’est la vie. Tu connais le fer, sa dureté, sa froideur, mais tu la dissimules aux yeux de ceux qui ont trop peur de s’y frotter. Tu la rends belle, douce.
Parfois, les leçons sont douloureuses, mais les sourires les plus sincères viennent de ceux qui ont vécu et appris à apprécier les moments qui les font sourire.
J'ai le droit et le devoir d'être con une fois par jour, pour honorer les nobles membres de mon espèce qui ont poussé cette qualité à son degré le plus élevé.
Un homme capable de se sacrifier pour un autre peut-il être aussi monstrueux ? Un être prêt à abandonner son unique chance de briser un sort pour protéger la beauté, la pureté des sentiments profonds peut-il être si mauvais ?
Tu sais, si tu te concentres sur ton cœur, tu entendras toujours le rire de ta mère, tu pourras toujours sentir son parfum et même la voir, aussi belle qu'elle l'a été. La musique peut t'y aider. Elle te permet d'exister dans un endroit qui n'est plus vraiment ici, mais pas vraiment là-bas non plus. Un quelque part entre les deux, où nous rencontrons les gens que nous avons aimés.[...] Tu vois, nos passions sont un pont entre eux et nous.
Me fais pas espérer les étoiles. Fais pas ça ! C’est la nuit noire dans ma vie depuis si longtemps… Je crois pas que j’aurai la force de me ramasser une nouvelle fois.
Les actes de bravoure ne sont pas forcément de grandes déclarations. Parfois, les plus poignantes venaient de ceux qui vivaient tranquillement, mais honnêtement.
Chaque réalité appartenait à celui qui la portait. Ce qui était juste pour moi ne l’était pas forcément pour les autres. Nous n’étions qu’un ensemble de nuances, de contrastes, d’ombres et de lumières.
Tu dois vivre pour ceux qui sont morts, parce qu'ils t'ont offerts ce qu'ils ont de plus précieux afin que tu sois en sécurité. Tu dois porter leurs espoirs et trouver le bonheur. Tu es la représentation de leur existence, de leur mémoire et de tout leur amour. Tu dois survivre pour que personne n'oublie leur sacrifice.
Baudrillard disait « Jadis il fallait craindre de mourir de déshonneur ou dans le péché. Aujourd’hui, il faut craindre de mourir idiot. » Eh oui, mon jeune ami, j’ai bien peur que nous crevions tous aussi débiles les uns que les autres.
Au foyer, les cloisons de chambre avaient, pour les japonisants, une efficacité de shoji, pour les autres : nulle. Grincements, soupirs, halètements, satisfactions solitaires, rien ne s’y perdait, tout se propageait. Même la très audible musicalité des toilettes renseignait sur l’état digestif de l’usager, et témoignait de la vigueur comme de l’allonge urinaire.
- Je t’aime tellement, soufflé-je contre sa bouche.
Je ne sais pas pourquoi on surnomme ça des « mots doux », parce que ça n’a rien de tendre à mes yeux. C’est une déclaration désespérée, un don de soi qu’on ne récupérera jamais.