Cupidon est un loser comme les autres

🏹 Mesdames et messieurs veuillez ne pas froisser Cupidon, ne le nommer pas Éros, il mérite bel et bien son titre.

Dieu de l'amour, a l'algorithme très précis, il ne tire pas des flèches à tout vent mais bien au contraire, veille à ce que les âmes soient unies pour toujours.

🏹 Mais avant tout notre Cupidon est un charmeur en mal d'amour, du GRAND amour. Se sachant beau mais pas à s'en damner, notre dieu espère toujours, malgré le temps qui s'écoule, trouver son âme sœur.

🏹 Friand de milkshake fraise, c'est au retour d'un de ses plaisirs qu'il va faire une rencontre : l'un de ses frères.

Ce dernier est une catastrophe et né ainsi, il ne peut qu'en faire sa particularité et l'assumer.

A eux deux, ils vont décider de créer un nouveau genre : le groupe des Losers.

🏹 C'est une nouvelle drôle, touchante qui met en scène nos charmants dieux au milieu de notre monde actuel.

Le style est leger et accrocheur, on y prend plaisir dès les premières pages.

🏹 Mais comme souvent, il y a des méchants et cette nouvelle n'y échappera pas.

Une lecture humoristique et légère que j'ai dévorée.

J'ai adoré le personnage Cupidon et le dieu mineur de la déception ☺

Je ne sais pas quoi vous dire de plus...

J’ai lu cette nouvelle en une heure. Bon en même temps elle ne fait que 100 pas donc bon. J’ai beaucoup aimé cette lecture mais j’aurais vraiment aimé en avoir et en savoir plus. J’espère sincèrement qu’il y aura une suite vu la fin.

On fait la connaissance de Cupidon dieux de l’amour. Il se sent seul et adore les Milkshake à la fraise. Il est drôle, franc et cela lui joue parfois des tours mais chut c’est un secret. Il aimerait trouver l’amour mais… Ha non je n’ai pas le droit de vous le dire. J’adore ce personnage. Il est attendrissant, sympathique et il pardonne facillement.

On fait également la connaissance d’une autre divinité qui lui n’a pas vraiment de chance. Si vous voulez savoir pourquoi vous devrez lire ce livre. J’ai adoré ce personnage pour les efforts qu’il fait pour essayer d’être … Chut ça aussi c’est un secret.

L’intrigue est douce, sympathique, hilarante et nous permet de nous évader l’espace d’un instant.

La plume addictive de l’auteure est juste sublime mais j’aurais vraiment aimé en avoir plus pour mieux gouter ses mots.

Cette chronique est très courte et en même temps cette histoire ne fait que 100 pages. Je peux juste vous recommander cette nouvelle qui montre que finalement les dieux ne sont que des hommes. Un bon moment de lecture.

Cupidon est un loser comme les autres ! Notre petit blondinet à la gueule d’ange, aime siroter ses milkshakes à la fraise en observant les gens autour de lui. Ce dieu de l’amour a pour mission de réunir les personnes compatibles mais il se sent bien seul dans cette vie. Il rêve, comme nous tous, d’un jour trouver son âme sœur. Ne pas pouvoir trouver sa moitié est un comble pour le dieu de l’amour, non ?

Notre chère Cupidon va finir par croiser la route de Louis, le Dieu de la déception. Ensemble ils décident de fonder un club des losers, chacun s’étant engagé à aider l’autre dans sa quête du bonheur et de l’amour ! On remarque alors que l’aura de chacun interfère sur la vie de l’autre et nous voilà donc à suivre nos deux protagonistes dans leurs péripéties !

Ce livre est une comédie remplie d’amour et de bienveillance, le tout avec beaucoup d’humour. L’écriture est douce et permet une lecture rapide. Tellement rapide que j’ai trouvé la fin un peu trop brusque à mon goût ! Cependant, c’est une fin ouverte et j’apprécie, ça change de d’habitude et je trouve qu’ici c’est une bonne chose ! Cela nous fait participer à l’histoire, nous laissant rêver de la suite et fin que l’on espère tous au fond de nous.

J’ai passé un très bon moment en compagnie de nos divinités et je ne peux que vous recommander la lecture de ce livre, sans oublier d’adhérer au club des losers de Louis et Cupi.

Fan de mythologie ? Vous aimez les anti-héros aussi attachants qu'hilarants ? Cette nouvelle est faite pour vous ! On découvre les dieux de la mythologie sous un nouveau jour, et je dois dire que j'adhère totalement à cette vision !

Cette histoire est un concentré de douceur, d'amour et de rebondissements et se finit en apothéose !

Cette nouvelle est aussi sucrée qu'un milkshake à la fraise, et on en voudrait encore et encore ! Bravo !

L'avis de cette nouvelle est brûlant car je viens à peine de le finir. J'ai profité de quelques insomnies pour le lire et je me suis dit qu'il fallait que j'en parle ici. J'ai passé un super bon moment même si ce n'est pas un coup de cœur. Il donne en tout cas le sourire et de l'espoir. Il est essentiel de retenir qu'il s'agit d'une nouvelle car les codes de la nouvelle et du roman ne sont pas les mêmes.

Mélanie Wency a une plume intéressante qui arrive à rendre légère l'histoire où l'humanité côtoie des divinités.

Une nouvelle fantastique qui respecte les codes de ce genre. L'amour est exploré de A à Z dans la joie et la bonne humeur (ou presque). Malgré son caractère fantastique, l'intrigue est totalement crédible et cohérente. Pour la lectrice que je suis, je trouve dommage que l'auteure n'exploite pas assez ou ne respecte pas suffisamment la matière mythologique.

Nous avons donc un dieu très humain qui révèle toute sa sensibilité, l'envers du décor aussi dans le monde divin. C'était plaisant de le voir découvrir son amitié avec Louiton, son frère qui est le dieu de la haine, etc. Lesdits personnages secondaires donnent du piment à l'intrigue et une bonne dose d'humour.

Pour conclure, j'ai passé un super bon moment. Mélanie Wency respecte tout à fait les codes de la nouvelle. Elle nous propose une nouvelle fantastique où les dieux existent dans notre monde. On rigole, on sourit en suivant les aventures de Cupidon. L'auteure ne lui épargne rien d'ailleurs mais elle se fait pardonner avec une plume si fluide et si légère à rendre jaloux n'importe quel dieu. Enfin, le dieu de l'amour, Cupidon, sublime cette nouvelle et permet d'explorer l'amour sous toutes ses formes mais aussi la complexité de ce personnage. La seule raison qui fait qu'on frôle le coup de cœur est qu'il aurait fallu légèrement respecter l'univers mythologique.

En tout cas, une nouvelle à lire sans modération le temps d'1 heure ou 2.