Commentaires de livres faits par Frida_Mercury
Extraits de livres par Frida_Mercury
Commentaires de livres appréciés par Frida_Mercury
Extraits de livres appréciés par Frida_Mercury
Le scénario s’en retrouve forcément orienté, mais, étant complètement fascinée par cette personnalité « ovni », et totalement acquise à la cause de son génie et sa créativité, la lecture a eu l’effet escompté. J’ai beaucoup aimé !
Le Bernard Lenteric que je connais, c’est celui qui a écrit La nuit des enfants rois (l’un de mes livres préférés). C’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle je me suis lancée dans l’aventure.
Et j’ai bien fait ! J’ai retrouvé l’écriture fluide, et le ton accrocheur de l’auteur, jusqu’à dévorer les pages et me laisser embarquer dans ce Perpezac des années 30.
Plus qu’à sauter sur le tome 2 !
Très maîtrisée, tout en cohérence, quel plaisir de découvrir encore ce genre de pépites dans la myriade de nouveautés plus ou moins heureuses qui sortent chaque semaine !
Un peu triste de savoir que Shi s’arrête là, mais ravie d’avoir dévoré chacun des 6 tomes.
Un peu de Japon et de démons en pleine époque victorienne, il fallait y penser !
On ne peut pas parler de la conquête de Cortés sans évoquer « celle qui parle ».
L’Histoire a eu tendance à la mettre de côté, voilà qui est réparé ! Merci Alicia Jaraba !
Le sujet n’est pas une surprise. A l’époque où le sujet « vampires » a été exploité jusqu’à la moëlle, difficile de faire original… Les vampires craignent ici la lumière du soleil, la religion, les pieux qui transpercent leur cœur… Stephen King est resté dans le classique. Et c’est tant mieux ! Plus fidèle à Dracula, il n’en reste pas moins unique dans sa façon de créer son monde, et de nous embarquer dans un Salem qui glace le sang.
De plus, lorsque l’on sait que Salem est son deuxième roman (seulement), on ne peut qu’une nouvelle fois s’agenouiller devant le maître du suspense, et saluer son génie dans le traitement du sujet.
Les dessins sont très cohérents mais les faits sont relatés de manière trop simpliste, ce qui rend parfois le contenu un peu fouillis.
De plus, trop de grosses fautes d’orthographe et de grammaire gâchent la lecture. C’est un peu honteux de la part de l’éditeur d’avoir laissé passer autant d’erreurs.
Dommage, car Angela Davis mérite clairement meilleur hommage !
Seul avantage à tirer de cette BD : elle donne envie aux novices, je pense, d’aller chercher plus loin et ouvre la voie à d’autres recherches sur le parti des Black Panther. On peut au moins louer ce dessein…
Le processus s’inverse enfin grâce à ce tome 4. Plus riche en faits concrets, il donne beaucoup plus de poids au message transmis, et pousse la réflexion sur l’usage des OGM plus loin.
Un réel intérêt que cette lecture pour réfléchir à deux fois sur ce qui se retrouve dans notre assiette au quotidien.
Heureusement, il reste les Kookaburra Universe pour continuer de s'immerger dans ce monde incroyable.
Merci Crisse d'avoir créé cette histoire. Merci également aux auteurs qui ont su apporter leur créativité pour la mettre au service de Dragan Preko and co'.
Un pur régal, tant par le scénario que par les dessins et les couleurs !
Et en même temps, certaines réponses à nos questions commencent à avoir un semblant de réponse.
Le dernier tome promet un riche scénario, que j’ai hâte de lire.
Je pense néanmoins qu’il est impératif de compléter la lecture de cette série par les Kookaburra Universe pour comprendre complètement l’intrigue, et découvrir, je l’espère, l’histoire complexe et intense de chacun des personnages. On a ici parfois l’impression de n’explorer que la surface de l’iceberg.
On en veut plus !
Les dessins sont magnifiques. Soignés, justes. J’aime beaucoup ce que fait Mitric. C’est beaucoup plus sérieux et moins « cliché » que ce à quoi nous avait habitué Crisse (pour les personnages féminin, notamment).
Entre trahisons, faux semblants, stratégies géopolitiques et manipulations en tous genres, tout y est réuni pour passer un bon moment de lecture, et faire naitre chez le lecteur un sentiment de malaise, quant à ce qu'on a essayé de nous faire croire sur la fin tragique de celui qui est devenu l'icône que l'on connait aujourd'hui.
C'est romancé, certes, mais c'est aussi, à n'en pas douté, parfaitement documenté. A lire !
Fan absolue de la trilogie du Zoo de Mengele que je nomme très souvent lorsque l’on me demande mon top trois de toutes mes lectures, je n’ai pas du tout adhéré à l’univers décrit dans ce roman.
Le thème de départ ne m’enchantait pas vraiment, non plus : un homme intelligent et cultivé ne trouve rien de mieux que de s’auto-consommer pour lutter contre l’ennui. Il construit un bunker, s’y enferme, et choisis les parties de son corps à sacrifier pour créer toutes sortes de marinades et autres plats gastronomiques… Et alors que son poids se réduit, son esprit, lui, s’élève plus haut que jamais.
Philosophique, le livre l’est, clairement. Mais ce côté intéressant n’arrive pas, selon moi, à contrebalancer le dégoût qui se dégage du sujet de base.
Certains passages sont vraiment lents. En terme d’actions, le roman met du temps à se mettre en place. Mais cette lenteur sert à la perfection le récit, car elle laisse la possibilité au sentiment de mal être de monter crescendo jusqu’à ce que l’horreur atteigne son paroxysme.
Le dernier quart du roman laisse aussi entrevoir les prémices de « Ça »…
Roman oppressant à souhait, une chose est sûre : vous ne verrez plus jamais votre chat de la même façon, lorsqu’il rentrera de sa longue ballade nocturne.
Je savais, bien sûr, que Roland Garros était un aviateur émérite, mais je pensais aussi trouver entre ces lignes un lien étroit avec le monde du tennis.
Il n’en est rien !
Pas de raquettes ni de courts de tennis dans ce livre, donc. Nous n’aurons, comme simple explication, que deux lignes explicatives, indiquant que son nom n’a été choisi que pour l’hommage qu’on souhaitait donner à ce grand homme qu’était Roland Garros.
En revanche, ce livre nous permet de découvrir la passionnante naissance du monde de l’aviation et des exploits de ces fous des airs.
Risques inconsidérés, victoires et records en tous genres, accidents tragiques, exploits héroïques, nous suivons ces destinées hors du commun avec avidité.
Nous découvrons également, grâce à la plume de Roland Garros, un homme simple, sensible, respectueux, complètement obnubilé par le monde de l’aviation, qui n’en est qu’aux prémices et qui va se développer et s’améliorer à la vitesse de l’éclair !
Un carnet de voyages passionnant, suivi d’un journal de guerre très intéressant.
On ne peut que regretter que ces lettres ne sont pas accompagnées par quelques photos pour agrémenter le tout, notamment par celles dont il est fait référence dans ses écrits.
Très bel ouvrage que celui-ci, avec un rythme et une histoire qui détonnent.
Seul bémol : c’est très bien de respecter la genèse de l’histoire de Mickey, mais, l’époque actuelle aurait peut être été un bon prétexte pour mettre un bon coup de pied dans la fourmilière et adapter l’histoire au goût du jour. Minnie aurait peut être eu un rôle à jouer, autre que celle de la femme au foyer, bobonne, qui n’est là que pour faire à manger pendant que les hommes s’occupent des sujets essentiels.
Il ne joue pas avec le lecteur, et nous livre dès les premières pages le sujet de son œuvre, sombre.
La sincérité dont il fait preuve nous plonge dans son intimité et celle de Kristen avec tact et délicatesse . Cette partie du roman graphique est très touchante !
En bonus, le parallèle avec l’histoire du surf est parfaitement mené et donne envie d’aller plus loin dans la recherche et d’en apprendre beaucoup plus sur le monde des surfeurs.
Un très bel objet !
Le rendu est à la hauteur de ce qu’a l’habitude de produire Hub. Les couleurs sont superbes et les dessins magnifiques. Du grand art, encore une fois !
Puis, arrive la révélation, et là, énorme coup de cœur ; que c’est bien joué de la part de l’auteur. Cette montée en puissance dans la lecture atteint son paroxysme.
La deuxième partie du livre peine un peu, en revanche… je n’ai pas adhéré à tous les choix de l’auteur et me suis perdue un peu avec lui, je crois.
La fin me laisse perplexe.
Mon enthousiasme retombe peu à peu, jusqu’à me questionner sur le fait de savoir si j’ai aimé ce livre ou non…
J’ai adoré tous les personnages, c’est indéniable, mais suis un peu déçue par le fond de la deuxième partie (à partir du moment où la religion fait son entrée dans le récit, j’ai commencé à décrocher jusqu’à complément sortir du livre).
Instructif, pédagogique, féministe, il retrace le parcours de vie de trois femmes (trois générations) en lutte entre idéaux, respect strict de la religion et coutumes (parfois déformées ou radicalisées) du pays, et désir d'émancipation.
Le plus dur, à la lecture, c'est de sentir l'impuissance de chacune à se révolter contre des pères, maris, et frères qui décident de leur propre destinée : femme au foyer, cuisinière, femme de ménage et mère "porteuse du fils prodigue", voilà à quoi le rôle de la femme est cantonné, dans ce monde où l'homme né roi tout puissant.
Impossible, pour qui l'a vu, de ne pas faire le parallèle avec la série Unorthodox (la religion n'est pas la même (juifs ultra-orthodoxe vs musulmans immigrés de Palestine) mais le droit des femmes se réduit de la même façon comme peau de chagrin).
Une note d'espoir nait cependant, et heureusement : la volonté de certaines femmes de s'instruire est plus fort que tout et les pousse, non sans difficultés, ni sans risques, à braver les interdits machistes pour avoir le droit d'espérer changer le cours de leur existence : école mixte, université, études et travail. Les femmes prennent enfin le contrôle de leur vie.
D’un premier abord, les dessins ne sont pas exceptionnels… mais la lecture de la quatrième de couverture laisse présager un contenu plus qu’intéressant.
Quelle enquête ! Et que de vérités révélées sous forme de dessins intelligents, qui servent à rendre un propos parfois complexe hyper compréhensible.
Au final, on se rend compte qu’on se retrouve toujours au même point : les responsables de ces dégâts écologiques irréversibles sont toujours les mêmes. Chefs d’entreprises à la tête de grands groupes connus de tous qui brassent chaque année des millions et des millions, qui en veulent toujours plus, et qui se rincent sur le dos du petit contribuable.
Forts parce que riches, ils achètent le silence des uns, graissent la patte des autres politiciens pour qu’ils ferment les yeux.
Le jour où le plus petit commun des mortels, qui pense n’être rien face à ces mastodontes, se rendra compte qu’un petit geste de la part de chacun, multiplié par le nombre de consommateurs, peut avoir une vraie conséquence, alors là, oui, ce genre de témoignages pourra permettre d’aller plus loin qu’une simple dénonciation.
En tout cas, merci pour ce nouveau pavé dans la mare. Du très beau boulot d’investigation, et un courage des auteurs qu’il faut applaudir !
Mais les chapitres s’enchaînent sans liens apparents (la présentation du livre ressemble presque à un abécédaire), ce qui ne rend pas la lecture très fluide.
Intéressant, mais pas indispensable.
Mais ce n’est qu’un détail. En effet, quel travail ! Et quelle imagination ! La montée en puissance et l’originalité de l’œuvre en font pour moi une très grande bd.
Le Louvre comme on ne l’a jamais vu.
Une interprétation magistrale d’un après monde tel que nous le connaissons, avec, en toile de fond, de nombreux classiques du musée.
Un grand bravo pour l’idée et pour les nombreux traits d’humour, qui rendent la lecture que plus plaisante encore.
L'hommage à Oscar Wilde et à son portrait de Dorian Gray est superbement amené, et mené. Mais l'auteur est allé légèrement trop loin sur la fin, pour que j'adhère complètement à ce qu'il en a fait.
Cela n'enlève rien à l'univers parfaitement gore qui se dégage de l'ensemble. Sur ce point, nul doute, le livre est réussi !
Un excellent exemple de barbarie et folie humaine.
Les dessins sont dérangeants (comment retranscrire les actes autrement, en même temps, lorsque le propos est aussi choquant ?)
Il a fallu s’accrocher dur pour regarder certains dessins. Et on se demande comment ces gens ont pu être témoins de ces horribles scènes, sans rien faire d’autre que regarder, ou, pire, participer à cette ignominie.
Je ne connaissais pas cette tragédie. Mais je ne risque pas de l’oublier !
C’est fluide, le prétexte de la commode est tout trouvé pour nous raconter l’histoire d’une vie.
Cette lecture m’a touchée et émue, et je suis incapable d’expliquer pourquoi elle m’a fait un tel effet.
J’ai forcément adoré !
Mais j’ai beaucoup aimé la réflexion qui se cache derrière ce scénario. La violence des hommes, les tromperies de la religion VS le calme et la paix qu’inspirent la Nature, et les animaux.
Un travail complexe mais très abouti. Une belle découverte !