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Résumé
Dans le mythe de Babel, la chute de la tour orgueilleuse s'accompagne de l'explosion de la langue exclusive en une multitude de langages différents, tandis que la nation qui se voulait unique est dispersée en une myriade de peuples dissemblables.
Franck Pavloff, l'auteur de Matin brun, offre une interprétation inverse de cette métaphore, située dans un futur lointain, elle est d'une étonnante actualité : après des millénaires d'affrontements, les peuples de langues et de cultures différentes avaient enfin appris à cohabiter dans " l'abondance et la simplicité ". Tous sauf un chez qui " perdurait le ciment de l'arrogance ", et qui ne voulait entendre que sa propre voix. Son unique fantasme était d'atteindre le domaine des " Aigles bleus ", sortes de divinités invisibles et immortelles dont ils partageraient la toute puissance. Alors, " tout était réuni pour que le balancier de Babel reparte dans l'autre sens et que se joue à nouveau, dans le bruit et la fureur, l'éternelle épopée de la domination ".
Les illustrations fortes de David Lozach expriment la tension poignante de ce récit dense et passionné qui célèbre, malgré tous les vents contraires, le triomphe de l'amour et de la liberté.
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