Il ne voulait pas être anormal et étrange.
Il voulait être comme tout le monde.
Pas anormal, mais normal.
Pas bizarre, mais normal.
Pas étrange, mais normal.

Ses baisers étaient comme un dérèglement climatique, je ne savais jamais le temps qu'il allait faire après. Est-ce que ce serait doux ? Est-ce qu'une tempête allait emporter le moindre de mes souffles ? Est-ce que j'allais pouvoir m'étendre au soleil et laisser la chaleur me réchauffer ? Est-ce que ce serait une brise, fraîche, qui donnait envie de se blottir dans un coin ?

Je te redessinerai, Jade, chuchota-t-il. Jusqu'à ce que tu m'aperçoives dans chacun de tes reflets.

L'espoir... C'était tout ce qu'il restait, quand le reste avait disparu. L'espoir c'était aussi la pire chose à laquelle on pouvait s'accrocher. L'espoir guérissait les âmes, ou les détruisait, irrémédiablement. Un homme dans une guerre. Une malade dans un centre médicalisé. Une jambe en moins. Un cœur en miettes. Qu'est-ce-que l'espoir avait fait ? A part nous donner une raison d'endurer l'inacceptable ?

''- Ton comportement irréprochable...ta persévérance... tes convictions... et ton honneur... je vais les détruire !"

- Pourquoi doit-on toujours rester humain ? Pourquoi doit-on toujours être raisonnable ? Et si la chose que tu souhaitais vraiment ne pouvait être trouvée dans ces limites... mais que tu pouvais l'avoir, si tu t'en libérais.
Si c'était possible, alors je préfèrerais renoncer à mon humanité.
(traduction perso)

- Le côté sombre du monde.. Alors voilà ce que c'est... Haha...
-Même la lune a un côté sombre. A quoi penses-tu que ça ressemble le côté sombre de la lune ? Parce que personne ne le sait ça !

'' La paix c'est seulement le calme avant la tempête... et le prix pour ça c'est l'ignorance.''

- Ie... qu'est-ce que tu dis ?
- Hein ?
- Quand tu laisses un ami. Qu'est-ce que tu dis ?
- Un... ami... ?
Je vois, Natsune-kun's a été seul toute sa vie. Il n'a jamais eu d'amis avant...
- "A plus tard", j'imagine... ?

(traduction perso)

"- Ecoute. Si tu ne veux pas mourir, fais semblant de boire ce fluide ! Fais comme si tu avais perdu l'esprit ! Et peu importe ce qu'il se passe, ne te retourne pas !"

Verde : - Lequel préfères-tu; moi où la vue ?
Goro : - Toi, bien sûr ! ... ?! Pourquoi tu es nu ?!

Endo : - Il semble qu'il a de l'expérience avec ce genre de chose
(Pensées de Verde) : De l'expérience... ? Alors... Gorou a déjà...avec quelqu'un d'autre que moi... ?
Dans ce cas, je vais juste devoir les tuer.

Goro : - Je suis censé souhaiter quelque chose, c'est ça ?
Endo : - Oui.
Goro : - Alors...je... je veux...un baiser.

Rikiya : - Alors... Je peux demander n'importe quoi... ?
Mark : - Ne sous-estime pas endo-sama !
Rikiya : - Je veux... Je veux un PETIT-AMI !

"- Sh-Shin ?! Est...est-ce qu'elle vient juste de t'em- t'em- t'embrasser...
- Ah...Les fées sont originaires de l'ouest après tout, c'est normal là-bas. Je suis sûr que c'était sa manière de me remercier pour lui avoir sauvé la vie.
Maintenant en ce qui concerne le dîner...
(Koyuki lui attrape sa manche alors qu'il se relève).
- Shin...re- remercie moi aussi !

— Je suis amoureux de toi… Noya…
Et comme pour mieux sceller ses paroles, Naka mordit légèrement à nouveau la marque sur l’épaule de son amant. Pas violemment comme le ferait un loup-garou, mais tendrement comme le ferait un homme amoureux.

— Très peu de loups viennent ici. C’est assez grisant de se dire que je suis seul sur ce territoire, sourit Noya.
— Plus tout à fait… répondit amusé, Naka.
— Tu es le seul à qui j’ai envie de faire découvrir mon univers. Le seul que je laisserai m’approcher si près qu’il pourrait me blesser.

Sebastian
" L’amour, c’est ce trou dans mon cœur quand tu n’es pas là. "

Il m’avait appris le courage.
L’amour.
La tendresse et le dévouement.
Et ce soir, il m’avait offert des ailes pour que je puisse m’envoler.

— Je vais te montrer comment il faut s’y prendre pour avoir du succès avec une fille, expliqua Max à Pietr, qui semblait vouloir s’enfoncer dans le plancher tellement il était embarrassé.

Max dirigea toute son attention vers Amy.

— Hé, lui lança-t-il en hochant la tête.

Elle se figea comme un cerf devant les phares d’une voiture qui approche.
Max laissa courir son regard lentement sur le corps d’Amy avant de braquer ses yeux dans les siens.

— Tu dois lui laisser savoir que tu la regardes, murmura-t-il à Pietr, comme si nous étions devenues sourdes.

Pietr ferma ses yeux très fort, ce qui fit plisser son front. Il gémit, émettant un son qui ressemblait à une excuse.
Max leva un bras et plaça une main à plat sur un casier, s’appuyant légèrement.

— Lever un bras à la hauteur de l’épaule ou plus haut, continua-t-il à murmurer à Pietr, aide à accentuer l’allure triangulaire de ton corps. Les filles aiment ça.

Amy ne semblait assurément pas s’en plaindre.
Il sourit à Amy. J’avais lu suffisamment de livres d’amour se disant paranormaux pour avoir rencontré des dizaines de descriptions de sourires coquins. Ils avaient tous l’air ternes comparés à la courbe des lèvres de Max. Dans ce cas, les mots ne suffisaient pas.

— Tu as un style d’enfer dans cette blouse, dit-il.

Pietr sourcilla.

— Descendre le ton de ta voix, conseilla Max, te fait sembler encore plus fort. Et murmurer (sa voix s’adoucit) est une manière de la faire s’approcher.

Son regard quitta les yeux d’Amy et se mit à descendre plus bas que ses lèvres et encore plus bas.
Le bruit que fit sa main lorsqu’elle frappa le visage de Max nous fit sursauter, Pietr et moi.

— Et fixer mes seins t’amènera une gifle, répliqua Amy en souriant elle aussi.

( Charles )

Il avait vécu très longtemps et n'avait appris la peur que depuis qu'il avait trouvé Anna. Il avait découvert qu'il n'avait jamais était courageux auparavant, seulement indifférent. Elle lui avait appris que, pour être courageux, il faut craindre de perdre quelque chose.
'' J'ai peur de la perdre. Peur qu'ils me la prennent - ou de l'éloigner de moi quand elle verra ce que je suis vraiment ''.

( Mélanie )
- Oui, s'il vous plaît. Un Greyson sans capote, vous pouvez le passer en commande expresse ?

- Tu es aveugle parce que tu es à moi
- Non, je te vois parce que je suis à toi

A cet instant, Amy, la soeur d'Anne, est entrée dans le pièce avec un plateau.
- Des biscuits au cannabis ? a-t-elle joyeusement proposé à la cantonade.
Nous sommes tous restés abasourdis.
- Vraiment ? s'est exclamée Brynne, la première à retrouver l'usage de la parole.
Amy a poussé un soupir de regret.
-Malheureusement non.