Commentaires de livres faits par LittleGrey
Extraits de livres par LittleGrey
Commentaires de livres appréciés par LittleGrey
Extraits de livres appréciés par LittleGrey
Les Talons Rouges, c'est une jolie petite histoire de magie et d'amour.
Mercure, c'est une histoire surprenante, douce et effrayante à la fois.
C'est un style aérien, léger, c'est beau. C'est étonnant de simplicité, de mystère. On ne sait rien. Tout n'est vraiment dévoilé qu'à la fin. Et quelles fins!
Cette ouverture vers une deuxième fin, si elle nous coupe la voie vers les 'Et si', permet aussi de faire son choix, parmi celle qu'on préfère, pour moi, la deuxième, qui conclut magnifiquement un livre bouleversant.
Un bon premier tome qui apporte une base solide aux deux poignants tomes qui le suivent.
Touchant, bien dessiné, innocent, beau, la Fille de l'Arbre nous offre un conte hivernal d'une douceur incroyable.
Un merveilleux souvenir.
Lire ce livre par une froide nuit d'hiver et passer ensuite des heures dans son lit, yeux fixés droits devant soi, à craindre le livre posé sur le sol, tout près.
A lire d'une seule traite, bouleversant, renversant et simplement effrayant.
Au jour le jour. Les devoirs pénibles sur un évènement géologique important. Et puis le renversement de situation. La Lune a bougé. Tout s'est effondré. Vivre au jour le jour cette déchéance. Voir la mairie qui tente de s'organiser pour faire surface avant de simplement abandonner. Voir les proches partir, mourir.
Ressentir chaque feuille de papier, chaque boîte de conserve, chaque pile comme un miracle. Se confiner dans une pièce. Subir le froid glacial de l'hiver. Voir ceux qui succombent à une grippe.
Quoi de plus effrayant que de vivre ca au fil des pages, au fil des termes de Miranda, d'abord si superficielle. Le changement qui s'opère en elle est peut-être des plus terrifiants. Cette catastrophe n'a pas seulement tué un nombre incommensurable de personnes. Elle en a aussi détruit d'autres au plus profond d'eux-mêmes.
Comment avoir le courage de continuer à avancer alors qu'on ne sait même pas combien de temps on va survivre et qu'on n'est pas loin d'abandonner tout espoir?
Histoire à lire la nuit, pour en ressentir la peur qui s'incruste dans chaque cellule de votre corps.
Et puis l'émotion tout du long et dès les trois premières cases.
Un trait émouvant, des couleurs frappantes et ce bleu. ce bleu qui revient sans cesse, comme une litanie, comme un petit refrain qui s'incruste sous les ongles, entre les cheveux, dans les oreilles, le long des synapses, même sous la langue. Un bleu magnifique qui signifie tout et rien à la fois. Un bleu futile et profond qui suit le fil d'une magnifique histoire, d'amour, de coflits, de découvertes, de trahisons et puis de récits. Aussi et surtout, un récit de récits.
Une Emma qui se glisse au fil des pages, toujours là même quand elle n'y est pas.
Un chef d'oeuvre.
Forcée de surcroit à lire ensuite le deuxième, j'ai haï les yeux d'Elisha comme jamais enfant n'avait haï un livre.
Ca fait longtemps, maintenant, et il serait peut-être temps de retourner à la bibliothèque, dans ce rayon enfant et emprunter à nouveau ce livre.
Une histoire d'amour qui a traversé les âges. Tristan comme Iseult ne trouveront jamais le repos et pourtant on leur envie cet amour si beau, si plein, si parfait.
A lire absolument, ce livre vous propose tout simplement de vous bercer sur des rivages encore inexplorés.
J'ai perdu dans ce tome ce que j'avais aimé et ca m'a décu. Parce qu'il reste une possibilité que ca soit à cause de ma fatigue, je me promets toutefois une autre lecture de ce deuxième opus.
Je n'ai quasiment aucun point commun avec elle mais j'ai ressenti ses frayeurs, sa longue descente en enfer, ses restrictions, le quotidien, dur, trop dur et l'absence de nouvelles de ses proches, la mort progressive de tout le monde autour. Un contexte apocalyptique dans lequel la moindre grippe est fatale.
Un livre commencé une après-midi d'été et terminé tard dans la soirée.
Allez essayer de dormir après avoir ressenti pendant plusieurs heures une frayeur monstre, une angoisse sourde qui vous prend la gorge. Peine perdue. A cause de ca, je n'ai jamais lu la suite, mais je pense m'y remettre.
'Les Éveilleurs', c'est bien plus qu'un livre ou qu'un simple voyage. C'est LE voyage du Lecteur, celui qui succède au voyage de l'écrivain, celui qui entraîne les Vrais Lecteurs en dépit des règles de la Guilde. Un incontournable, tout simplement.
A lire et relire, faire lire et offrir.
Mon étagère est toute prête -déjà- à accueuillir un quatrième volume de cette série magnifique. Cependant, la parution ne sera pas pour demain. Si l'on compte, comme pour les autres volumes prés d'un an et demi, on pourra espérer le trouver au pied du sapin l'an prochain.
Ne reste plus qu'à relire les trois premiers et continuer à semer partout les extraits des carnets de Sierra.
Un vrai bonheur à lire, à relire, à faire lire, à découper en extrait que l'on sème et re-sème, que l'on cache, et réecrit partout.
Et que dire des dix droits imprescriptibles du lecteur? Merveilleux. Magnifique. Je terminerais -bien sûr- par une citation, justement, de ce même livre que je ne fderais que conseiller.
« Le verbe lire se supporte pas l'impératif. Aversion qu'il partage avec quelques autres. Le verbe 'aimer'... Le verbe 'rêver'...
Bien sûr, on peut toujours essayer. Allez-y: 'Aime-moi!' 'Rêve!' 'Lis! Lis! Mais lis donc, bon sang, je t'ordonne de lire' »
Et puis j'ai enchaînée, toujours d'aussi mauvaise humeur sur le prologue et ses trois Seigneur par phrase.
Vu en représentation, celle-ci a un peu rattrapé mon avis dessus, mais avec une fin toujours aussi lourde, et pénible de religion.
Trop laïque pour apprécier l’œuvre d'un illuminé religieux, je la laisse à ceux qui savent oublier ce point pour lire la pièce...