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Tobie n'est pas un garçon comme les autres. Agé de 13 ans, portant une cicatrice horizontale sur la joue, il est le fils d'un grand homme, d'un merveilleux savant. Il vit dans un arbre et ne mesure pas plus d'un millimètre et demi.
Il est exilé avec sa famille pendant cinq ans dans les basses branches parce que son père n'a pas voulu révéler le secret d'une invention révolutionnaire. Jusqu'au jour où ses parents sont emprisonnés. Tobie est alors pourchassé par son propre peuple, obligé de se cacher et de vivre la nuit "comme ces animaux nocturnes, anonymes, invisibles".
L'histoire d'un petit bonhomme mesurant un millimètre et demi est une idée originale mais j'ai bien aimé. On apprend à vivre au rythme du peuple de l'arbre, un univers décrit de façon simple et original. C'est un livre plutôt agréable à lire et bien écrit. ;)
Tout comme l'indique le titre, on reste en effet suspendu à chaque mot que l'auteur a écrit.
Une histoire touchante qui nous montre que même en ne mesurant qu'un millimètre et demi on peut devenir le plus grand héros d'un monde pourtant inconnu. Une histoire basée sur l'amitié, la confiance, la peur et la jalousie. Entre amour et trahison, tristesse et joie, cette histoire fait battre notre cœur comme si nous la vivions à la place du jeune Tobie.
Voici l'histoire d'un jeune garçon qui en devenant un homme, est devenu un héros.
Lorsqu'une lecture m'a déplu, je suis généralement capable de m'épancher sur des pages et des pages mais, lorsque je suis transportée par le texte, je suis bien souvent à court de mots.
L'histoire de Tobie Lolness est un récit palpitant truffé de décors insolites, d'antagonistes grotesques, d'alliés attachants, de courage et de ruse.
J'ai beaucoup apprécié ces personnages tout en nuances de gris : travailleurs appâtés par l'argent facile, amis désireux de faire leurs preuves auprès de mauvaises personnes, canailles par dépit ou encore tortionnaires aux petits soins pour leur fille. Et partout, dans les deux "camps", des victimes de la peur qui se mettent des œillères ou qui justifient ainsi les pires atrocités.
J'aurais aimé que les aventures de Tobie se poursuivent encore un peu plus mais j'imagine qu'on était à court d'installations - paiements ; il faut dire qu'ils ont tous été utilisés et à bon escient.
En bref, je suis restée scotchée à mon siège et Tobie Lolness a amplement mérité ses nombreux prix.
Très beau roman d’aventure prenant, à la plume très intéressante, qui fourmille de révélations au fur et à mesure de la lecture. Tobie Lolness est un jeune garçon très attachant (entouré de tant d'autres, dont Elisha), à l’esprit très inventif pour semer ses poursuivants et ainsi tenir tête au terrible Jo Mitch.
Je suis très curieuse de découvrir la suite de cette histoire dans le deuxième et dernier volume de la saga, 'Les yeux d’Elisha'.
Voilà un livre dont je n'attendais rien. Le résumé me tentait moyennement. Face à la pression collective, j'ai cédé. Oh combien j'ai eu raison !
Je ne sais pas par où commencer tellement ce jeunesse est parfait, rempli d'intelligence. Je vais m'emmêler, oublier pleins de thèmes, mais au moins ça vous laissera une part de surprise. Et je vais juste vous dire ce qui se passe dans ma tête en l'instant.
Dans cette aventure fantastique, il est question de peuple miniature et d'un enfant qui se retrouve, sans vraiment en comprendre la raison, traqué par les siens. Vous savez, toujours le même rengaine. On frôle le genre dystopique avec la notion d'organisation sociétale, d'abus de pouvoir et de tyrannie.
La plume, à l'exception de la non linéarité du récit qui a pu parfois m'embrumer, est d'une vraie finesse et le worldbuilding aussi. Tout est sous forme de métaphores, allégories, satires et autre figures de substitution. L'auteur parvient à enrober l'ensemble d'une quête pleine d'humour et de rebondissements. Alors les enfants seront conquis, tout en s'ouvrant au monde qui les entoure, tandis que les adultes ne pourront s'empêcher de sourire et de tout comparer avec la société d'aujourd'hui.
Car autant vous dire que les dénonciations des travers humains, vous en trouverez à la pelle. J'ai été particulièrement déçue de voir à quelle vitesse les gens vendaient leur âme au diable et dénonçaient au nom de rien. Et j'étais presque encore plus triste de voir leurs regrets inutiles, qui arrivaient malheureusement trop tard. Il est si aisé après coup de se dire "si j'avais su" quand on a été dupé...
Enfin, parlons des Pelés. Je les imaginais à l'image du peuple d'Un indien dans la ville, surtout dans leur façon de passer à l'âge adulte. J'ai aussi été émue par l'appel à la tolérance que l'auteur nous crie à tue-tête grâce à eux. Oui, il faut accepter la différence !
Le fond n'est pas en reste et la fin relance la machine de cette folle aventure. Je trépigne à l'idée de la suite !
Plus qu'une simple aventure, ce premier volet est une véritable plongée fascinante dans un univers miniature incroyablement bien construit. Si le roman est accessible dès 10 ans, notamment car ses personnages sont des enfants, je conseille à tous de le lire, car il aborde, à travers des métaphores, bon nombre de sujets de grande importance, encore plus aujourd'hui qu'à l'heure où il a été écrit. L'écologie et notre rapport à notre environnement, la manière dont on accepte d'être dirigé, les relations aux autres dans une société qui se dégrade, poussée par le capitalisme et le consumérisme, sont autant de grandes questions que pose ici Timothée de Fombelle, en restant à hauteur d'enfant, sans les prendre pour des simples d'esprit. Chapeau bas à l'auteur pour ce tour de force et cette grande épopée que j'ai très hâte de poursuivre dans le second et dernier tome.
Ce livre est génial on se met tout de suite dans la peau de ce petit personnage d’un millimètre (Tobie). Il trouve toujours des solutions. Il nous entraîne sur ces branches à la recherche de ses parents et d’Elisha.
Ce livre est aussi très original car ce n’est pas le même univers que nous mais ça change et je trouve ça super !
J'ai beaucoup aimé cette relecture. On dit que c'est un livre jeunesse, mais je me suis régalée en lisant les descriptions de ce petit univers, de ces personnages si attachants. A propos de personnages, je les trouve très bien construits, chacun n'aurait pas pu être mieux pensé. J'apprécie beaucoup les illustrations. Ce que j'ai le plus apprécié, c'est comment l'auteur explique l'origine de telle ou telle expression (comme les personnages vivent dans un arbre et ne déménagent pas souvent, l'expression "vieille branche" désigne un vieil ami, voisin depuis longtemps).
Chaque feuille, chaque brindille sont le théâtre d'aventures extraordinaires, on y retrouve les petits insectes qui se transforment en ennemis mortels ou en bétail, les branches relient les villes, cet arbre est un univers à lui tout seul.
Hormis le cadre, j'ai surtout été séduite par Tobie ! Comment ne pas tomber sous le charme ? Il est la gentillesse incarnée, sa découverte du monde est aussi touchante que captivante, il fait preuve de tellement de courage du haut de son millimètre et demi. Il ne cesse d'inspirer son entourage chapitre après chapitre, mais aussi les lecteurs
L'intrigue quant à elle est assez douce, sans grande surprise, mais c'est avant tout l'aspect "récit initiatique" et le côté très touchant des personnages qui fait la beauté de cette œuvre. Avec les illustrations aussi bien sûr 🥰
J’ai pas du tout accroché. Histoire plate et aucun plaisir à lire, personnages quasi inhumains, pas de péripéties... Bref, je vous déconseille de le lire.
Résumé
Tobie n'est pas un garçon comme les autres. Agé de 13 ans, portant une cicatrice horizontale sur la joue, il est le fils d'un grand homme, d'un merveilleux savant. Il vit dans un arbre et ne mesure pas plus d'un millimètre et demi.
Il est exilé avec sa famille pendant cinq ans dans les basses branches parce que son père n'a pas voulu révéler le secret d'une invention révolutionnaire. Jusqu'au jour où ses parents sont emprisonnés. Tobie est alors pourchassé par son propre peuple, obligé de se cacher et de vivre la nuit "comme ces animaux nocturnes, anonymes, invisibles".
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