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Commentaires de livres faits par MephistoLux

Extraits de livres par MephistoLux

Commentaires de livres appréciés par MephistoLux

Extraits de livres appréciés par MephistoLux

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Vous étiez là, jeune femme si belle, si intelligente et courageuse; vous veniez de traverser le royaume au galop, et tant de dangers, pour m'apporter un message; vous aviez la témérité d'instruire le monarque de la manière de gouverner un pays.Oui, c'est alors que vous, fougueuse et passionnée, vous avez capturé mon cœur. Je n'ai pas tardé à comprendre que je vous aimais, et je vous ai aimée pendant tout ce temps. Comment faire autrement ?
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- Lorlen et moi venions ici pour échapper aux cours du seigneur Margen.
Il arracha l'une des pièces et l'examina.
- Le seigneur Margen ? Le mentor de Rothen ?
- Oui. C'était un professeur strict. Nous l'appelions "le Monstre". Rothen lui a succédé un an après que j'ai été diplômé.
Il lui paraissait aussi difficile de visualiser Akkarin en jeune novice que de l'imaginer en esclave. Même en sachant qu'il n'avait que quelques années de plus que Dannyl, ce dernier lui semblait pourtant bien plus jeune.Ce n'était pas qu'Akkarin avait l'air vieux, songea-t-elle, c'était simplement son attitude et sa position qui donnaient une impression de plus grande maturité.
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J’entrai dans sa chambre sans frapper. Il ne fermait de toute façon jamais sa porte, très certainement car toute personne qui y entrait sans permission risquait la mort. J’avais déjà vécu ça cette semaine alors je n’aurai laissé rien ni personne m’arrêter.
-« Il faut qu’on parle », dis-je.
Les lumières étaient allumées ce qui signifiait qu’il devait déjà être levé. Heureusement pour moi car même si j’étais déterminée à en finir avec ça, Vlad n’était pas exactement un exemple de bonne humeur au réveil. Je fermai la porte, et laissais mon regard balayer la pièce. Ses appartements étaient divisés en 4 sections : la mini librairie comme je l’appelais avec deux bibliothèques collées dos à dos, la chambre, la salle de bain et son dressing.
Vlad sortit dudit dressing vêtu d’un pantalon et d’une veste qui avait la couleur d’un ciel orageux. Sa chemise en soie sauvage était d’une teinte un peu plus claire, tout comme l’était sa longue et épaisse écharpe en soie qui était enroulée de manière décontractée mais élégante autour de son cou.
J’avais dus l’interrompre avant qu’il ait fini de s’habiller car ses pieds étaient nus, ce qui rendit sa démarche encore plus silencieuse que d’habitude.
Je levai une main « Avant que tu ne dises quoi que ce soit, écoute-moi bien. »
N’attendant pas de voir s’il était d’accord, je me lançais tout de go.
’« Je te connais, je veux dire, je connais le vrai toi et même si je n’aime pas tous les aspects de ta personnalité, parce que tu as une maîtrise en torture médiévale, sans compter une allergie chronique à reconnaître tes sentiments au-delà de l’affection et du désir que n’importe quel psychanalyste aurait diagnostiqué en tant que phobie de l’engagement – je repris mon souffle pour ce qui allait suivre- je t’aime quand même Vlad. Toi, le dragon, pas le chevalier imaginaire, et je ne te laisserais pas m’évincer de ta vie car je… je pense que tu m’aimes aussi. »
J’étais à bout de souffle après avoir prononcé tous ses mots sans respirer. Tout au long de mon discours – franc quoique manquant un peu d’éloquence- Vlad avait continué d’avancer vers moi. L’odeur de cannelle, d’épice et de fumée chatouilla bientôt mes narines. (…)
Je le fixai, souhaitant avoir ses dons pour lire dans les pensées parce que son expression ne révélait rien. Les seules informations que je réussis à glaner en observant son visage, fut qu’il arborait à nouveau une barbe de trois jours et que ses yeux de cuivre en fusion étaient parsemés d’émeraudes.
« Tu as raison » dit-il enfin, sa voix remplie de quelques choses que je ne pouvais pas nommer.
« A propos de quoi ? Ta passion pour la torture, tes problèmes d’engagement ou… l’autre chose ? »
Son sourire était séduisant et effrayant, c’était comme être fouettée et découvrir qu’on aimait la douleur causée. Je ne pouvais empêcher mon corps tout entier de frissonner tandis que je regardai l’homme qui avait toujours une prise sur mon cœur.
« A propos de tout. »
Il me serra contre lui tandis qu’il prononçait ces morts, une main fouillant mes cheveux tandis que l’autre caressait mon dos. Leur chaleur n’était rien en comparaison de celle de ses lèvres quand il les pressa contre la gorge.
Source : http://chapitre32.com/2013/07/29/scene-exclusive-de-twice-tempted-laveu-de-leila/
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(Début du Prologue)
This wasn’t the first time I’d woken up as a captive. It wasn’t even the second. I so needed to reevaluate my life choices.

Ce n'était pas la première fois que je me réveillais en tant que prisonnière. Ce n'était même pas la deuxième. J'avais vraiment besoin de réévaluer mes choix de vie
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No one feels like you do, so every brush of your skin is a cruel reminder of what I’ve lost. I can barely stand the sight of you because you’re more beautiful than I’ve allowed myself to remember, and when I cut that wire off Maximus and smelled you all over him, I wanted to kill him more than I’ve wanted to kill anyone in my life, yet I couldn’t because of my promise to you.

Personne ne sens comme toi, alors chaque effleurement de ta peau est un cruel rappel de ce qu'ai j'ai perdu. Je peux à peine supporter de te voir parce que tu es encore plus belle que ce que je me suis autorisé à me rappelé, alors quand j'ai coupé ce câble sur Maximus et que je t'ai senti partout sur lui, j'ai eu envie de le tuer, plus que je n'ai jamais voulu tué qui que ce soit dans ma vie, pourtant je ne pouvais pas à cause de la promesse que je t'ai faite.
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“You might be the cruelest person I’ve ever met,” he said in a conversational tone. (...)
“My first wife killed herself. Took me centuries to get over it and love again, yet you weren’t going to mention that you might be compelled to slay yourself in front of me.”

- Tu dois être la personne la plus cruelle que je n'ai jamais rencontré," dit-il sur le ton de la conversation. (...) Ma première femme s'est tuée. Ça m'a pris des siècles pour m'en remettre et aimer à nouveau, pourtant tu n'allais pas mentionner que tu pourrais être forcé à te tuer juste devant moi"
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“Leila Dalton, my one true love, will you do me the honor of becoming my wife?”
I might’ve brought Vlad to his knees at last, but in so many ways, he would never bend. I knew that as surely as I knew I’d always love him, and it left me with only one answer.
“Yes, Vlad, I will marry you. Tonight.”

- Leila Dalton, mon seul véritable amour, me ferais tu l'honneur de devenir ma femme ?
J'avais peut-être amené Vlad à genoux, mais de tellement de façon, il ne s'inclinerait jamais. je le savais aussi surement que je savais que je l'avais toujours aimé, et cela me laissa avec une seule réponse.
- Oui, Vlad, je vais t'épouser. Ce soir.
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Don’t do this! I wanted to scream. I love you; can’t you even try to let yourself love me, too?

Ne fais pas ça ! avais-je envie de crier. Je t'aime, ne peux tu même pas essayer de te laisser aller à m'aimer aussi ?
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En dessous, nichée au creux d'un coussin de satin blanc, se trouvait une clé en argent.
Inutile de demander quelle porte elle ouvrait : sur la petite étiquette qui l'accompagnait était écrit : "Suite du Maître".
Ethan m'avait donné la clé de ses appartements.
Pendant un moment, j'observai ce nouvel objet dans ma main et considérai ce qu'il signifiait. Il ne s'agissait pas de la clé de la suite de la consorte, où Ethan aurait pu me reléguer en tant qu'amante. C'était la clé de sa suite, de chez lui; elle me permettait d'y aller quand j'en aurais envie, chaque fois que j'en aurais envie.
En dépit de nos débuts difficiles et des hautes et des bas qu'avait connus notre relation, je ne pouvais plus le nier : Ethan Sullivan et moi étions ensemble.
Comme les choses avaient changé...
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« Anasatasia Steele. Je t'aime. Je veux t'aimer, te chérir, te protéger pour le restant de mes jours. Sois mienne. Pour toujours. Partage ta vie avec moi. Épouse-moi.»
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“You are mine, Merit.”
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Mes nerfs étaient à fleur de peau, je serrais le volant de mon élégant cabriolet Mercedes.

Cette compagne, Ethan Sullivan, me souriait depuis le siège passager. «Vous avez l'air si morose, Sentinelle. Vous ne devriez pas continuer à regarder la carte postale de la ville que vous avez collé sur le tableau de bord. "

«Je sais», dis je , en m'asseyant plus droit et en regardant l'autoroute devant nous. Nous étions quelque part dans les champs de maïs de l'Iowa, à mi-chemin entre Chicago et Omaha. C'était Novembre et le maïs a disparu, mais le nombre d'acres d'éoliennes produit un arc électrique dans l'obscurité au-dessus de nous.

"C'est juste bizarre de partir,«dis je. "Je n'ai pas vraiment été hors de Chicago depuis que je suis un vampire."

«Je pense que vous trouverez la vie d'un vampire est assez similaire, indépendamment de l'emplacement. C'est uniquement la nourriture qui est différent. "

"Que pensez-vous qu'ils ont dans le Nebraska? du Maïs? "

"Et du steak, j'imagine. Et sans doute tout le reste. Bien que vos Mallocakes peut être difficile à trouver. "

"C'est pourquoi je mis une boîte dans mon sac."

Il éclata de rire comme si j'avais dit la plaisanterie la plus drôle qu'il ait jamais entendu, mais je lui avais dit la vérité absolue. Mallocakes étaient mon dessert favori des gâteaux au chocolat fourrés avec de la crème de guimauve et ils étaient extrêmement difficiles à trouver. J'avais apporté une certaine quantitée juste au cas où.

Indépendamment de mes choix culinaires, nous étions sur notre chemin, alors je souris et pensa au fait que Ethan, le Maître et l'avenir de la maison Codogan, était assis dans le siège à côté de moi. Moins de vingt-quatre heures auparavant, il était complètement et totalement défunt. Et maintenant, par un tour de magie mal intentionné, il était de retour.
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« Ma vie paraitrait vide de sens sans toi. Je t'aime tellement. Je ne te laisserai jamais partir.»
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Viens, Elena.
Je ne peux pas atterrir ici. Je m'assommerai.
Il rit presque. Et il n'aurait pas cru en être capable après la sentence qu'il venait de délivrer.
Je te rattraperai.
À la voir changer simplement de trajectoire sans rechigner pour venir se poser dans ses bras... Quelque chose fut brisé en lui. Avant de le changer en un nouvel homme.
-Elena, murmura-t-il dans ses cheveux en l'écrasant contre lui.
Elle enroula ses bras autour de lui, son affiliée fragile avec sa volonté incroyable et son refus de capituler.
-Raconte-moi, chuchota-t-elle.
Et lui, un Archange habitué à garder des milliers de secrets, il lui dit tout.
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"{...]Je percevais sans pouvoir le comprendre, sa détermination et son assurance. Son sang appelait le mien, sa chair la mienne. Je devais le rejoindre, m’unir à lui. Il me voyait, je le savais. Tout comme moi, il m’observait mais ne bougeait pas. Tout comme moi, il résistait à la tentation qui voulait nous approcher. Étrange, envoûtant, mystérieux, j’aimais. Peut-être était-il un ennemi, un dangereux roi, sanguinaire, violent et machiavélique, mais cela ne m’importait que peu.
- Qui es-tu ?
Voilà ce que je lui soufflais. Mais j’ignorais si ces mots lui parvenaient. Elle était là, érigée entre nous, cette forte barrière de protection magique.
Pourquoi ?
Isolent chacun de nos corps dans sa propre dimension, nous retenant de nous lier. Pourtant, j’aurais besoin de lui, de sa présence contre moi, de son soutient. Son image se troubla alors. Non ! Non !
Je refusais qu’il s’échappât ainsi, si aisément sans que je puisse rien obtenir de cet étranger, pas même un nom. « Reviens ! Reste ! », avais-je envie de hurler. Mais je n’y parvenais nullement. Enfin, le décor se stabilisa.
Ce roi inconnu était debout dans une plaine en lisière de forêt. Au dessus de lui, un aigle passa. Je vis le bec de l’animal s’ouvrir. Probablement pour pousser un cri que je ne pouvais entendre. Le vent, que je ne pouvais sentir, s’infiltra sournoisement dans sa chevelure blonde. Ses lèvres bougèrent tandis qu’il me semblait percevoir une larme en coin de son œil droit. Pourtant, aucune goutte salée ne perla à ses cils.
A quoi songeait-il ?[...]"
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« Une main m'a soudainement attrapé le bras et m'a tiré au loin. J'avais encore le souffle coupé.
- C'est moi, dit une voix.
Adrian. J'ai lâché un soupir de soulagement.
- Ne regarde pas derrière, a-t-il ajouté calmement, retourne juste à la voiture. »
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"- Mais tu es médium, pas vrai ?
- Mec, répondis-je en me penchant par-dessus mon bureau, je suis aussi médium qu'une carotte."
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Une silhouette avançait dans la nappe de brouillard bleu qui recouvrait le Midway, se dirigeant vers nous. Un frisson me parcourut l'échine.
- Reculez, nous intima Catcher en nous rejoignant. Cette chose est malfaisante. Le sort a été interrompu. La magie est inachevée.
Je tendis la main.
- Attendez.
A peine ce mot avait-il franchi franchi la barrière de mes lèvres que je me mis à marcher vers la silhouette.
Quelque chose me forçait à avancer. Sans que je puisse l'expliquer, chaque cellule de mon corps me commandait d'aller à la rencontre de la créature qui était en train d'émerger du nuage de cendres en suspension. Je risquai peut-être la mort, je m'en moquais. Je continuai à marcher . Et, lorsque le brouillard se dissipa, je croisai un regard vert étincelant.
Les larmes me montèrent aux yeux.
Les jambes tremblantes, je courus vers lui.
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- Tu as senti ?
- Senti quoi ? s'étonna Jonah.
Je restai immobile et, au bout d'un moment, me demandai si je n'avais pas tout imaginé. Mon regard se porta par hasard sur un verre d'eau posé sur la table d'à côté. Le verre frémit, puis des ondulations se propagèrent à la surface du liquide.
- Jonah ...
- J'ai vu, dit-il avant de marquer une pause. Peut-être qu'il s'agit juste de très gros dinosaures.
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- Ethan n'était pas toujours facile à vivre. Il était exigeant, et certains jours, j'avais l'impression d'être un bloc de glaise qu'il tentait de remodeler.
- Comme si chaque sortie était prétexte à une leçon ?
- Quelque chose comme ça, oui, confirmai-je avec un hochement de tête. Mais je crois qu'il s'efforçait surtout de me cerner, d'apprendre à me connaître, et qu'il avait fini par comprendre que j'étais capable de remplir mon rôle sans qu'il ait à changer ma personnalité. (J'esquissai un sourire malgré moi). C'était un emmerdeur tyrannique et présomptueux, mais c'était mon emmerdeur, tu vois ? Et ce soir, il ne sera pas là avec moi. Ça me fait tout drôle.
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Je saluai Catcher, puis retournai avec Jonah vers ma voiture.
- Tu dois être déçu de ne pas pouvoir rendre visite à la sirène, demain, avançai-je.
- Je suis au bord de la dépression, reconnut-il. Tu crois qu'elle porte une robe aussi courte que les nymphes ?
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A peine avions-nous fermé la porte qu'il s'empara de mes lèves pour m'embrasser avec voracité et insistance. La passion nous enflamma, tourbillonnant autour de nous avec la puissance d'une magie ancienne.
Je ne discutai pas. Je lui rendis son baiser avec toute la fougue dont je pouvais faire preuve, le dévorai avec chacun des outils de mon arsenal, l'embrassai et le caressai tandis que le désir nous embrasait.
Au bout de quelques instants, il recula, haletant, ouvrit les yeux et prit mon visage entre ses mains.
- Je me rappelle très bien où nous en étions restés, Sentinelle, et je n'ai pas l'intention de l'oublier.
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- On m'a donné droit à une troisième existence, même si les circonstances sont quelque peu troublantes. Tu es mienne, et nous le savons tous les deux.
Il m'embrassa de nouveau et, alors que je commençais à croire à la réalité de son retour, je me sentis soudain mue par un sentiment de possessivité, une émotion plus forte que tout ce que j'avais ressenti jusque-là. J'étais certaine jusqu'au tréfonds de mon être qu'Ethan était mien.
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Bonjour j'ai trouver un site ou on peut lire le livre sans télécharger ni payer sauf qu'il est en anglais..Bref si sa vous intéresse :

http://www.scribd.com/doc/89380160/Taken-at-Dusk-Hunter-C-C


Bonne Lecture!!!
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[...]Lorsque je quittais pieds nus la pièce et revenais dans ma chambre, je faillis hurler de stupeur. Chris se tenait assis sur mon lit. Il me fallut quelques secondes pour retrouver un rythme cardiaque régulier.
- Faut que je te parle.
- J’avais fermé à clefs, répliquai-je.
- Je n’en aurais pas pour longtemps.
- Comment es-tu entré ?
Nous nous regardions dans le blanc des yeux. L’un sachant que l’autre continuerait de faire la sourde oreille sans d’abord avoir reçu des explications. Je conservais une main sur le nœud de ma serviette dans la crainte que celle-ci puisse se détacher. J’étais toute de même un peu… nue. Je n’avais pas songé à ce détail dans les premiers instants, mais maintenant la surprise passée, je sentais mes joues s’empourprer de gêne. Chris ou l’air et la manière de me plonger dans une situation embarrassante. Lui ne semblait pas perturbé par ce détail.
Soudain, il tira de sa poche une clef. J’arquais un sourcil intriguée alors qu’il m’expliquait le plus calmement du monde.
- Marine avait oublié de te remettre la clef de ta chambre. J’ai pris les devants en lui disant que je te l’apporterai !
Je levais les yeux au ciel. Non mais vraiment, celui-ci, il était… Peu importait ce qu’il était. Il m’envoya la clef que je préférais laisser tomber au sol à mes pieds plutôt que de me tenter à la récupérer et à ce que la serviette m’abandonne.
- Que veux-tu ?
- Je t’ai vu combattre aujourd’hui. Tu es plutôt mauvaise.
Je lui jetais le plus noir des regards qu'il m'était possible de réaliser, tout en répliquant colérique :
- Si t’es venu pour me répéter ce que je sais déjà, tu connais le chemin de la porte pour sortir ![...]
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nouvelle scene!

« Le Maître du feu, répétais-je. C’est lui que vous voulez que je retrouve avec ces objets ?

Vous êtes cinglés faillis-je dire à haute voix. Faillis-je ! Car si eux étaient cinglés, moi je ne l’étais pas !



« Vous pouvez le faire n’est-ce pas, me demanda Jackal alors que toute trace d’hilarité quittai son visage »

Bien sur que je pouvais, je ne voulais pas c’est tout. Je doutais que ce « Maitre du feu » était l’un de leurs amis. J’avais entendu Jackal le traiter de « batard » d’un ton plein de mépris. Ils ne pouvaient avoir que de mauvaises intentions en me demandant de le retrouver. N’importe quelle personne saine d’esprit aurait évité d’être sur le même continent que cette créature si un différent les opposaient, cependant Jackal et les autres voulaient lui tendre une embuscade..

Le souvenir du charmant sourire que le Maitre du feu avait fait avant de réduire Raziel en un tas de ruines fumantes était quelque chose que je voulais oublier. Mais si je refusais de le chercher, je ne vivrai pas assez longtemps pour me préoccuper d’oublier quoi que ce soit...

J’avais beau tourner et retourner le problème dans tous les sens, j’étais coincée entre le marteau et l’enclume. Ou plus exactement, entre des crocs et des flammes.



Je touchai le couteau en argent. A ce simple contact les images de la mort de Neddy me revinrent à l’esprit, sous le filtre grisâtre de sa propre mémoire. Ce fut comme si ces choses m’étaient arrivées en personne. Je ne fus pas étonnée de constater que le Maitre du feu avait bel et bien tué Neddy, utilisant le couteau après l’avoir préalablement carbonisé.

Ca ne me surprit pas non plus qu’il se soit exécuté avec la même froideur que celle dont il avait fait preuve pour Raziel. Je passais outre la douleur incandescente que je ressentais ainsi que le sentiment de flotter dans quoi que ce soit qui attendaient les gens après leur mort, pour me focaliser sur le Maitre du feu, essayant de le voir maintenant et non pas alors.



Cette partie là était plus difficile. Dans des situations ou l’émotion est à son comble, chaque personne laisse une partie de son essence sur des objets. Toutefois, on ne peut pas vraiment dire que tuer Neddy avait vraiment exité notre Maitre du feu, donc il n’y avait qu’un chouilla de son essence sur le couteau. Mais indifférent ou non, il n’y a rien qui lie plus deux êtres que la mort.

Il y a un je ne sais quoi à propos de la porte sur l’autre monde. Une fois entrebâillée, elle fait fusionner les essences et elles s’impriment plus clairement dans mon esprit. Une fois que j’eus séparé la rage et la peur de Neddy, je pus ressentir l’essence distincte de ma cible.

Elle était aussi mince qu’un fil, mais je projetai toute ma concentration autour d’elle et poussai sur le voile.



Les images en noir et blanc furent bientôt remplacées par des couleurs vives. Au lieu des bords d’un vieux ruisseau, décor crasseux ou Neddy avait trouvé la mort, je vis de splendides rideaux m’entourer . Au début, je pensais me trouver dans une petite pièce, mais je me rendis compte que les sombres tentures vertes pendaient autour d’un large un lit, comme un cocon. Le Maitre du feu était étendu en son centre, apprêté des pieds à la tête,ses yeux fermés comme s’ il dormait.



Je te tiens !, pensais-je, déchirée entre soulagement et angoisse, comme je le trouvai dans ce que je savais être le présent.

Je ne l’avais vu jusques là qu’à travers les tons grisâtres de la mémoire, mais l’espionner dans le présent était différent. J’étais la seule personne dans ma tête, complètement libre des perspectives des autres personnes. Je pris alors le temps d’étudier le maitre du feu.



Au premier abord, il ressemblait à un homme normal, bien bâti, approchant la trentaine… mais par la suite, sa singularité refit surface.

Ses cheveux couleur expresso reposaient sur ses épaules. Ils étaient plus long que ce que la plus part des hommes osent, mais sur lui, ça faisait extraordinairement masculin. Un pantalon noir et un t-shirt violet moulaient des muscles qui auraient fait pâlir de jalousie le membre le plus assidu d’un club de gym, et bien qu’aucunes flammes de léchaient ses mains, elles étaient balafrées par des cicatrices qui ressemblaient à des blessures de guerre.



Ses hautes pommettes étaient accentuées par une barbe d’un jour, qui ne le rendait non pas rustre mais sauvage et séduisant.

Je n’avais pas vu d’homme à qui ce look allait aussi bien depuis Aragorn dans le Seigneur des anneaux…et ses yeux…



Ouverts... des tons de cuivre encerclés par des anneaux d’émeraude.

J’aurai pu penser qu’ils étaient magnifiques, mais à cet instant précis, ils semblaient regarder droit dans les miens.



Ca me mit en rogne, mais je me forçai à me rappeler que ce n’était qu’une coïncidence. Personne n’a jamais su quand j’utilisai mes pouvoirs pour établir un lien. Je pouvais bien être le plus grand voyeur du monde si j’en avais envie… mais ma volonté la plus chère était d’en savoir le moins possible sur les gens et non pas le contraire.



« Qui êtes vous ? »



Je sursautai. Si je n’avais pas vu ses lèvres finement ciselées bouger, j’aurai cru avoir imaginé ces mots… Coïncidence, me rappelais-je. Dans quelques secondes, quelqu’un apparaitrait près de cet immense lit et je verrai à qui il était entrain de parler...



« Je le demande une deuxième fois, dit-il de sa voix profonde avec un léger accent. Qui êtes vous, et comment diable êtes-vous entrée dans ma tête ? »

source: http://chapitre32.over-blog.com/article-scene-exclusive-de-once-burned-la-rencontre-de-vlad-et-leila-105335245.html
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