Apprentissage érotique par mon beau-père 1 - puisqu'il le faut

Le bruit du verre qui se brise me réveille. Je m'assois sur mon lit, en serrant la couverture contre ma poitrine. J’aurais préféré porter ma chemise de nuit en flanelle à la place de ma petite nuisette tellement échancrée.

"Qui est-ce ?". Je crie légèrement apeurée.

Le fiancé de ma mère, Hadrien, est la seule autre personne supposée être la maison. Maman est partie en week-end chez ses sœurs et mon frère jumeau Colin est parti faire la fête à Nice avec des amis - un cadeau d'anniversaire tardif de nos grands-parents pour nos dix-huit ans.

Comme Hadrien ne répond pas, je me glisse hors du lit et je mets ma robe de chambre courte en soie. En sortant sur la pointe des pieds dans le couloir, j'écoute tous les sons inhabituels : J'entends des bruits de pas marchant sur du verre brisé.

"Hadrien, c'est toi ?"

Hadrien n'est pas mon père, mais il sort avec ma mère depuis que je suis petite, alors j'ai grandi en le considérant comme mon père de substitution.

Maintenant qu'il se présente comme maire de notre grande ville, lui et ma mère ont décidé que ce serait mieux s'ils officialisaient leur union. Maman est stressée par le mariage depuis des mois, alors quand l'occasion de s'évader s'est présentée, mon beau-père a insisté pour qu'elle prenne son week-end.

Je suis hyper stressée mais Je descends quand même dans le hall d'entrée sombre, puis je me fraie un chemin dans la cuisine vide. Rien ne parait suspect ici. J'entre dans la salle à manger et je me fige. Il y a du verre partout sur le parquet, une vitre est brisée sur la porte de la baie vitrée qui mène à la terrasse. Les portes sont ouvertes.

"Hadrien..."

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’une main gantée se plaque sur ma bouche et que quelqu'un m'attrape par derrière.

"Ne bouge pas, putain !", dit la voix d'un homme dans mon oreille. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine. J'entends des pas qui viennent d’une autre pièce. J’espère que ce sont ceux de Hadrien.

Je me débats alors contre l'homme qui me tient et je lui écrase fortement ses orteils avec mon talon, puis je pivote, délogeant sa main.

"Hadrien ! Il y a un homme..."

Je m’arrête net alors, quand je vois un autre étranger entrer dans la salle à manger, son regard est suffisant et un sourire narquois se dessine sur ses lèvres. Il m'agite un pied de biche au visage.

"Désolé, je ne suis pas ton beau-papa, mon cœur. Mais selon ce que tu caches sous cette jolie petite chemise de nuit, je pourrais prendre soin de toi comme ton beau-papa doit surement le faire."

Mon estomac se serre et mes jambes flageolent. Le premier homme me saisit par les cheveux. Je crie. Puis il serre sa main autour de ma mâchoire.

"Essaie encore cette merde, et la prochaine fois, ce sera mon poing dans ta petite gueule d’ange." Son haleine est fétide et ses yeux sont noirs comme du charbon.

"Maintenant, allons réveiller ce cher vieux beau-papa."

Ils me font monter les escaliers, un type de chaque côté de moi. Mes genoux tremblent à chaque pas. Je trébuche sur le palier et l'homme avec des cicatrices d'acné me relève violemment par la taille. Son regard tombe sur ma robe et sur mon décolleté plongeant. Il regarde ma poitrine et ma peau laiteuse.