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Commentaires de livres faits par draculaura

Extraits de livres par draculaura

Commentaires de livres appréciés par draculaura

Extraits de livres appréciés par draculaura

- C'est plus facile de croire que j'avais perdu mon unique chance de m'unir en même temps que Rissa que de courir le risque de revivre une telle souffrance. (Il passa une main dans ses cheveux et secoua la tête) Sauf que je n'ai jamais eu de doutes te concernant. Tu es dans chacun de mes souffles et mes moindre pensées., si intimement mêlée à mon être que le mot amour n'est pas assez fort .....Tu as ma dévotion, ton nom est marqué dans mon âme , mon loup à tes ordres. Cent ans? Ça ne suffira jamais. Je veux l'éternité.
Avez vous apprécié cet extrait ? +25
— J’ai pataugé dans la boue pour me rendre dans une
bibliothèque ?
Elle soutint son regard réprobateur.
— Où aller sinon quand on cherche des informations ?
— Sur Google ?
Elle secoua la tête.
— Google ne détient pas les réponses dont on a besoin.
Il pointa son épée vers les murs ornés de miroirs qui étaient
visiblement dépourvus de livres. D’après ce qu’il en voyait, cette
salle correspondrait plus aux goûts de Paris Hilton que d’un
érudit.
Nefri ne lui disait pas tout.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Tu ne portes aucun dessous alors qu'il y a un autre homme dans la pièces ? Raphael fit courir sa main le long du dos d'Elena et sur ses reins, à la recherche du pli d'un quelconque sous- vêtement, et n'y découvrit rien d'autre que sa chair féminine et ferme. Tu as vraiment osé.
Elle secoua les épaules, des fossettes se creusant dans ses joues. Oh mon Dieu, tu es scandalisé ! Ses yeux se mirent à pleurer comme elle tentait de lutter contre le rire. Elle s’appuya des mains contre la poitrine de l’Archange et baissa les yeux sur le plancher. Devrais-je te préciser que j’ai trouvé le moyen de porter un couteau ? Dans un fourreau serré.
Evidemment. A quoi bon porter des dessous tant que tu as ton acier sur toi ?
Arrête ! Les soubresauts de ses épaules redoublèrent et l’épingle sertie de diamants qui assurait le nœud à la base de la nuque scintilla. Le contact d’Elena le brûlait à travers à travers sa chemise blanche de soirée. J’essaie de me montrer élégante, gracieuse, et d’avoir tout d’une affiliée.
Prenant sa nuque entre ses mains, il la serra. Nos invités vont se retourner.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
Raphael. C'était un murmure à moitié endormi. Pourquoi tu grandes dans ma tête ?
Dents serrées, il prit délibérément la décision de se détourner de la maison des Deveraux et de se diriger vers la Tour, n'étant pas certain de pouvoir s'en tenir à sa résolution de ne pas tuer le père d'Elena s'il le voyait. Mes excuses, Hbeebti. Je n'étais pas rendu compte que tu pouvais le sentir.
OK.
Rendors-toi, dit-il, et parce qu'il ne pouvait supporter de penser qu'elle souffrait, il ajouta : sache quand tu rêves, que tu es aimée.
Bien sûr que je suis aimée. Je suis à toi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
Ils restèrent un bon moment dans cette position. Andraste n'osait pas bouger et Thadeus ne semblait guère prêt à la relacher. Elle commençait à frissonner quand il fit valoir dans un grondement rocailleux :
- Et comment suis-je censé pouvoir te laisser partir après ça ? Tu es un ange tombé du ciel... mon ange tombé du ciel. La seule capable de m'arracher à mes souffrances quelles que soient les circonstances.
....
Avez vous apprécié cet extrait ? +22
- Andraste, si j'ai élaboré un plan pour t'amener à m'épouser dès notre première rencontre, puis conçu d'autres encore, vaguement plus subtils, par la suite, après avoir découvert qui tu étais, c'est parce que je suis fou de toi depuis le début! Depuis le moment où tu est venu à moi, complètement nue, dans la salle des douches des domestiques. Bien avant qu'il soit question d'enfant. Ce que j'éprouve pour toi, c'est au-delà des mots, et je peux te répéter autant de fois que tu le désires que je t'aime, parce que c'est la fichue vérité !
Il avait crié beaucoup plus fort qu'il ne l'avait souhaité et se rendit compte après coup que son petit discours ressemblait d'avantage à une semonce en règle qu'à une déclaration d'amour... Bon sang, ce qu'il pouvait être lamentable à cet exercice !
Avez vous apprécié cet extrait ? +12
Elle vit briller dans ses yeux une émotion qui l’enflamma jusqu’aux orteils.
— Tu es mon cœur et mon âme, souffla-t-il.
— Toi aussi. (Elle se dressa sur la pointe des pieds pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres.) Nous affronterons ensemble ce qui viendra.
Il l’enveloppa dans sa chaleur parfumée.
— Ensemble.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
— À ce sujet… (Elle humecta ses lèvres soudain sèches.) Je ne pense pas que nous aurons besoin d’aide en ce qui concerne la fécondité.
Salvatore se figea, et l’agrippa avec nervosité.
— Harley ?
Elle dansa d’un pied sur l’autre, mal à l’aise sous l’intensité brûlante de son regard.
— Quand je me suis réveillée ce matin, je me suis sentie bizarre. (Inconsciemment, elle porta une main à son ventre.) D’abord je me suis dit que c’était à cause de notre lien. Tout ça a été un peu… mouvementé.
L’air décidément abasourdi, Salvatore hocha docilement la tête.
— Je ne maîtrise pas encore parfaitement mes pouvoirs, murmura-t-il distraitement.
Harley sourit. C’était l’euphémisme du siècle. Au cours de la semaine précédente, il avait, par accident, provoqué un court-circuit, arraché de ses gonds la porte de la salle de bains, vidé Harley de ses pouvoirs à un moment, et le suivant il lui avait insufflé une telle énergie qu’elle en avait bondi presque jusqu’au plafond.
Ce qui, bien sûr, expliquait qu’elle n’ait d’abord pas prêté attention à la chaleur que sa louve sentait dans son ventre.
À mesure que la journée s’était écoulée, cependant, elle n’avait plus pu ignorer la vérité.
C’était l’étincelle de la vie.
En fait, sa louve-garou lui chuchotait qu’il y en avait plusieurs.
D’à peine plus de quelques jours, mais qui grandissaient déjà bien.
— Ouais, j’avais remarqué, railla-t-elle.
— Harley. (Il hésita, luttant manifestement pour respirer.) Tu veux dire…
Elle se mit sur la pointe des pieds pour presser ses lèvres contre les siennes.
— Tu vas devenir un heureux papa, Salvatore Giuliani.
— Papa.
L’espace d’un fol instant, il vacilla sur ses jambes comme s’il allait s’évanouir. Puis, sans crier gare, il se laissa tomber à genoux et colla le visage contre le ventre plat de la jeune femme.
— Je savais que tu étais mon salut, cara, mais maintenant tu as redonné espoir à l’espèce entière des loups-garous. (La tête inclinée en arrière, il la dévisagea avec un tel respect que Harley dut réprimer ses larmes.) Tu es un miracle.
Avec douceur, elle passa les doigts dans ses cheveux d’ébène.
— Il me semble que tu pourrais bien avoir un petit peu contribué à ce miracle-là.
Il lui effleura le ventre de la main, se comportant comme si elle était aussi fragile que du verre filé, puis une inquiétude soudaine lui assombrit les traits.
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
— Comment c'est possible ? C'est vrai, quoi, on n'a pas cessé de s'engueuler depuis qu'on s'est rencontrés.
— L'une des petites blagues du destin, certainement. C'était ridicule, mais elle ressentit une pointe de déception à son ton railleur.
— Tu n'as pas l'air particulièrement heureux.
— Je devrais l'être ? rétorqua-t-il, les mains sur les hanches. Après des siècles de solitude, je trouve enfin la femme destinée à devenir ma compagne, et c'est une phobique de l'engagement. Pardonne-moi de ne pas sauter de joie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Hum, Styx, je suis suffisamment humaine pour avoir besoin de respirer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
- Que veux-tu de moi ?
Elle ne pouvait pas se montrer plus directe.
Ces yeux bleus, au regard si intense, scrutèrent son visage puis ....
- L'éternité. Je veux l'éternité chérie.
Et sa peur fondit. Elle esquissa un sourire tremblotant.
- Moi aussi.
Il s'empara de sa bouche. Appétit insatiable, désir, luxure. Amour.
Max.
Il était à elle.
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- Ouais, c'est ça, dit Sophie tandis que la bénévole s'éloignait. Sois un bon mari et reste à mes côtés sans flipper.
- Sam ne perd rien pour attendre pour ce coup. J'ai reçu une balle à ta place. Il devrait au moins être là pour l'accouchement, il me semble.
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
- Ce ne serait pas à moi de te réconforter?
- Eh bien, oui, je pense, lui répondit Sophie en souriant. Je ne serait pas contre quelques paroles rassurantes ou des mots gentils. Je suis un peu stressée par tout ça. Je me voilais un peu la face, je pense, soncernant les contractions. C'est douloureux!
Garrett fit la grimace et prit la main de sa belle soeur pour la réconforter.
- Je suis désolé ma belle. Je suis un gaffeur de la plus belle espèce mais tu étais au courant, je pense. Est-ce que je peux faire quelque chose pour t'aider?
- Tu pourrais accoucher à ma place.
- Pas question marmonne-t-il?
- Quel gamin! s'exclame Sophie en riant. tu n'as même pas réagi quand tu as été touché par une balle.
- Peut-être, mais c'est pas pareil.
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
- Bonjour! Il y a quelqu'un? cria-t-il en entrant dans la maison. Où est passé tout le monde?
Un sentiment de frustration vint s'ajouter à l'impatience qui le tenaillait. Il n'avait pas le temps de jouer à ça.
- Garrett?
C'était Sophie. Il se retourna et la vit dans l'embrasure de la porte de la cuisine. Elle était tout pâle, les deux mains posées sur son énorme ventre. Il traversa la pièce, inquiet de la voir dans cet état.
- Hé, ça va,ma belle ?
Elle s'agrippa à sa chemise quand il parvint à ses côtés et chancela.
- Non, je veux dire oui, mais le travail a commencé. Il faut que tu m'emmènes à l'hôpital.
Merde il ne manquait plus que ça.
- Où est passé Sam ?
- Je ne sais pas .......
Avez vous apprécié cet extrait ? -1
Will et Max m'attendent au rez-de-chaussée .........
- Mais non, fait Max. C'est celui de Robinson. Il remarque mes sourcils froncés et secoue la tête. "Salut beauté ! On dirait qu'on a pas très bien dormi cette nuit."
Je lève les yeux au ciel.
- Tu dois en savoir quelque chose. Ta copine enceinte aurait-elle soudainement disparu à minuit? Parce qu'elle a fini dans ma chambre.
- Quoi ? Lance Will
- Toutes les demoiselles d'honneur, accompagnées de George et de ma mère, se sont pointées dans ma chambre pour me voler ma fiancée et s'assurer que je ne la verrais pas avant la cérémonie. Je pense qu'ils l'ont attachée et baillonnée quelque part pour la couvrir de dentelle blanche et de paillettes étincelantes. Je dévisage Will qui bâille sans arrêt. Ses yeux cernés sont éloquents. "Que t'arrive-t-il?"
- Hanna, répond-il en étouffant un autre bâillement. Je ne sais pas si c'est à cause des soeurs couguars, mais je n'ai pas dormi une seule nuit entière depuis que je suis arrivé.
-Je vous déteste tous les deux.
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— Tu veux envoyer quelqu'un dire à la déesse que son compagnon est parti tête baissée affronter de dangereux ennemis au péril de sa vie ? (Il prit une expression de martyr.) Je suis peut-être jeune comparé à toi, Dante, mais je ne suis pas idiot.
— Abby ne te ferait jamais de mal.
— Elle ne le ferait peut-être pas exprès, mais je n'ai aucune intention d'approcher une femme connue pour sa tendance à mettre le feu à tout ce qui bouge lorsqu'elle s'énerve.
Dante retint un sourire. Sa compagne était belle, intelligente et d'une gentillesse extraordinaire, mais parfois sa maîtrise du Phénix laissait à désirer.
Ces derniers mois, elle avait trouvé le moyen de roussir un ou deux démons en public, ce qui était malheureusement resté gravé dans la mémoire de beaucoup.
— Elle ne met presque plus jamais le feu à rien, protesta-t-il.
— « Presque », ce n'est pas « jamais », mon ami. (Santiago fronça les sourcils.) Et quand elle apprendra que tu as quitté la ville en douce, sans elle... Eh bien, tu comprends mon inquiétude. Demande à la gargouille de la contacter grâce à son portail. Je ne crois pas que les gargouilles soient inflammables.
Dante eut un grognement railleur.
— Espèce de couard.
— Oh oui, répondit Santiago avec un frisson.
— Très bien. (Dante attrapa sa cape qu'il avait jetée sur un délicat fauteuil en bois de citronnier et se drapa dedans.) Conduis le clan aux abords de Rockford, je vous y rejoins.
Santiago s'étrangla.
— Tu as l'intention de prévenir le Phénix toi-même?
— J'ai l'intention de passer la prendre pour l'emmener avec nous, répondit Dante d'un ton sardonique. Même moi, je ne suis pas assez bête pour lui dire de rester en arrière.
Santiago éclata d'un rire soudain.
— C'est donc vrai que la sagesse vient avec l'âge.
— Lamentable, marmonna Dante en sortant de la pièce d'un pas décidé.
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— Viper. Viper, tu m'entends?
L'espace d'une terrifiante seconde, il n'eut aucune réaction, puis il s'agita entre ses bras.
— Shay?
Elle se pencha pour lui chuchoter à l'oreille :
— Ne bouge pas, je suis là.
— Est-ce que je rêve?
Elle refoula un rire hystérique.
— Ne me dis pas que tu ne fais pas de meilleurs rêves que ça !
— Je rêve de toi depuis des mois. Non, depuis une éternué. (Il leva faiblement les mains pour lui agripper les bras, en ouvrant péniblement les yeux.) Je désespérais de te trouver un jour, mais c'est arrivé. Je ne pouvais pas te laisser me quitter. Pas alors que j'avais tant besoin de toi. Je ne te laisserai jamais me quitter.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
- Ne bouge pas, je vais chercher nos copains, dis-je à Bones.
Malgré son visage en lambeaux, son expression était parfaitement claire.
- Il faudra peut-être se battre, et vu ton état, j'ai l'impression qu'une petite pichenette suffirait à te faire tomber en miettes.
Je sentis un coup dans le dos. Je me retournai en un éclair, prête à tirer, mais je vis alors ce qui m'avait percutée : une tête coupée. C'était répugnant, mais pas dangereux du tout. Une seconde tête se précipita vers moi en tournoyant comme une boule de bowling . Je m'écartai, mais elle changea de direction et termina son vol contre mes fesses.
- C'est bon, le message est passé !
J'aurais dû comprendre immédiatement qui avait tué tous ces gardes, même si l'allure cadavérique de Bones poussait à croire qu'il ne pouvait présenter aucune menace, à part peut-être pour les estomacs délicats ....
Je compris alors tout ce qui s'était passé
...
Si cela n'avait pas risqué de lui arraché de nouveaux lambeaux de peau, je lui aurais décoché un coup de poing bien senti.
- Espèce de salopard, parvins-je à dire.
Il me regarda sans ciller. Il n'aurait pas pu, d'ailleurs car il n'avait plus de paupières.
- Plus tard, répondit-il de sa voix râpeuse.
J'obtempérai, mais il ne perdait rien pour attendre.
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Bones me donna un baiser furtif puis avança ses yeux.
-N'oublie pas qu'il ne faut pas la punir pour ce qu'elle a fait, lui rappelai-je. Ce n'est qu'une petite fille.
Il répondit avec un sourire carnassier qui n'apaisa pas du tout mes craintes.
- Avec toi, seule la manière forte marchait, ma belle. Si elle tient autant de toi qu'elle en a l'air, alors c'est ce qui fonctionnera.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
— Levet... (Elle s'apprêtait à exiger qu'il trouve un endroit plus sûr où s'abriter, mais fut brusquement interrompue par un rugissement qui déchira la nuit.) Qu'est-ce que c'était que ça ? Levet bondit de sa chaise et se précipita pour ouvrir la porte.
— Les hurlements des damnés. Ou un vampire extrêmement en colère. Ça semble provenir du garage.
— Le garage... (Shay se releva lentement, le ventre soudain noué d'appréhension.) Oh.
— Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Levet.
— Il est possible que j'aie rencontré quelques difficultés avec la voiture de Viper.
— Quel genre de voiture ?
— Une Porsche, je crois. Qu'est-ce que ça peut faire ?
Levet leva les yeux au ciel.
— Nom de Dieu.
Shay fronça les sourcils en voyant la gargouille attraper une miche de pain frais et se diriger vers l'escalier qui menait au sous-sol.
— Où est-ce que tu vas ?
— Chercher refuge contre la tempête qui approche.
Un autre rugissement se fit entendre, et Shay appuya une main contre son ventre crispé.
— Tu viens juste de me promettre que tu allais rester pour me protéger.
Levet émit un petit bruit chargé de mépris.
— Tu as détruit la Porsche d'un homme. Débrouille-toi toute seule.
— Traître, lança Shay en le regardant battre en retraite.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
— Je crois en toi, même si tu ne crois pas en toi-même.

— Ce n’est pas très rassurant pour tes capacités intellectuelles.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Dante recula pour observer la jeune femme. Il s’en voulait de lui imposer une telle pression. Elle commençait à peine à accepter le fait qu’elle portait le Phénix. Autant demander à un oisillon de s’envoler à peine sorti de son œuf. Mais il n’avait pas le choix. Ils devaient retrouver les sorcières. Un long silence s’installa. Abby leva la main et agita les doigts.

— Qu’est-ce que tu fais ? demanda Dante, intrigué.

— J’essaie de lancer un foutu sort.

— En agitant les doigts ?

— C’est un… truc. C’est peut-être débile, mais il faut bien que je tente un truc, non ? (Elle souffla rageusement pour écarter une mèche de cheveux de son visage.) Tu veux bien te taire ? J’ai besoin de me concentrer.

Il leva les mains.

— Je t’en prie, concentre-toi autant que tu voudras !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Je suis l’inspecteur Mc…
Phineas se tut, ayant subitement un doute à l’idée d’utiliser son vrai nom.
— Seindom, dit Brynley en complétant sa phrase à sa place.
Il se raidit.
— Que puis-je faire pour vous, inspecteur McSeindom ? demanda l’infirmière.
Il serra les dents.
— C’est du muscle.
— Inspecteur Dumuscle ? demanda l’infirmière.
— Oui. Exactement.
Il adressa un regard triomphant à Brynley.
— Et voici mon assistante, l’infirmière…
— La docteure, le corrigea Brynley.
— Docteur…
Il jeta un coup d’œil à sa poitrine.
— Bonnèa.
— Bonnèbé !
Il arqua un sourcil.
— Vous devrez le prouver.
Elle souleva son menton.
— Je le ferai peut-être.
Il afficha un petit sourire satisfait..........
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— Mes félicitations à vous deux ! dit Darcy en les serrant tous les deux dans ses bras.
— Je vous verrai demain soir au RTNV pour tourner une nouvelle annonce publicitaire de Sandonnay, dit Maggie à Phineas.
Elle se téléporta au loin avec Darcy.
— Une annonce publicitaire de Sandonnay ? demanda Brynley.
Phineas sourit et la tira dans ses bras.
— Nous devons payer pour toutes ces transformations.
Elle lui adressa un regard désabusé.
— Tant de noms. Le gars du Sandonnay. Docteur Phang. Le docteur de l’amour. Mais savez-vous quel est le nom que je préfère pour vous ?
— Face de museau ?
Elle rit.
— Non. Mari.
Il déposa un baiser sur son nez.
— C’est aussi mon favori. Pour le moment.
— Vous allez changer d’avis ?
— Peut-être. Je vais vraiment aimer être papa.
Elle le serra fort contre elle.
— Je vais aimer ça, moi aussi.
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– Cody, quel est ton problème ?

– Je suis un cafard, murmura-t-il d’une voix grinçante.

– Hum, il était temps que tu t’en rendes compte, dit Fidelia en reculant d’un pas tandis qu’il frôlait sa longue jupe au passage.

Cody tenta de grimper les marches de l’escalier, mais il bascula et tomba sur le dos. Il se tortilla sur le dos, les bras et les jambes dans les airs.

– Cesse ton cirque tout de suite, Cody, exigea Heather. Sors d’ici, avant de faire peur à Bethany.

..........
Fidelia rit sous cape.

– Allons chercher une bombe d’insecticide.

– Raid !
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- Sam ?
Elle avait prononcé son nom dans un souffle. Un peu hésitante, un peu nerveuse, mais nullement effrayée.
- Laisse-moi la regarder, So. Je veux voir ma fille. Profiter que nous soyons seuls. Aucune distraction. Aucun danger. Juste toi, moi et notre enfant.
......
Soudain alors qu'il lui posait les paumes autour du nombril, il lui sembla que l'abdomen de Sophie se creusait, et il perçut comme une secousse.
Ebahi, il retira vivement ses mains.
- C'était elle !
Le visage de la jeune femme s'illumina comme un soleil.
- oui, c'était elle.
....
Mû par une irrésistible impulsion, Sam approcha doucement ses lèvres des palpitations à peine visibles. Une main de chaque côté de son ventre, il déposa le plus des baisers sur la peau de la jeune femme.
Le petit coup de pied qu'il reçut en retour fit naître sur ses lèvres un sourire de bonheur.
- Elle dit bonjour à son papa, murmura-t-il d'une voix étranglée.
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