Commentaires de livres faits par Latelierde_Gwladys
Extraits de livres par Latelierde_Gwladys
Commentaires de livres appréciés par Latelierde_Gwladys
Extraits de livres appréciés par Latelierde_Gwladys
Les Dieux ont été si cruels avec moi. Après avoir quitté les Légendaires, je suis retournée auprès de ma famille. Mais la disgrâce m'avait suivie, et la honte pesait au château d'avoir pour princesse l'une des responsables du fléau qui s'était abattu sur Alysia.
Mes parents n'eurent d'autre choix que de me bannir.
...
Fin !
Cela explique tout ! Et ça t'est arrivé quand, Adrien ?
Et même les enfants et les petits-enfants de la Petite Vieille qu'elle n'avait pas vus depuis si longtemps.
Que répondre à ça ? Il ne lui disait jamais de mots tendres. Et voilà qu'ils coulaient de sa bouche tandis que ses doigts lui effleuraient la joue ! Ses yeux étaient d'un noir profond, insondable. Que voyait-il quand il la regardait, que ressentait-il ? Elle ne lui avait jamais posé la question. Pour la première fois, elle avait l'occasion de le faire, mais elle était incapable d'émettre le moindre son. Elle ne pouvait que le dévisager fixement.
Martin se leva et se dirigea vers son téléphone avant de changer d'avis. S'il réfléchissait une minute de plus, il s'en tiendrait à ce qu'il avait décidé en premier lieu. C'est donc avec le souffle court qu'il composa le numéro de Gabi, et la voix légèrement rauque qu'il lui annonça ses intentions alors qu'elle avait à peine décroché.
- Je viens. Mais si tu as le malheur de laisser un tisonnier dans mon sillage, je lui fends le crâne.
Pour être retenue, Gabi avait mis le paquet et dépensé ses dernières économies dans une toilette qui aurait suffi à éblouir n'importe quel directeur un peu trop coincé. Elle portait une robe rouge à pois blancs, de style années cinquante, cintrée à la taille, évasée, retombant juste au-dessous du genou, et décolletée juste ce qu'il fallait. Sa poitrine n'était pas particulièrement imposante - un honorable bonnet C -, mais elle avait le mérite d'être haut perchée, ce qui, dans cette tenue, faisait son petit effet ; recherché, du reste.
Je n'écoute que mon esto... que mon cœur, je vole à son secours et lui explique les dangers qu'il court. Je réussis à le convaincre d'aller chez son frère qui habite juste à côté.
Le commissaire espérait coincer Dandolo au virage du rio San Pantalon. C'était chose faite ! Mais dans quel état ! Nom de Dieu !
Le fugitif était arrivé par le rio Delle Meneguette, il avait tourné à droite sans se douter un seul instant qu'il allait se retrouver face à un mur infranchissable.
Les chiens se raidissent ; sans doute nous ont-ils sentis. Leur chef tourne lentement la tête, la truffe frémissante.
Renard fou.
Renard fort.
Juste un autre renard mort.
- Pourquoi est-ce si horrible ?La vie, je veux dire. Pourquoi nous traitent-t-ils de cette façon ? Comme si nous étions leurs esclaves ?
- Pour le pouvoir.
- Le pouvoir, ce n'est qu'un mot. Ce n'est pas quelque chose de concret.
Mickey considère ma réponse, puis il hausse les épaules.
- Les Ors te diront que, même libre, l'homme reste un esclave. Qu'il est enchaîné par ses désirs, par son ambition. Ils te diront que, en nous privant de liberté, ils nous font un cadeau. Moi, j'ai des rêves inimaginables. Toi, tu as ta famille, et ta vie a un sens, celui du sacrifice. Et ils n'ont pas tout à fait tort : depuis qu'ils ont instauré ce système, notre Société est stable, il n'y a plus de guerres, plus de famines, plus de génocides. Les Ors règlent leurs problèmes entre eux.S'ils sont en désaccord, les autres Couleurs ne sont pas touchées. C'est plutôt... noble de leur part.
- Noble ? Ils nous ont menti, à ma famille et à moi. Toute notre vie, ils nous ont laissé croire que nous étions des pionniers.
- Et tu crois que la vérité vaut mieux ? Tu crois que les milliards de basRouges, là-dessous, seraient heureux de savoir qu'ils sont esclaves, comme les hautsRouges ? Tu ne crois pas que le mensonge est préférable dans ce cas ?
- Ce qui serait préférable, c'est qu'il n'y ait pas d'esclaves.
Il n'a pas trouvé de réponse à ça.
- Tu as perdu ta sœur. Elle avait à peu près l'âge de Tig quand elle est morte, je crois.
- C'est pour ça que je suis intervenue à l'hôpital. Je voulais vraiment l'aider. Sincèrement.
Galien attrape un fil coloré abandonné sur le bras du canapé.
- Tu pourrais me raconter ce qui..., commence-t-il en désignant ma tête du menton. J'ai suivi ton histoire aux infos à l'époque, comme tout le monde. Mais ce n'est jamais pareil dans la vraie vie.
- Vous aimeriez mieux vous taper Jasmine ou Cendrillon ?
Cam le fusilla du regard.
- Perry a moins de treize ans, lui chuchota-t-elle.
- D'accord, fit Grey. Vous aimeriez mieux tenir par la main Jasmine ou Cendrillon ?
Autumn gloussa.
Allons voir dans la forêt si je trouve de quoi me remplir la bedaine.
VITE ! Tourne la page pour t'en débarrasser !
- Bonne nuit, Petite Souris !
- Encore un bisou !
- Bon. Un dernier.
- Encore !
- Non, non, il faut faire dodo. Plus de bisous.
"Conduis-moi jusqu'à la grande forêt, Duke."
Sur le coup, je n'ai rien pu répondre.
- Les nuages, elle a murmuré, il faut parfois les faire fondre.
Je me suis endormi.