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Un mystérieux docteur Cornélius, Tome 8 : L'Automobile fantôme



Résumé

Quatrième de couverture

« Les folles mirent le couvert, chacun prit place à table, et bientôt la réunion présenta le spectacle le plus vif et le plus animé.

À la grande surprise de lord Burydan, qui s'en donnait à coeur joie, [...] les hommes offraient à boire à leurs voisines et leur passaient les plats avec une politesse exquise ; on se fut cru dans la salle d'une table d'hôte ordinaire ; mais à mesure que les fumées du vin montaient à ces cerveaux déséquilibrés, les changements se produisent dans l'attitude des invités.

On n'était pas arrivé au dessert que l'homme-chat sautait sur la table, faisait le gros dos en exécutant toute une gamme de miaulements les plus réjouissants du monde. L'homme-automobile, qui se promenait toute la journée emmailloté de pneumatiques, réclamait à grands cris du benzonaphtol. On lui fit avaler un siphon d'eau de Seltz et il déclara qu'il avait son plein d'essence et qu'il allait bientôt partir. Une grosse dame, qui se croyait changée en gigot de mouton, offrait un couteau et une fourchette à ses voisins pour leur permettre de goûter un morceau de son épaule dodue. Quelques charitables folles, songeant aux blessés de la guerre balkanique, transformaient activement en charpie la nappe et les serviettes damassées de Mr. Palmers. »

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extrait

Quand on avait franchi une porte verrouillée faite de planches arrachées à des caisses d’emballage et à laquelle des morceaux de cuir servaient de gonds, on se trouvait dans une salle longue, basse et enfumée, où la vue et l’odorat étaient aussi désagréablement affectés l’un que l’autre ; il régnait là une infâme odeur de poisson fumé, mêlée à des relents de mauvais alcool et de graisse rance ; la fumée des pipes compliquée de celle du foyer s’échappait par un trou pratiqué dans la toiture après avoir saturé toute l’atmosphère de la pièce en formant un brouillard tellement épais qu’on ne se voyait pas à trois pas.

Lorsque le regard s’était accoutumé à ces ténèbres, on distinguait, accrochées au mur, des panoplies barbares qui avaient dû appartenir autrefois à quelque chef redouté. Il y avait des couronnes de plumes d’aigle, des colliers faits avec les dents du puma ou les griffes de l’ours gris, des arcs, des flèches, des tomahawks, mêlés à des mocassins de peau de daim, à des bracelets de graines et de verroteries. On voyait encore des couteaux à scalper, une ou deux carabines d’ancien modèle, des pistolets à pierre, des bois d’élan et de renne, et tout un arsenal de petits sacs brodés pour mettre le tabac, et de calumets, dont quelques-uns, les plus anciens, étaient formés d’une pierre creusée et emmanchés d’un roseau.

En outre de ces panoplies qui recouvraient entièrement les murailles, le mobilier se composait de quelques escabeaux boiteux, de nattes de paille de maïs et d’une étagère qui supportait une douzaine de bouteilles de whisky. Tel était l’étrange repaire connu dans le pays sous le nom de buvette du Grand Wigwam. C’est là que, de deux lieues à la ronde, se réunissaient les Indiens pour converser des choses de leur race et surtout pour boire de l’« eau de feu » jusqu’à ce qu’ils restassent morts sur la place.

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