La petite fille de Manchester
Auteur
- Andrea Ashworth (Écrivain)
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Classement en biblio - 25 lecteurs
extrait
Un poème était une boite où enfermer son âme. On pouvait y cacher des morceaux de soi ou s’y dépouiller de ses sentiments les plus noirs sans s’inquiéter de ce que penseraient les gens. Quand j’écrivais, je m’oubliais moi-même et j’oubliais les autres. La poésie me faisait appartenir au monde du beau, du noble, à quelque chose qui me dépassait.
Afficher en entierCommentaires récents
Même si c'est un sujet souvent abordé j'ai bien aimé cette analyse de l'enfant maltraité et ses conséquences. Un bon moment de lecture malgré le côté sombre.
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Ceci a été le premier "vrai" livre que j'ai lu par envie et par curiosité. C'est lui qui a fait qu’aujourd’hui j'aime lire!
Ce livre est avant tout un souvenir très fort pour moi mais aussi une merveilleuse histoire. Celle d'Angela qui connaîtra bien des misères. Elle vit avec sa mère que les hommes maltraitent et ses sœurs et des fois chez ses tantes. Elle fera pourtant de brillantes études et rencontrera l'amour avec Jamie.
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J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre malgré le sujet assez sombre.
La manière innocente d’Andréa de dire des choses assez graves est émouvante. Même si sa famille bat toujours de l'aile avec ces hommes qui battent sa mère et s'en prennent parfois même à elle est à ses sœurs, Andréa arrive à ce tirer de cette misère, elle arrive à se créer une vie sociale, à exceller à l'école et, finalement, à se tracer un bel avenir.
Merci Ophélie007 de m'avoir prêté ce livre !
Il est à lire !
Afficher en entierDate de sortie
La petite fille de Manchester
- France : 2003-10-02 - Poche (Français)
Activité récente
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Évaluations
Résumé
Le père d'Angela s'est noyé quand elle avait cinq ans. Sa soeur en avait trois, sa mère vingt-cinq. Elles vivaient dans la Manchester industrielle, où l'argent manquait. Mais les voisins et les amis étaient chaleureux dans ces années soixante-dix. Un nouveau père a fait son apparition, et un nouveau parfum a envahi la maison, un parfum de ragoût, d'oignon et de peur... Pendant que les coups et la vaisselle pleuvent au milieu des hurlements, Andrea s'enferme dans sa chambre et noie sa douleur dans les livres. L'écriture, l'instruction et le rêve d'un futur deviennent ses meilleurs alliés. Violence, sexe, claustrophobie, solitude. Pourtant, la narratrice en tire une évocation lumineuse, excellant à transcrire les gaucheries de l'adolescence, les cocasseries du dialecte local, la rudesse du langage des adultes. Ce récit autobiographique, marqué par la grâce d'une petite fille qui choisit de regarder le monde à sa façon, a la puissance des chroniques sociales anglo-saxonnes, de David Copperfield aux films de Ken Loach. Ces mémoires de violence, de maltraitance, de racisme et de pauvreté sont fascinantes et poétiques.
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