Commentaires de livres faits par Marie-758
Extraits de livres par Marie-758
Commentaires de livres appréciés par Marie-758
Extraits de livres appréciés par Marie-758
Isaac proposa d’aller nous chercher de l’eau minérale, il était à peine à la porte arrière lorsque Mark se pencha vers moi pour murmurer :
—Je peux comprendre pourquoi tu l’apprécies ! Il est vachement bandant !
Je souris à Mark.
—Et il a une très bonne oreille.
Le sourire de Mark mourut alors qu’il relevait un sourcil.
—M’a-t-il entendu dire ça ?
—Je suis aveugle, dit Isaac de l’intérieur. Pas sourd.
J’éclatai de rire et Mark me gifla le bras en sifflant.
— Non bébé, savoir que tu te masturbais en regardant Victor me pilonner, même pas dix minutes après avoir eu un orgasme intense, ça, c’est foutrement sexy, lui répondit Andrew.
»
Les lèvres de Crank tremblèrent.
— Je le connais, hein ?
L’échange intrigua Rael.
Crank ricana.
— Une mère poule. Mais c’est comme ça qu’on l’aime.
Roadkill écarquilla les yeux.
— Oh mon Dieu. Encore mieux.
Il sourit.
— Maman Ours.
Les deux éclatèrent de rire, et Rael lutta contre l’envie de se joindre à eux.
Horvan allait détester ça. »
les sourcils.
— Je crains
pour ta vie. Ils ne reculeront devant rien pour récupérer la Clef,
Alec. Ton cœur…
Alec souleva le
menton de Cronin.
— Ils ne vont
pas me prendre mon cœur, murmura-t-il. Il appartient à quelqu’un
d’autre.
Les yeux de
Cronin se fermèrent lentement alors qu’il souriait.
— Comme le mien t’appartient. »
— Cela n’a pas pris longtemps. Et ma forme physique est très bonne…
Cronin grogna à nouveau.
— Je ne pense pas que ce soit prudent de m’indiquer qu’il t’a touché pour l’instant.
Alec l’embrassa en souriant.
— Ce n’est pas comme s’il m’avait fait un examen de la prostate.
Le grondement du vampire augmenta en volume et Alec éclata de rire.
"Lentement, toujours sous le choc, il sort de ses poches mes affaires personnelles et je les lui arrache des mains un peu sèchement, avant de les balancer sur l’un des petits guéridons, près de moi.
— Nick ?
— Quoi ?
— Pourquoi ?!
Je prends quelques secondes pour me calmer, parce que j’ai besoin de disposer de toute ma tête pour avoir cette conversation. Lorsque je fais de nouveau face à Akira, je me sens enfin prêt à balancer ma bombe.
— Je suis gay, soupiré-je en mettant mes mains sur mes hanches, parce que je ne sais pas quoi faire d’autre avec.
— Gay ?
— Oui.
— Non, impossible.
— Si.
— Non.
— Si, putain !!!
— Mais, non !
— Ferme-la, Akira ! Je suis gay ! OK ? Gay comme dans j’aime baiser avec des mecs !
Akira me fixe toujours, choqué, mais d’un seul coup, une furie aux proportions bibliques explose au fond de ses yeux et je n’ai pas le temps de réagir qu’il me saute déjà dessus, avec des intentions tout sauf positives.
Je me tournai vers Lexi, mes sourcils levés.—Je te demande pardon ?
—Tout doux et adorable…
—Jusqu’à ce que je saute à la gorge ?
—Le plus sournois, cruel et irascible des rongeurs, confirma-t-elle avec un terrible accent britannique.
Je lui fis un grand sourire, reconnaissant la référence aux Monty Python.
—J’adore ce film.
Elle sourit aussi, l’expression la plus douce que j’avais vue sur son visage depuis notre réveil ce matin-là. Je l’avais tenue dans mes bras pendant des heures après le départ de Marissa, jusqu’à ce qu’elle tombe de fatigue, et que je m’effondre juste après elle. Lexi me donna un coup d’épaule.
—Il faut qu’on revoie ce film.
—Dis-moi où et quand, bébé. On se fera Sacré Graal et La vie de Brian aussi.
Je lui offris un sourire, et j’eus droit à une réponse pleine d’énergie, complètement naturelle. Ses yeux se plissèrent, et toutes ses dents étaient bien visibles, les crocs et tout. C’était… tellement adorable que j’allais fondre.
—Comment te sens-tu ? demandai-je.
—Fantastique, putain.
—Prêt à sortir d’ici ?
—Fantastique, putain.
Ses sourcils se froncèrent.
—Attends. J’ai déjà dit ça.
—OK, tu cherches la bonne réponse, et je reviens tout de suite.
J’enfilai ma chaussette et ma chaussure, puis enjambai le corps évanoui de Marcello en direction de l’objet qu’il m’avait montré. J’hésitai à le toucher. Et si ça déclenchait quelque chose comme l’anomalie dans l’appartement de Cyril ? Marcello fit un petit bruit, ce qui me poussa à agir. J’enlevai mon T-shirt, le jetai sur le morceau de couronne et l’enveloppai avant de le glisser sous mon bras. Voilà. Fait. Hudson souriait toujours lorsque je retournai à ses côtés.
—Oui.
—Oui quoi ?
—Je suis prêt à sortir d’ici. Euh… tu es tout nu.
—Torse nu.
J’attrapai Hudson au niveau du coude pour le pousser en avant.
—Il y a une différence.
—J’aime tes tétons.
Et juste comme ça, mes tétons se contractèrent, se redressant comme des chiots réclamant une friandise.
—Ouais, eux aussi ils t’aiment.
— On dirait que tu t’es réveillé et que tu as passé ta main dedans.
— Je sais, et ça prend du temps. Chaque mèche doit avoir un angle différent ou ça ne fonctionne pas, expliquai-je à mon partenaire ignorant. Tout doit être au bon endroit. »
— Oh, coupai-je une fois encore, en haussant les sourcils dans sa direction. Serait-ce une proposition ?
Quand tout le monde se mit à rire, Rand quitta le porche, les poings serrés. »
— Vous regardez bien trop la télévision, dis-je.
Il haussa les épaules pour marquer qu’il était d’accord avec moi
— Alors, sacrebleu, que se passe-t-il ?
Sacrebleu ? Pas à dire, la façon de s’exprimer du vieil homme était à tomber. »
Une larme est encore figée sur sa pommette. J’effleure sa joue du bout de mes doigts, ce qui le fait frissonner.
Élias ferme ses paupières, il a l’air rassuré. Son
visage creusé entre mes mains, je l’embrasse sur le front. »
Élias soudainement se positionne à califourchon au-dessus de moi et m’embrasse voracement ; un baiser bien trop passionné pour que Morphée m’emporte dans ses bras.
— Bizarrement, le marchand de sable ne veut plus passer ! m’exclamé-je. »
« J’ai compris ce que tu voulais dire… à propos de ce que tu as dit l’autre jour… je ne veux pas t’appeler…
Il déglutit.
— … papa ou quoi. Mais je veux que tu saches que, bon, j’ai compris. »
— Son traitement pour aller mieux, répondit Pat en faisant la grimace quand Mejiana but le contenu d’un trait.
— Qu’est-ce que c’est ? redemanda Syrvian en s’emparant du verre.
Il le sentit, sursauta et regarda Pat.
— Tu lui as donné ton…
— Chut, l’arrêta Pat en montrant la porte de la chambre à moitié fermée.
— Ah… oui ! C’est ce que je pense ? murmura-t-il.
— Oui, admit Pat.
— Tu t’es… continua Syrvian en faisant avec sa main l’imitation d’une masturbation.
— Oui, soupira Pat, avec exaspération. Tu aurais préféré qu’on procède de notre manière habituelle ? Elle est plus agréable, souligna-t-il pour le faire rager.
— Non ! s’écria Syrvian.
Sur le Post-it, je peux lire « Reviens me voir quand tu l’auras appris par cœur. PS : Je déteste les types vulgaires ». Suivi de son numéro de téléphone. »
« Il semble déjà éreinté de sa journée, mais prêt à dévorer le premier obstacle qu’il trouvera sur son passage. (J’aimerais tant que mes parents m’aient prénommé obstacle, bon dieu ! Décidément ils ont tout loupé à mon propos !) »
- Plus que tu ne le seras jamais, répliqua rapidement Daniel.
- Laisse mon partenaire tranquille, intervint Alex. Puis il se pencha pour caresser Daniel exactement là où Mikey l’avait frappé.
- C’est une délicate petite fleur gay, tu sais.
Daniel éclata de rire. À un mètre quatre-vingt-quinze, il était loin d’être une putain de délicate petite fleu »
— Mourir bravement. Vivre de la même façon.Tchin.
Ils portèrent un toast. »
s’éloigner.
— Mais… Ils te traitaient de gay et te prenait pour un crétin, dit Johnny derrière lui.
Rich s’arrêta et, lentement, se retourna pour faire face au grand homme.
— Juste pour info, abruti, je suis gay. Donc, maintenant, va rejoindre tes copains et oublie-moi, d’accord?
Et sur ce, il s’éloigna, laissant Johnny Milloway debout, apparemment abasourdi et bouche bée.»
— Je suis en train d’essayer un nouveau truc, où je suis censé garder tout mon sang à l’intérieur de mon corps. Me bousille pas mon expérience, Lucien. »
—Ouah. Tu as une intuition hors du commun. Je suis impressionné.
Je gloussai.
—D’accord. Sois prudent. Je t’aime.
Je raccrochai, en souriant comme un imbécile. Et je me figeai. Evan affichait un sourire jusqu’aux oreilles. Je le regardai avec effroi.
—Je n’ai pas fait ça.
—Oh, si. Carrément que si.
—Non.
—Hum-hum.
—Oh putain.
Je me penchai en avant et enfouis mon visage dans mes mains. Evan me frotta l’épaule
—Ce n’est pas grave. Je suis sûr qu’Hudson comprendra que tu ne voulais pas lui dire que tu l’aimais.
Je me redressai.
—C’était… c’était… par habitude !
—Envoie-lui ça. Tout de suite. Chiche.
—Va chier.—« Désolé d’avoir dit que je t’aimais, Hud. Je veux dire, je t’aimais. Au temps du Moyen Âge ».
—Tu veux rentrer à pied ?
—« Et une habitude que j’avais il y a trente-trois ans a contrôlé mon cerveau pendant un instant. Mais je tiens à préciser que je ne suis à fond sur toi que parce que tu es trop sex. Encore désolé. »
Je frappai le bras d’Evan alors qu’il explosait de rire, et il ne fit qu’un faible effort pour me repousser.