Commentaires de livres faits par sysymoonblood
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Commentaires de livres appréciés par sysymoonblood
Extraits de livres appréciés par sysymoonblood
Après avoir lu la série, ce tome est sans aucun doute mon préféré. Et que dire de cette fin ? Toutes les options sont envisageables … Vivement la suite !
Les personnages sont si touchants et attendrissants que le lecteur a envie de leur faire des câlins. Un roman doudou tout comme le premier.
ici pas de roman prise de tête mais de la douceur, de l'humour et de l'amour.le roman parfait pour passer du bon temps. Un vrai livre doudou !
Je file de ce pas lire la suite;-)
Voici ce qu'il à écrit sur son Facebook concernant "Ravensong" :
"In July, Ravensong : There's a reason Gordo Livingstone is an asshole, and a big part of that reason is Thomas Bennett."
Trad perso : Le Chant du corbeau en Juillet : Il y a une raison au fait que Gordo Livingstone soit un connard, et une grande partie de cette raison est Thomas Bennett .
Que de mystère ! J'ai adoré Le chant du loup et ne peut qu'être impatiente de lire la suite des aventures du Clan Bennett.
Je m'étais beaucoup attaché à Ox et Joe et suis à la fois curieuse et craintive de lire une suite qui ne sera pas centré sur eux (si je devine bien).
Dans tout les cas, je suis sûre que ce nouveau livre sera une tuerie comme la plupart des œuvres de TJ Klune !
Une histoire très profonde, avec des personnages meurtris, pleins de cicatrices corporelles et psychologique, avec un cœur totalement piétiné.
Une romance avec deux êtres brisés physiquement et psychiquement, qui réussiront à dépasser leurs peurs les plus profondes pour arriver à vivre pleinement leur amour.
Il est rare que je craque pour une histoire, mais meme si il existe quelques incoherences, il n'emepche que cela reste l'un de mes coups de coeur.
C'est dur, horrible, monstrueux ce qu'ils ont vécus tous les deux, mais voir leur relation se creer, les voir s'ouvrir au monde et à eux-même est superbement bien raconté
Le résumé de ce roman m’a fortement interpelée. Je ne saurais dire exactement pour quelle raison, mais je savais que cette histoire serait aussi dure que touchante. Et en effet, je n’ai pas été déçue, loin de là. Les thèmes évoqués sont difficiles, et je dois avouer en avoir été particulièrement troublée, autant parce que j’ai pu vivre certaines des choses que traverse Jehan, et parce qu’une amie très chère a également traversé pas mal de ces difficultés que doit affronter notre héros. Autant dire que j’ai vibré avec ce livre, vraiment intensément. Des fois, j’avais la sensation de me faire du mal en le lisant, mais je n’ai jamais douté que ce que cela pouvait faire vibrer en moi était porteur, peut-être même libérateur.
Parce que comme le titre l’indique, J’existe est un roman qui nous parle d’espoir. Dans l’obscurité d’une vie qui ressemble à un trou sans fin, aux côtés d’un personnage qui se sent peu à peu étouffer et mourir de l’intérieur, qui ne sait même plus pourquoi il se bat, au fond… A-t-il raison de se battre ? Contre qui, contre quoi ? Jehan est un personnage qui m’a tout de suite parlé. Au début, tout est mis en place pour qu’on ait la sensation que c’était lui qui n’allait pas, que le monde autour de lui tournait rond, que sa vie était (aurait dû être !) parfaite, et qu’il ne savait juste pas s’en contenter. Qu’il se débattait contre les ombres d’un passé révolu, et qu’il avait tort. Parce que oui, c’est ce qu’en pense son entourage. Jehan a tort de ne pas aller bien. Pour moi, ça partait très fort. Parce que cet homme qui doute, qui vacille, qui n’a plus goût à rien, je l’ai eu dans les tripes immédiatement. D’autres auraient pu imaginer qu’en effet, ses problèmes n’en étaient pas, c’est ce qu’il semble à tout le monde, au départ, mais l’on perçoit au fond que le problème de Jehan n’est pas lié seulement à la mort de ses meilleurs amis. Sa vie tout entière a été bouleversée, ce jour-là, certes. Il est devenu le père adoptif de leur fils de 6 mois, Jacy. Il a cessé activités, études, travail pour pouvoir s’occuper de Jacy. Mais son problème ne vient pas seulement de ses sacrifices. Et l’on ressent comme une vague nausée à voir son entourage le juger sans comprendre sa situation… le détruire un peu plus qu’il ne l’est, au final.
Peu à peu, on découvre que, si Jehan s’est en partie coupé les ailes pour envisager une vie telle qu’il l’imaginait parfaite pour Jacy, il est avant tout la victime d’un pervers narcissique en puissance. Un personnage qui fait froid dans le dos, et qui, personnellement, m’a bouleversée. Il est bien campé, ce personnage, terriblement bien décrit, et réaliste. Et peu à peu, alors qu’on apprend à le cerner, on comprend que Jehan souffre d’un terrible mal : il ne s’est pas tant coupé les ailes lui-même, au fond ; on les lui a brisées.
J’existe, c’est l’histoire d’une prise de conscience, lente et douloureuse, de choix difficiles à accomplir, de troubles qui émergent. Devenir agoraphobe après avoir tant traversé semble être une bien dure « punition », pour Jehan. Pourtant, je dirais qu’à mes yeux, ça a été non seulement l’élément déclencheur d’un changement de vie à envisager, mais aussi, une manière pour Jehan de se prouver qu’il existe bel et bien. Étouffer si physiquement, c’est comme un phare dans la nuit, une sonnette d’alarme qui se tire. C’est aussi s’apercevoir qu’il n’est pas tout à fait mort. Que oui, il a trop d’émotions refoulées. Trop de souffrances. Trop de peurs. De son point de vue, il est évidemment accablé par ce poids qui pèse sur lui et qu’il ne comprend pas. Un poids qui ne va pas l’aider à réapprendre à vivre pour lui-même, puisqu’à la moindre situation anxiogène (et quand on a traversé ce qu’il a traversé, elles sont nombreuses !), il perd contenance et fait une crise d’angoisse. Mais Jehan, s’il l’ignore encore, est, au fond, un battant. Un homme volontaire et courageux, même s’il se croit faible et lâche. Un homme qui a traversé l’enfer, et qui a décidé d’en sortir. De lutter pour avoir le droit de se sentir à nouveau exister.
Plus encore, Jehan est un personnage qui se remet en question. Trop, parfois, ce qui fait de lui un homme peu sûr de lui, qui a trop tendance à prendre sur lui des erreurs qui ne lui appartiennent pas. Il faut le dire, vivre avec un PN, ça a de quoi vous casser et vous détruire toute forme de self-estime. Vous donner la sensation d’être coupable. De quoi ? Eh bien, d’à peu près tout, en fait… Et c’est tout à fait la sensation que donne Jehan. Il se sent coupable. Coupable de la vie qu’il mène à présent. Coupable de la situation qui a dérapé. Coupable de la mort de ses amis. Coupable de chaque faux pas qu’il accomplit. Mais Jehan a une lumière dans sa vie, et cette lumière, c’est Jacy. Le seul être capable de faire fondre son cœur, d’abattre toutes ses protections, de lui donner envie de continuer à avancer. Parce que cet enfant au cœur pur mérite le meilleur. Même s’il n’a pas la sensation de le lui donner, pour lui, il avance. Pour lui, il est prêt à changer de vie. A renaître, même, peut-être…
Jacy, c’est vraiment un petit garçon qu’on apprécie de côtoyer et de suivre au fil des pages. Certes, il a lui aussi bien des difficultés, il a perdu ses parents, et ses traumatismes sont nombreux. Mais c’est avant tout une boule d’énergie, un condensé de sourire et de bonne humeur, une bulle d’amour qui illumine la vie de Jehan. Avec lui, tendresse et émotion ne peuvent pas ne pas être présentes. On l’aime, ce petit bout d’homme, si pur, si loyal, si simple et si complexe à la fois. Il a ses peurs d’enfant, mais aussi ses joies si innocentes, ses combats à gagner, ses questionnements… Il apporte énormément à Jehan. Et sa présence au fil de l’histoire est vite devenue indispensable, comme elle l’est dans l’existence de Jehan…
Et puis, il y a Sean. Cet homme souriant mais rempli de blessures, lui aussi, qui apparait dans sa vie et la bouleverse de fond en comble. Sean, l’irlandais un peu poète, souvent drôle, aussi. Sexy, curieux, les pieds sur terre, tellement attachant. On ne comprend pas toujours ses réactions (d’ailleurs les bonus du point de vue de Sean, à la fin, sont vraiment les bienvenus et une très bonne idée !), parfois on a aussi envie de le baffer. Parce que lui aussi est humain, et s’il cache ses propres blessures derrière son sourire, il vacille et balbutie aussi. Il doute et il a peur. Pas toujours facile de côtoyer un Jehan, en même temps, c’est sûr… Il en faut du courage et de la confiance, de la patience et de l’écoute, pour percer les barrières de notre héros et le comprendre… Mais il sait, il sent que Jehan en vaut le coup, et c’est certain que celui-ci est un homme exceptionnel… à qui il faut réapprendre à voler. Sean fait aussi des choix parfois cruels. L’un d’eux m’a donné à réfléchir, je ne l’ai pas vraiment compris, mais il a pourtant permis à Jehan de finalement prendre cet envol qu’on espérait, alors c’est pour le mieux, dirons-nous.
Il y a eu parfois des passages temporels un peu embrouillés, c’est sans doute la seule chose que j’aurais à reprocher à cette histoire. Le temps passe trop vite, les mois défilent de manière un peu chaotique, par moments. Assez illogiques parfois, comme quand Jehan affirme qu’il ne connait pas Sean depuis longtemps alors que, si j’ai bien suivi, il y a près d’un an et demi qui a passé. Et aussi, à travers cette vaste temporalité, on ne sent pas trop que Jacy grandit, alors qu’il doit se dérouler environ 2 ans/2 ans et demi au cours du roman, et que donc, s’il a 4 ans au départ, il en a presque 7 à la fin, ce qui fait un grand laps de temps pour un si petit enfant. Cette temporalité nous donne donc quelques incohérences, ceci dit on est tellement pris dans les émotions de Jehan, au fil des pages, que ça n’a pas gêné ma lecture outre mesure.
En tous les cas, j’ai réellement dévoré ce livre. Je n’ai cessé d’en parler autour de moi, d’avouer que certains passages (en fait, toute la première moitié je dirais !) m’arrachait un peu le cœur, mais je dois le dire, je me suis régalée. Et j’ai vraiment savouré cette histoire en demies teintes, dont les émotions et troubles psychiques sont vraiment très réalistes et poignants. J’en aurais presque pleuré, parfois. Le passage très violent de la crise de Gregory, qui va achever de transformer la situation, particulièrement, m’a prise aux tripes. Mais, quelque part, toutes ces émotions, toute cette souffrance qu’on vit avec Jehan au fil des pages, ont eu, d’une certaine manière, un effet libérateur. Parce qu’à avancer avec un cassé de la vie, on ose peu à peu espérer. Y croire. Vibrer à nouveau. Déployer ses ailes. Exister.
Aurélie, pour le blog d'Amabooksaddict
http://amabooksaddict.blogspot.fr/2017/09/chronique-jexiste-elea-cain.html
J'ai passé la moitié de la nuit à inventer la suite pour pouvoir dormir !
En tout cas, je te remercie de m'avoir permis de rencontrer Mathis, Camille, Aaron et Norbert. Ils font partie de ces gens qu'on n'a pas envie d'oublier. J'aimerais qu'ils existent vraiment et pouvoir faire partie de leur vie, les toucher, leur parler. Ils m'ont enrichie en n'étant que des mots, alors s'ils pouvaient être plus...
On grandit chaque jour un peu plus, grâce à nos lectures. Là, tu m'as fait faire un pas de géant. Moi qui me nourris d'émotions, j'ai eu droit à un festin.
Les ignobles est un très bon livre, j'ai adoré (même si je le redis, ce genre de fin devrait être interdite !) surtout la complexité des personnages. Les liens qui se tissent petits à petits... En grande romantique, j'aurais aimé en savoir plus sur la relation entre Aaron et Camille et aussi bien sûr, en voir plus (s'il n'y avait pas cette fin ! Je m'en remets vraiment pas !) sur comment évoluerait Mathis, sa relation avec les autres hommes de la maison.
Un livre que je conseille fortement!
Vous faites le plein d'émotions pour un très long moment.
Ce livre est basé sur la différence de certaines personnes que la société range dans le coin de différents, des ignobles, des personnes à ne pas fréquenter. Mais la différence n'est-elle pas au contraire une force ? Ne faut-il justement pas jouer de cette différence et être fièr de ne pas entrer dans le moule façonné par cette société ?
J'ai l'avantage d'avoir été élevée par ma grand-mère qui m'a enseigné la tolérance et l'acceptation de l'autre quelle que soit sa différence.
Avec ce livre, Hughette Conilh signe (pour moi) une merveille qui nous fait réfléchir non seulement sur nous, mais également sur ce qui nous entoure. Ce livre nous invite à la réflexion.
Cela ne fait pas de tort de lire ce genre de livre, il nous fait nous remettre en question et pourrait changer la vision de certaines personnes sur pas mal de choses.
Pour moi, c'est un véritable appel à la compassion et à la tolérance, il ne faut pas faire de la différence une tare mais bien une force.
Si vous désirez une lecture différente, alors celui-ci est fait pour vous.
Une belle histoire de vie !
L'histoire de AK et Phebe est marquante il n'y a pas à dire. Au fil de ma lecture je suis tomber en amour avec leur histoire. Leur parcours est remplie d’embûche, de moments difficiles mais malgré tout il y a beaucoup de beauté dans leur romance, on ressent l'espoir qu'ils voient à guérir de leur blessures ensemble parce qu'ils se comprennent. Leurs passés est triste pour chacun mais je dois dire que l'histoire de Phebe m'a complètement chambouler. Son personnage a vécu l'horreur tout simplement et je dois dire qu'à certain moment j'étais anéantie pour elle. Mais malgré tout Tillie Cole nous offres en Phebe un personnage fort, touchant et émouvant. Tout les personnages de cette série sont fabuleux et uniques et chacun prend une place spécial qui fait de cette série ce qu'elle est selon moi. Personnages principaux ou secondaires chacun apportes quelque chose à l'histoire. De voir les personnages des tomes précédents aussi présents rend l'histoire encore meilleur et plus belle, rend cette série éblouissante. Ici AK et Phebe m'ont toucher avec l'histoire poignante que nous a pondu Tillie Cole pour eux. La romance est belle malgré tout ce qui se passe dans ce livre. AK est ce personnage qu'on aime des les premières pages, on ressent à quel point il prend soin des siens, à que point les gens qu'ils aiment sont importants pour lui. J'ai aimer voir qu'il est affectueux et rempli de bonne intention, j'ai aimer son côté bad autant que son côté plus doux. J'ai aimer le voir avec Phebe et voir l'évolution de leur relation. Et Phebe que dire, wow son personnage m'a complètement laisser bouche-ber. Elle est aimante malgré tout ce qu'elle a vécu, bien qu'elle soit brisée on ressent la force en elle et son parcours est oufff les mots me manque. J'ai aimer voir son cheminement et de la voir guérir petit peu par petit peu au coté d'AK. Bref ses deux là mon éblouie et l'histoire poignante de ce roman ne m'a pas laisser de marbre. AK et Phebe on prit une petite place spécial dans mon cœur. Et que dire des moments de Flame ? Tout simplement parfait ! Et le chapitre bonus à la fin était du pur bonbon et je souhaite du fond du coeur que Tillie nous offres plus.
Cette série est tout simplement dans un genre à part et oui c'est une série Dark romance il n'y a pas à dire, c'est sûr que ce n'est pas pour tous mais pour ceux qui apprécie le genre cette série est tout simplement mémorable, différente et unique et vous devez absolument la lire. Chacun des 5 tomes est unique et chaque livre est à la hauteur du précédents et Tillie Cole compte nous en offrir d'autre. Je ne peux qu'attendre avec impatience les prochaines histoires de cette bande de motard que j'ai appris à aimer comme pas permis. Tillie Cole fait partie de mon top 5 d'auteure favoris. Caque livre, chaque style, chaque univers qu'elle créer me fait tomber sous son charme chaque fois un peu plus.
Fraternel vient de connaitre un rebondissement inattendu.
Vous avez été nombreux à l'apprécier et je vous remercie d'avoir tenté sa lecture.
Une maison d'édition a été tout aussi convaincue que vous.
Vous pourrez donc retrouver cette Dark romance courant 2018, diffusée à grande échelle.
Pour ceux qui ont la version actuelle, continuez de nous donner votre avis, c'est avec attention que je vous lis.
Merci à tous.
PS : la fin est heureuse. je ne crois pas que c'est un spoile je crois que c'est plus un encouragement pour lire ce genre de livre.
Je me suis donc presque naturellement tournée vers cet ouvrage dont la description semblait assez amusante.
Pourtant, quand j'ai commencé à lire les premiers chapitres, je me suis demandé dans quelle genre d'aventure je m'étais fourrée. La présentation du personnage de Gus, figé dans ses habitudes et aux sourcils très expressifs, était certes amusante, mais de là à avoir envie de la suivre plus longtemps...
Et puis Casey est arrivé. Et il a tout changé. Autant pour moi en tant que lectrice que pour Gus. Et ce livre est devenu attachant. Ou, plutôt, Gus l'est devenu. Je n'avais qu'une envie, moi aussi, en lisant, c'était de serrer ce bisounours grognon dans mes bras ! Ainsi que ses amies, très impliquées mais complètement surréalistes.
Autant vous le dire : il y a beaucoup de cannabis dans l'histoire et certains passages sont tellement ahurissants que c'est à se demander sous l'emprise de quel produit ils ont été écrits. Notamment les sites internet WTF que Gus parcourt pour comprendre comment se comporter comme une personne normale (je crois pouvoir dire que la réponse N'EST PAS sur internet !)
Mais c'est une jolie histoire de tendresse, avec des gens pas très sûrs d'eux et pas mal d'humour.
Et rien que pour ça, ça vaut la peine d'être lu.
Sinon, vous pourrez déjà apprécier le prologue :
« Ne laissez jamais personne vous dire que ce que vous êtes n’est pas bien.
Il n’y a rien de mal à être homosexuel. Ou hétérosexuel. Ou bisexuel.
Il n’y a rien de mal non plus à être asexuel, demisexuel, pansexuel ou aromantique.
Vous êtes vous-mêmes et si quelqu’un vous le reproche, souvenez-vous d’une chose :
Vous êtes exactement comme vous êtes censés être. »