Commentaires de livres faits par toreadistoliveforever
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Commentaires de livres appréciés par toreadistoliveforever
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- Si C'est pas malheureux, soupira Lula. Ils pensent à quoi les mecs ? Si t'avais un zizi aussi petit que ça, tu l'agiterais en public, toi ?
Punky sautillait sur place à présent, il dansait d'un pied sur l'autre, la quéquette au vent, les roupettes jouant des castagnettes.
- Bordel de Dieu ! S'écria Lula. Il va se sectionner un truc.
- Ce doit être inconfortable.
- Une chance que t'aies oublié les jumelles. J'aurais vraiment pas aimé voir ça en gros plan.
Même de loin, je n'appréciais pas le spectacle.
Soir d'un jour commun
Petit bébé sacré
Lumière au lointain
Ooh oh! Déesse de lumière
Que penses-tu de nous,
Pauvres gens de la terre ?
Quand tu ma regardes
Les yeux brillants d'espoir
Elle ne chôme ni ne tarde
A te couvrir de gloire
Ooh oh! Déesse de lumière
Que penses-tu de nous,
Pauvres gens de la terre ?
As-tu pitié des fous,
Qui le nez en l'air
Sont tombés amoureux
D'un rêve, d'une chimère ?
Ooh oh! Déesse de lumière
Que penses-tu de nous,
Pauvres gens de la terre ?
Le jour quand je te perds de vue,
Je t'écrirai des poèmes
Pour qu'une fois la nuit venue
Je puisse te crier que je t'aime.
Ooh oh, que je t'aime.
L'histoire funeste des Lorenz était jalonnée de cadavres, de fantômes, de morts vivants. De destins fauchés, brûlés, carbonisés par le feu de la passion et de la création.
L'art est un incendie qui naît de ceux qu'il brûle.
La petite Héloïse, quatre ans, scrute attentivement la petite Arlette, quatre-vingt-douze ans qui, par bonheur, a oublié ses prothèses auditives.
- Qui est Cookie ? Je lui demande.
- Eh ben c'est mon chien ! Il a des babines qui pendent et qui bavent, comme la mamie.
Héloïse n'a pas encore découvert la diplomatie, mais elle possède déjà un sens certain de l'observation.
Je m'en suis douté en saisissant mon smartphone hyper moderne. Non, je suis déçu. Mon truc est tout moue. Aucune pêche, aucune patate, la bâton de berger semble mort dans mon caleçon.
- Oui.
- Ma Violet.
De la part de n'importe quel homme, ces mots sembleraient possessif, mais dans la voix de Lionel il n'y a aucune domination. Il n'est ni sévère, ni cruel. Il énonce que tous deux ne font qu'un, qu'ils sont unis .........
Je fus une bacha posh, puis je ne le fus plus.
Je fus la fille de mes parents, puis je ne le fus plus.
Je fus une mère, puis je ne fus plus.
Dès que je m'adaptais à une situation, elle changeait, je changeais. Le dernier changement fut le pire.
- un jeu ? Répétai-je pour l'énerver.
- Ma mère va devenir folle avec toutes vos idées !
- Oh, la pauvre petite chose ! Répliquai-je.
- Nous allons vous laisser, annonça Béatrice.
- Petit ami ? Me demanda Julia.
- J'y travaille, dis-je à haute voix.
Les deux femmes pouffèrent avant de s'éclipser. Et voilà deux articles prometteurs pour la boutique. Dommage que notre passionnante conversation ait été écourtée.
- Je peux vous aider? Demanda Marie avec un air apeuré.
- Je te présente Sergent Sexy. Tu comprends maintenant pourquoi je suis pour les menottes ?
Je souris avant de conclure, mutine:
- Pour ce qui est de la matraque, je n'ai pas encore d'opinion.
- Qu'est-ce qu'il a ? Il ne peut pas m'entendre ?
Anubis a posé une main sur l'épaule de Walt.
- Il ne voit aucun de nous deux, même si je crois qu'il sent ma présence. Il m'a demandé de l'aider. C'est pourquoi je me trouve ici.
- L'aider, toi ?
Je n'avais pas voulu me montrer brutale, mais de tous les dieux que Walt aurait pu invoquer, Anubis était le choix le moins évident.
Anubis a posé sur moi un regard encore plus mélancolique que d'habitude.
- Il est temps pour toi d'y aller, Sadie, m'a-t-il dit. Je te promets de faire mon possible pour apaiser la douleur de Walt.
- Sa douleur ? Attends une sec...
Mais la porte de l'infirmerie s'est ouverte à la volée, et les courants de la douât m'ont attirée à l'intérieur.
- Ça ne devrait pas être compliqué, ajouta-t-elle. C'est sûrement en surface. Ce sera comme retirer une écharde.
- Il va falloir quand même rouvrir la cicatrice, intervint Loki. Il risque de douiller.
Noa lui jeter un regard assassin.
- Ben, je préfère qu'il sache ce qui l'attend, marmonna-t-il.
- Et si ça explose pendant que vous essayer de l'enlever ? Balbutia Peter, soudain livide.
Je tombe à la renverse face à la porte comme si il venait de me gifler, mon cerveau vrombit, s’efforçant d'analyser le son qui vient de sortir de cette bouche. La pièce tourne autour de moi comme un manège, et je me retrouve à genoux. Derrière moi, j'entends un hurlement. Un cri sauvage, une lamentation qui semble avoir été provoquée par un instrument de torture moyenâgeuse.
DIS À PETER QUE C'EST UN AVERTISSEMENT.
Je regarde mes sandales.
- Qu'est-ce que vous espérez y trouver ?
- C'est la procédure standard.
- Mais je m'y suis déjà pliée à Newark !
- Navrée. Vous allez devoir vous déchausser si vous voulez monter dans l'avion.
- Ho, ho ! Tu es toute rouge,me dit Lula. Pense Vegas, et enlève tes pompes.
- Ne te sens pas visée, ajouta Connie. Tu devrais te réjouir de ces précautions antiterroristes aient été mis en place.
- Facile à dire pour toi, rétorquai-je Ce n'est pas toi qu'on fouille. Ce n'est pas toi qu'on fouille pour la DEUXIÈME FOIS et dont on tripote les petites culottes et les tampons.