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« Vous auriez de très jolis pieds si vous en preniez soin, dit la vierge Bethan.
— Ch'est bien aimable à toi, répondit Cohen le Barbare. Mais des pédicures, j'en rencontre pas chouvent dans ma profechion. »
Octogénaire, borgne, chauve, édenté, Cohen, le plus grand héros de tous les temps reussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ?
Car une étoile rouge menace de percuter le Disque-monde, dont la survie repose sur le sorcier calamiteux : dans son esprit brumeux se tapit le Huitième Sortilège...
Avec une distribution prestigieuse dans les seconds rôles : le Bagage, l'In-Octavo, Herrena la Harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement, LA MORT.
Une aventure fantastique sans précédent. Ou peut-être une gigantesque fumisterie, plus encore que la Huitième Couleur.
"Le huitième sortilège" aura la même notation globale que "La huitième couleur". Ce qui veut dire que je n'ai pas réellement apprécié ces deux tomes, les deux premiers de la saga des Annales du Disque-Monde. Beaucoup diront que ces fameux deux volumes ne représentent pas réellement la grande suite. Et donc cette dernière lecture ne me refroidit en rien, je vais continuer dans l'ordre de parution et lire, "La huitième fille", "Mortimer", etc.
Il est clair que l'humour est omniprésent, aussi bien dans les situations que dans les dialogues. Mais les situations sont parfois tellement rocambolesques que l'on a parfois difficile à suivre le fil. J'aime me représenter cette lecture comme si j'allais d'un point A à un point B, mais que le flot d'informations est tellement important que finalement je ne sais plus d'où je suis parti, mais surtout, je ne sais plus où je dois aller.
Un second tome aussi drôle que le premier, c'est un plaisir de retrouver Rincevent et Deuxfleur et de les suivre dans leurs aventures rocambolesques. Le caractère des personnages se développe beaucoup dans ce tome, ainsi que leur relation, c'est très chouette. L'écriture de Terry Pratchett est toujours aussi subtile et hilarante, cela rend la lecture vraiment divertissante. Je recommande +++
Je me souviens avoir essayé de lire ce livre une première fois, sans succès : j'avais l'impression que les pages ne se terminaient pas et impossible de finir ce satané bouquin (et pourtant j'avais adoré le Père Porcher !)
Maintenant, quelques années plus tard, une reprise plus assidue de la lecture et le fait d'avoir lu le premier tome en entier peu de temps avant, j'ai DÉVORÉ ce livre
L'écriture de Pratchett soutenue par la traduction impeccable est juste délicieusement drôle, absurde et agréable, et j'ai été tout simplement happée par l'histoire !
On aurait envie de lire 40 tomes dans cet univers... Oh wait
De nombreuses personnes - y compris l'auteur - disent qu'il ne faut pas commencer la série Les Annales du Disque monde par le début, car les premiers tomes ne sont pas les meilleurs. Si c'est vrai, je me demande ce que donnera la suite ! L'auteur a un humour absolument terrible, parfois à la limite de l'incompréhensible, et j'ai bien ri à nouveau. Les personnages sont peut être un peu plus délimitée dans ce tome que le précédent, Deuxfleurs, Rincevent et le Bagage ne sont pas que des occasions au rire.
Je suis peut être moins bien entrée dans ce tome que dans le précédent, alors même que je n'avais pas à m'habituer à l'univers loufoque que je connaissais déjà. Je pense que c'est principalement dû au format du livre, 250 ininterrompues. Il s'agit d'un roman fleuve sans aucun chapitre ou autre délimitation spécifique, parfois cela renforce l'addictivité du roman, mais ici cela m'a plutôt freiné. L'intrigue étant assez tirée par les cheveux, un peu plus de structure m'aurait permis d'être plus ancrée dans le récit.
Comme le premier tome, ce livre est difficile à adopter. L'écriture est perturbante et très hachée. Il se passe beaucoup de choses en peu de temps. Il faut donc bien suivre sinon on est vite perdu.
En tout cas, c'est un livre plein d'humour avec des personnages haut en couleur. Je lirai les tomes suivants avec plaisir.
Un bol d'air frais encore une fois cet auteur me fait l'effet d'un bon cocktail rafraîchissant en plein soleil un vrai bonheur complètement loufoque et décalé à lire sans modération
Compliqué, compliqué que Terry Pratchett... pas pour moi j'ai abandonné ce tome peut-être le reprendrais-je mais vraiment ça ne marche pas avec moi. Tout est trop décousu, du pur farfelu sans queue ni tête. J'admets que ça peut être drôle mais ce n'est qu'une succession de jeux de mots et je reconnais que je m'ennuie ferme j'aime l'humour plus cynique plus fin. C'était ma dernière tentative.
La suite des aventures de Rincevent avec la réponse quant à ce sortilège qu'il traîne, sa finalité et autant dire que je suis resté bluffé par le final.
On retrouve cette légèreté avec tout de même un brin de "sombritude". Toujours beaucoup de références, d'humour, de délires.
On continue à découvrir cet univers, les lieux déjà évoqués du premiers tomes sont ici plus détaillés, on commence à se sentir comme chez soi.
Résumé
« Vous auriez de très jolis pieds si vous en preniez soin, dit la vierge Bethan.
— Ch'est bien aimable à toi, répondit Cohen le Barbare. Mais des pédicures, j'en rencontre pas chouvent dans ma profechion. »
Octogénaire, borgne, chauve, édenté, Cohen, le plus grand héros de tous les temps reussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ?
Car une étoile rouge menace de percuter le Disque-monde, dont la survie repose sur le sorcier calamiteux : dans son esprit brumeux se tapit le Huitième Sortilège...
Avec une distribution prestigieuse dans les seconds rôles : le Bagage, l'In-Octavo, Herrena la Harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement, LA MORT.
Une aventure fantastique sans précédent. Ou peut-être une gigantesque fumisterie, plus encore que la Huitième Couleur.
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