L'espoir, cette tragédie
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extrait
La vie de grenier. Voilà qui était fait pour lui.
Je devrais aller faire un tour à vélo, ça m'aiderait à bang.
Il faut que j'apprenne à m'arrêter et à respirer le vlam.
Quel merveilleux tchac-pang.
A son retour à la maison, il était en nage. Il a jeté& un dernier regard dehors avant de fermer la porte, au cas où la camionnette noire l'aurait suivi. Il a tourné la clé. Puis il a rouvert, poussé sa bicyclette à l'intérieur et reverrouillé la porte.
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Voilà un roman étonnant, osé, voir parfois irrévérencieux !
Vous prenez un homme Salomon Kugel qui s’exile à la campagne pour être tranquille avec sa famille, ce qui est une gageure lorsque l’on découvre sa mère qui en fait ne devait pas faire parti du voyage au début de l’histoire, du moins pas longtemps (puisque son destin était de mourir très vite) mais va s’approprier rapidement une chambre de cette maison devant devenir havre de paix.
Ajoutez un locataire afin de payer les traites de ce petit paradis, exigeant qu’on lui accorde de la place dans le grenier de cette demeure aux odeurs pestilentielles persistantes malgré l’intervention d’une entreprise de nettoyage avant l’emménagement.
Mais voilà ! Le grenier est déjà largement occupé. Et pas par n’importe qui !
Si je vous dis que cette personne a vendu des millions d’exemplaires de son journal intime, que les cachettes elle connaît, mais que personne, non personne n’oserait imaginer la trouver caché dans son grenier !
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Date de sortie
L'espoir, cette tragédie
- France : 2013-01-10 - Poche (Français)
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Résumé
La paix, c'est ce qu'espérait Salomon Kugel en s'exilant avec les siens dans cette ferme paumée. Raté ! Son épouse le houspille, sa mère le serine avec la Shoah qu'elle-même n'a pas vécue et un pyromane rôde dans la région. Ça pourrait être pire ? Oui ! Voilà qu'il débusque au grenier une vieille dame acariâtre, une icône de l'Histoire déterminée à rétablir la vérité : Anne Frank !
« (C'est) comme si Groucho Marx et Stan Laurel débarquaient chez Elie Wiesel pour montrer que le devoir de mémoire n'exclut pas le droit à l'humour. Et que le rire peut être une arme redoutable, une façon de résister aux horreurs de l'histoire. »
L'Express
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