Commentaires de livres faits par MaeliD
Extraits de livres par MaeliD
Commentaires de livres appréciés par MaeliD
Extraits de livres appréciés par MaeliD
-N'en soyez pas si sûre, Elena, intervint l'Homme à la montre. Aux yeux des
Soviétiques, il n'y a plus de Lituanie, plus de Lettonie, plus d'Estonie. Si Staline tient à ce qu'on ne fasse pas tâche dans le paysage, il faut qu'il se débarrasse complètement de nous.
Une tâche dans son paysage. C'était donc là ce que nous étions pour Staline ?
- Nous nous connaissons, répondit Mère. Ils se trompent. Ne leur permet jamais, Lina, de te convaincre du contraire. Comprends-tu ?
J’acquiesçai d’un signe de tête. Mais je savais qu’un certain nombre de nos compagnons s’étaient déjà laissé persuader de leur condition inférieure. Ils avaient une expression abattue, dénuée de tout espoir et se faisaient tout petits devant le NKVD. J’aurais voulu les dessiner tous.
- Hitler oblige les Juifs à porter des brassards (...)
- Ce que je voulait dire, c'est que nous avons affaire à deux démons qui aspirent l'un comme l'autre à régner sur l'enfer.
Il a blêmit. Comme si je lui avait planté un couteau dans le cœur.
-C'est la colère et la souffrance qui nous a réunis. Pas l'amour.
Je continuais sans même lui laisser le temps de se défendre. Mes phrases fusaient comme des flèches empoisonnées.
-Je ne t'aime pas, ai-je sifflé, sans prêter à ses yeux qui me suppliaient d'arrêter. Personne ne t'aimera jamais, Jonathan.
— Je veux t’apprendre à danser.
Mon cœur a cessé de battre.
— Quoi ?
Il a éclaté de rire.
— J’en suis incapable.
— Je sais, c’est pour ça que je vais t’apprendre.
Alec porta précipitament la main à sa gorge.
― Hein ?
― On dirait un suçon, commenta Jace. Qu'est-ce que tu as fabriqué cette nuit, au fait ?
― Rien de spécial.
Alec accéléra le pas, les joues cramoisies, la main toujours plauée sur son cou.
― Je suis sorti marcher dans le parc pour m'aérer la tête.
― Et... ? Tu es tombé sur un vampire ?
― Hein ? Non ! Je me suis vautré.
― Sur le cou ?
― C'était Mme Dorothea, répondit Clary. Enfin, en quelque sorte.
― Elle n'a jamais été canon, mais je ne me souviens pas de lui avoir vu une aussi sale mine.
― Il y a un petit salon ? s'étonna Clary.
― Bien sûr. Ou suis-je censée recevoir mes visiteurs ?
― Je vais de ce pas confier mon couvre-chef au majordome, dit Jace.
La voyante lui jeta un regard assassin :
― Si tu étais moitié aussi drôle que tu le penses, mon garçon, tu serais encore deux fois plus drôle que tu ne l'es en réalité.
― Oui?
― Comment savais-tu que j'avais du sang de Chasseur d'Ombres? Qu'est-ce qui t'a mis la puce à l'oreille ?
L'ascenseur émit une dernière plaite en s'arrêtant à leur niveau. Jace déverrouilla la grille. L'intérieur de l'ascenseur faisait penser à la cage d'un oiseau, avec ses cloisons en fer forgé et ses doures.
― J'ai deviné, répondit Jace en refermant la grille derrière eux. C'est l'explication la plus probable.
― Tu as deviné? Tu devais être sacrément sûr de toi, étant donné que tu aurais pu me tuer avec ton tatouage !
Jace pressa un bouton sur la paroi, et l'ascenseur se mit à descendre ; Clary sentit les vibrations de la machine lui parcourir tout le corps.
― J'étais sûr à quatre-vingt-dix pour cent.
― Je vois...
Le garçon avait dû percevoir un changement dans la voix de Clary, car il se tourna vers elle. Elle lui assena alors une gifle qui manqua lui faire perdre l'équilibre. Surpris, il porta la main à sa joue :
― Pourquoi tu as fait ça?
― Pour les dix pour cent qui restent, répondit-elle.
― Les accords.
― Les négociations de paix? Jace men a parlé. Avec qui ?
― Avec les Créatures Obsucres. Désolé, tout ça doit te paraître confus.
― Non, vous croyez ?
[...]
―Tu m'as défendu contre Alethea, dit-ill.
―Et ça te fait rire ? demanda-t-elle, le voyant hilare.
―Je trouve cela émouvant surtout, précisa-t-il.
―Et amusant, insista-t-elle.
―Un petit peu, avoua-t-il dans un sourire.
―Ce n'est pas parce que tu es un mec vraiment très fort que les autres ne peuvent pas prendre ta défense, dit-elle. Tu ne crains toujours pas mon incommensurable colère, déplora-t-elle en soupirant.
―Ce n'est pas faute d,essayer pourtant, dit Knox en regardant sa compagne comme si elle était un joli lapinou inoffensif et pas tout à fait lucide.
―Un jour, je laisserai éclater mon incommensurable colère, tu seras terrorisé et tu voudras t'enfuir, crois-moi. Pourquoi ris-tu ? C'est vrai. Un sphinx hors de contrôle peut tout détruire sur son passage et inspirer l'effroi dans le cœur de tous ceux qui... Mais arrête de rire !
J'aimerais me présenter, mais à la vérité, je n'ai pas de nom. Vous pouvez m'appeler ''V''.
Depuis l'aube de l'humanité, une poignée d'oppresseurs a accepté de diriger vos vies quand nous aurions dû les diriger nous-même.
En agissant ainsi, ils ont pris le pouvoir.
En faisant rien, nous leur avons abandonné.
Nous savons maintenant ou mènent leurs décisions: aux camps et aux guerres: à l'abattoir.
L'anarchie ouvre une autre voie. Dans l'anarchie, une nouvelle vie émerge des ruines, l'espoir renait. Eux disent que l'anarchie est morte, mais, voyez-vous...l'annonce de ma mort était... exagérée.
Demain, Downing Street sera détruite, la tête réduite en cendres, la fin de l'époque.
Ce soir, nous devons décider de ce qui lui succédera. Vivre nos vies ou reprendre les chaines.
Choisissez soigneusement.
Et donc, adieu.
Edward se réinstalla face au volant et boucla de nouveau sa ceinture de sécurité.
― oui, et comme dans toutes les familles, nous nous battons entre nous, grimaça-t-il, les yeux pétillant de la bonne humeur de Ted. Mais si nous devons tuer quelqu’un, ce sera plutôt un étranger.
― En fait, le détrompai-je, la majorité des meurtres sont commis par les proches parents.
― Ou par le conjoint. N’oublie pas le conjoint.
― C’est la même chose.
― Techniquement, tu n’es pas parent avec ton conjoint. Il n’y a pas de lien de sang entre vous.
― Peu importe le type de fluides corporel qu’on partage. On tue toujours nos proches.
― Nous ne sommes pas proches, grommela Olaf.
― En effet, acquiesçai-je.
― Mais je te déteste quand même.
― Et réciproquement.
·― Et moi qui pensais que vous ne tomberiez jamais d’accord sur rien, lança Bernardo sur le ton de plaisanterie.
Cela ne fit rire personne.
(lettre de Olaf pour Anita)