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Commentaires de livres faits par MaeliD

Extraits de livres par MaeliD

Commentaires de livres appréciés par MaeliD

Extraits de livres appréciés par MaeliD

date : 01-10-2018
La vie ne peut pas être aussi chienne avec nous. On en a trop bavé. Il y a un quota pour tout le monde, ce n'est pas possible autrement.
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date : 01-10-2018
À vingt-huit ans, je suis assis dans une pièce dans laquelle tout le monde retient son souffle, comme lors de la dernière action d,un match, ou n'inporte quoi pourrait faire basculer la rencontre.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Notre destin est d'être victime d'un génocide quelles que soit les mains entre lesquelles nous tombons.
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-Il est impossible que ce soit notre destination finale, avança Mère. Ils vont certainement nous transférer dans un autre endroit.
-N'en soyez pas si sûre, Elena, intervint l'Homme à la montre. Aux yeux des
Soviétiques, il n'y a plus de Lituanie, plus de Lettonie, plus d'Estonie. Si Staline tient à ce qu'on ne fasse pas tâche dans le paysage, il faut qu'il se débarrasse complètement de nous.
Une tâche dans son paysage. C'était donc là ce que nous étions pour Staline ?
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Il n’était au monde que depuis quelques minutes mais il était déjà considéré comme un criminel par les Soviétiques.
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Je te retrouverai. Nous nous reverrons. Pense juste à ça, concentre-toi sur ça. Pense au jour où je te rapporterai tes dessins. Représente-toi la scène, car je serai là.
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On était au fond du gouffre et on avait essayé d’atteindre le ciel.
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- Comment peuvent-ils décider que nous sommes des animaux ? Ils ne nous connaissent même pas.
- Nous nous connaissons, répondit Mère. Ils se trompent. Ne leur permet jamais, Lina, de te convaincre du contraire. Comprends-tu ?
J’acquiesçai d’un signe de tête. Mais je savais qu’un certain nombre de nos compagnons s’étaient déjà laissé persuader de leur condition inférieure. Ils avaient une expression abattue, dénuée de tout espoir et se faisaient tout petits devant le NKVD. J’aurais voulu les dessiner tous.
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- Rien ne pourrait être pire que Staline (...)
- Hitler oblige les Juifs à porter des brassards (...)
- Ce que je voulait dire, c'est que nous avons affaire à deux démons qui aspirent l'un comme l'autre à régner sur l'enfer.
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date : 13-07-2018
- Et toi, tu as tué, tu es un monstre comme ton père.
Il a blêmit. Comme si je lui avait planté un couteau dans le cœur.
-C'est la colère et la souffrance qui nous a réunis. Pas l'amour.
Je continuais sans même lui laisser le temps de se défendre. Mes phrases fusaient comme des flèches empoisonnées.
-Je ne t'aime pas, ai-je sifflé, sans prêter à ses yeux qui me suppliaient d'arrêter. Personne ne t'aimera jamais, Jonathan.
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date : 13-07-2018
Je réfléchissais à l'effet papillon. Tu sais, quand on dit qu'un simple battement d'ailes d'un papillon peut déclencher une tornade à l'autre bout du monde ? Dans la vie, c'est pareil : un tout petit truc peut modifier radicalement des tas de choses. La cause et les effets. Les choix et les conséquences. Est-ce qu'il y a une raison, ou bien est-ce juste de la chance ? Juste aléatoire. Une personne qui tombe par hasard sur une autre. Ils sortent ensemble, ils couchent ensemble et paf : un bébé. Que ce bébé ait été prévu ou non, que les parents s'aiment ou pas, c'est arrivé et le bébé est là. Mais... Et si tout cela n'aurait jamais dû arriver ?
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date : 13-07-2018
Honnêtement, je ne me rappelle pas ce qui s’est passé cette nuit-là. Des flashs et des accès de panique hantent mes cauchemars, mais les détails m’échappent. Et je ne tiens pas à me les remémorer.
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date : 13-07-2018
Il s’est écarté et a déclaré :
— Je veux t’apprendre à danser.
Mon cœur a cessé de battre.
— Quoi ?
Il a éclaté de rire.
— J’en suis incapable.
— Je sais, c’est pour ça que je vais t’apprendre.
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― Tu as une marque sur le cou.
Alec porta précipitament la main à sa gorge.
― Hein ?
― On dirait un suçon, commenta Jace. Qu'est-ce que tu as fabriqué cette nuit, au fait ?
― Rien de spécial.
Alec accéléra le pas, les joues cramoisies, la main toujours plauée sur son cou.
― Je suis sorti marcher dans le parc pour m'aérer la tête.
― Et... ? Tu es tombé sur un vampire ?
― Hein ? Non ! Je me suis vautré.
― Sur le cou ?
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― Au fait, cette chose, le démon... D'ou venait-il ? demanda Simon.
― C'était Mme Dorothea, répondit Clary. Enfin, en quelque sorte.
― Elle n'a jamais été canon, mais je ne me souviens pas de lui avoir vu une aussi sale mine.
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― Le thé est servi. Ne restez pas plantés là comme des imbéciles. Ve nez au petit salon.
― Il y a un petit salon ? s'étonna Clary.
― Bien sûr. Ou suis-je censée recevoir mes visiteurs ?
― Je vais de ce pas confier mon couvre-chef au majordome, dit Jace.
La voyante lui jeta un regard assassin :
― Si tu étais moitié aussi drôle que tu le penses, mon garçon, tu serais encore deux fois plus drôle que tu ne l'es en réalité.
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― Jace ?
― Oui?
― Comment savais-tu que j'avais du sang de Chasseur d'Ombres? Qu'est-ce qui t'a mis la puce à l'oreille ?
L'ascenseur émit une dernière plaite en s'arrêtant à leur niveau. Jace déverrouilla la grille. L'intérieur de l'ascenseur faisait penser à la cage d'un oiseau, avec ses cloisons en fer forgé et ses doures.
― J'ai deviné, répondit Jace en refermant la grille derrière eux. C'est l'explication la plus probable.
― Tu as deviné? Tu devais être sacrément sûr de toi, étant donné que tu aurais pu me tuer avec ton tatouage !
Jace pressa un bouton sur la paroi, et l'ascenseur se mit à descendre ; Clary sentit les vibrations de la machine lui parcourir tout le corps.
― J'étais sûr à quatre-vingt-dix pour cent.
― Je vois...
Le garçon avait dû percevoir un changement dans la voix de Clary, car il se tourna vers elle. Elle lui assena alors une gifle qui manqua lui faire perdre l'équilibre. Surpris, il porta la main à sa joue :
― Pourquoi tu as fait ça?
― Pour les dix pour cent qui restent, répondit-elle.
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[...]

― Les accords.
― Les négociations de paix? Jace men a parlé. Avec qui ?
― Avec les Créatures Obsucres. Désolé, tout ça doit te paraître confus.
― Non, vous croyez ?

[...]
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―Qu'est-ce qu'il y a ? voulut-elle savoir.
―Tu m'as défendu contre Alethea, dit-ill.
―Et ça te fait rire ? demanda-t-elle, le voyant hilare.
―Je trouve cela émouvant surtout, précisa-t-il.
―Et amusant, insista-t-elle.
―Un petit peu, avoua-t-il dans un sourire.
―Ce n'est pas parce que tu es un mec vraiment très fort que les autres ne peuvent pas prendre ta défense, dit-elle. Tu ne crains toujours pas mon incommensurable colère, déplora-t-elle en soupirant.
―Ce n'est pas faute d,essayer pourtant, dit Knox en regardant sa compagne comme si elle était un joli lapinou inoffensif et pas tout à fait lucide.
―Un jour, je laisserai éclater mon incommensurable colère, tu seras terrorisé et tu voudras t'enfuir, crois-moi. Pourquoi ris-tu ? C'est vrai. Un sphinx hors de contrôle peut tout détruire sur son passage et inspirer l'effroi dans le cœur de tous ceux qui... Mais arrête de rire !
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date : 08-04-2018
Lorsque Mara se réveilla, elle se tourna sur le dos pour s’étirer. Jamais elle n’avait aussi bien dormi de toute sa vie. C’était la première fois qu’elle dormait dans un vrai lit, en fait. Pas de sol dur et froid, mais un bon matelas moelleux et une couverture chaude et moelleuse. Pas de barreaux l’empêchant de bouger, mais un grand espace ouvert qui lui avait fait peur, au début. Dans la cage des bras de Louka, elle s’était sentie rassurée. Elle avait beau être libre, elle avait du mal à se faire à cette idée. Elle avait vécu trop longtemps enfermée?; alors, bien sûr qu’elle avait peur. Bien sûr qu’elle était perdue. Mais, au fond, elle appréciait de découvrir ce nouvel environnement, aussi terrifiant que fantastique.
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date : 04-02-2018
Si je prenais les livres à la lettre, je croirais aussi que tous les garçons appellent les filles baby. Apparemment le petit nom le plus romantique du monde. Il suffit que le héros, un sale con la page précédente, le prononce, et voilà l'héroïne qui s'évanouit à moitié et perd toute estime de soi. « Ohhhh ! Il m'a appelée baby ! Je l'aaaaaaaime ! » Les garçons appellent-ils vraiment les filles ainsi ? Je n'ai pas assez d'expérience pour le savoir. Je sais que si l'un d'entre eux osait m'appeler comme ça, je lui rirais au nez. Ou bien je l'étranglerais.
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Anaële est à bout de force. Elle ne résistera pas très longtemps. Ughurhu le sait. Il pourrait hâter la mort de la jeune femme, mais il est curieux de voir combien de temps elle tiendra. Son rire démoniaque s’imprègne en elle et, telles de petites griffures, écorche son âme. Anaële ne peut se résoudre à lui concéder la victoire. Elle puise en elle pour trouver la force de résister le temps nécessaire. Elle ferme les yeux et se laisse envahir par ses souvenirs. Elle donnerait tout pour retrouver ses petits tracas d’antan. Ce n’était pas le bonheur parfait, mais cela en avait l’apparence, et surtout, les siens étaient encore tous vivants.
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date : 26-08-2017
«Vi veri veniversum vivus vici.»
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date : 26-08-2017
Bonjour Londres,
J'aimerais me présenter, mais à la vérité, je n'ai pas de nom. Vous pouvez m'appeler ''V''.
Depuis l'aube de l'humanité, une poignée d'oppresseurs a accepté de diriger vos vies quand nous aurions dû les diriger nous-même.
En agissant ainsi, ils ont pris le pouvoir.
En faisant rien, nous leur avons abandonné.
Nous savons maintenant ou mènent leurs décisions: aux camps et aux guerres: à l'abattoir.
L'anarchie ouvre une autre voie. Dans l'anarchie, une nouvelle vie émerge des ruines, l'espoir renait. Eux disent que l'anarchie est morte, mais, voyez-vous...l'annonce de ma mort était... exagérée.
Demain, Downing Street sera détruite, la tête réduite en cendres, la fin de l'époque.
Ce soir, nous devons décider de ce qui lui succédera. Vivre nos vies ou reprendre les chaines.
Choisissez soigneusement.
Et donc, adieu.
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― Quelle joyeuse petite famille, lançai-je dans le silence épais qui avais envahi la voiture.
Edward se réinstalla face au volant et boucla de nouveau sa ceinture de sécurité.
― oui, et comme dans toutes les familles, nous nous battons entre nous, grimaça-t-il, les yeux pétillant de la bonne humeur de Ted. Mais si nous devons tuer quelqu’un, ce sera plutôt un étranger.
― En fait, le détrompai-je, la majorité des meurtres sont commis par les proches parents.
― Ou par le conjoint. N’oublie pas le conjoint.
― C’est la même chose.
― Techniquement, tu n’es pas parent avec ton conjoint. Il n’y a pas de lien de sang entre vous.
― Peu importe le type de fluides corporel qu’on partage. On tue toujours nos proches.
― Nous ne sommes pas proches, grommela Olaf.
― En effet, acquiesçai-je.
― Mais je te déteste quand même.
― Et réciproquement.
·― Et moi qui pensais que vous ne tomberiez jamais d’accord sur rien, lança Bernardo sur le ton de plaisanterie.
Cela ne fit rire personne.
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JE T'AI REGARDEE VOLER À LA RESCOUSSE DU GENTIL PROFESSEUR. JE T'AI VUE PRENDRE L'ENVELOPPE, ET JE SAIS QUE TU ES EB TRAIN DE LIRE CE MESSAGE. JE ME SUIS MOQUE D'EDWARD QUAND IL A PARLE DÂME SOEURS. JE LUI DOIS DES EXCUSES. QUAND JE T'AI VUE DECOUPER LE COEUR DE CE MONSTRE D'UNE MAIN SI EXPERTE, J'AI SU QUE TU ETAIS COMME MOI. COMBIEN DE GENS AS-TU TUES? COMBIEN DE COEURS AS-TU PRELEVES? TU TE DIS SÛREMENT QUE JE ME TROMPE. C'EST VRAI QUE TU NE CONSERVES PAS DE TROPHEES, MAIS TU VIE QUAND MÊME POUR LA CHASSE ET LE MEURTRE. SANS CETTE VIOLENCE, TU TE FLETRIRAIS ET TU MOURRAIS. QUELLE IRONIE DU SORT A PHYSIQUEMENT FAIT DE TOI LA FEMME QUE JE TUE ENCORE ET ENCORE, ET PLACE À L'INTERIEUR DE CE CORPS SI FRÊLE L'AUTRE MOITIE DE MON ÂME? LA PLUPART DES VAMPIRES QUE TU TUES SONT-ILS DES HOMMES? AS-TU TOI AUSSI UN TYPE DE VICTIME, ANITA? J'ADORERAIS CHASSER AVEC TOI. NOUS POURRIONS TUER ENSEMBLE ET DECOUPER LES CADAVRES. CE SERAIT BIEN PLUS QUE JE N'AI JAMAIS RÊVE DE PARTAGER AVEC UNE FEMME.
(lettre de Olaf pour Anita)
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