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Commentaires de livres faits par Marie-France-46

Extraits de livres par Marie-France-46

Commentaires de livres appréciés par Marie-France-46

Extraits de livres appréciés par Marie-France-46

Vous êtes un coriace, dit Fredericksen. je le vois. Mais être honnête demande plus de putain de courage que tout le reste.
Landis pris une profonde inspiration, et il continua de respirer fort. c'était la seule chose dont il se sentait capable à cet instant.
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Elle était jolie, mais ce n’était pas le genre de femmes sur lesquelles les hommes se retournent dans la rue – ou ailleurs. Sa beauté était secrète, tout en finesse dans les traits et les proportions. On la découvrait progressivement.
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date : 08-04
Nous marchons comme nous pouvons, pas très vite. Car on sent la fatigue. Mais on marche quand même…. Ca nous fait passer les idées…
- Quelles idées, Tante Martine ?
- Les idées tristes, Pascalet.
- Il y en a ?
- Il y en a. Mais on en vient à bout en se remuant… Bon remède ! C’est ça que nous enseigne la sagesse :
Bondon-Bondaine,
Qui marche fatigue sa peine.
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Je n'ai pas jeté un regard en arrière pour voir d'où venait la route. Je me suis recroquevillée sous les couvertures et j'ai serré les paupières jusqu'à ce que la neige se remette subitement à crisser sous nos patins. Un instant plus tard, le traineau s'arrêtait au portail de mon jardin. J'ai bondi du véhicule et ne me suis retournée qu'une fois à la porte de la maison. Ma précipitation n'avait cependant pas lieu d'être : Oleg était déjà reparti sans un regard pour moi.
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date : 27-03
John Costello devint le genre de personnes qui se rassurent par des petits rituels : il compte, il fait des listes.
Il n'a pas peur de la nuit, car il porte en lui toute la nuit dont il a besoin.
Dans la rue, il ressemble à des millions d'autres gens.
Vous lui parlez, il semble exactement comme vous.
Mais il n'est pas comme vous.
Et ne le sera jamais.
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Impossible de trouver 3 lignes dignes de figurer ici...
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Quijote aun todavia dormia. El cura pidio las llaves à la sobrina del aposento donde estaban los libros autores del dano, y ella se las dio de muy buena gana : entraron dentro todos y la ama con ellos.
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Après que Gwyneth Paltrow, une actrice américaine, a choisi de lancer une bougie à l'odeur de son vagin, la chanteuse américaine de soul Erykah Badu annonce l'arrivée sur le marché d'un encens parfumé aux mêmes fumets. Il a pour nom Badu Pussy...
Cet encens vaginal est présenté comme un hommage à sa "superpuissance" - intellectuelle probablement.
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L'image de Sofia pendue à ces branches m'apparait si clairement qu'elle en est palpable, comme si j me tenais devant elle. Je repousse son fantôme en fermant les yeux. C'est un automatisme, chez moi : fuir pour avoir l'illusion d'avancer.
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Au milieu de ce décor mouvant et délavé paradait, aussi éclatant qu'un personnage d'enluminure, le chevalier au coucou. Il était le seul que la pluie nimbait d'une lueur aqueuse, blanche comme l'argent poli. Le cendal de sa cotte d'armes et du caparaçon de sa monture, brodés à la semblance d'un plumage, chatoyait telles les rémiges d'un oiseau qui prend son envol dans l'éclaircie ; l'averse lustrait son heaume et son armure de cyane d'une myriade de perles translucides ; l'émerillon un peu louche qui ornait son écu ne ressemblait plus à un coucou ni même à un faucon mais paraissait adopter l'essor conquérant de l'aigle.
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date : 21-02
J’ai une histoire à raconter. C’est l’histoire de meurtres : des meurtres de la chair et de l’esprit ; des meurtres nés de la douleur, de la haine, du châtiment. C’est l’histoire de la genèse de ces meurtres, de la manière dont ils ont pris forme et déteint sur nos actes, dont ils ont transformé nos vies, dont ils ont imprégné le monde et l’histoire autour de nous. Et c’est une histoire qui raconte comment la soif de violence et le meurtre prennent fin – pour autant, certes, qu’ils prennent jamais fin.
Je connais bien cette histoire, car je suis coincé dedans.
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Feuilles. Foulée, foulée, foulée... Je ne sais pas ce que c'est, le son est proche mais provient de derrière, la bête est cachée par le Roi des Arbres. Piétinements. Sabots qui martèlent le sol. Un cervidé, qui a senti que quelque chose clochait. Et pourtant, foulée foulée foulée foulée, et un instant plus tard ils apparaissent dans notre champ de vision, leurs corps tendus, en alerte. Ils sont deux, une biche et son faon, leur pelage en plein changement, passant de la couleur ambrée de l'été au marron-gris de l'hiver.
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Platero es un burro pequeño, peludo, suave; tanblando por fuera, que se diría todo de algodón, queno lleva huesos. Sólo los espejos de azabache de susojos son duros cual dos escarabajos de cristal negro.
Lo dejo suelto, y se va al prado, y acaricia tibia-5mente con su hocico, rozándolas apenas, las florecillasrosas, celestes y gualdas ... Lo llamo dulcemente:« ¿ Platero ? », y viene a mí con un trotecillo alegre queparece que se ríe, en no sé qué cascabeleo ideal . . . Come cuanto le doy. Le gustan las naranjas man-10darinas, las uvas moscateles, todas de ámbar, los higosmorados, con su cristalina gotita de miel ...
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Calvis essuya les larmes sur ses joues d'un revers de main. Il s'emmitoufla dans sa veste. Il respira profondément. "Il se passe des horreurs, ici.
- Il se passe des horreurs partout, répondit Jacques.
- C'est peut-être pour nous rappeler que le diable existe.
- On croirait entendre papi.
- Papi avait raison. Cette citation qu'il faisait toujours de Shakespeare. Tu te souviens ?"
Jacques hocha la tête. Il n'avait pas oublié.
"L'enfer est vide, dit Calvis, tous les démons sont parmi nous"
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Le wanderer que je suis redeviendra humaniste lorsque cessera la suprématie du mâle. Il souffre à chaque instant de se heurter où qu'il porte ses pas à la toute puissance de la testostérone. Il lui semble que l'humanité a érigé en divinité le mauvais chromosome. Il entend des cris de joie dans les maisons berbères saluant la naissance d'un garçon et les lamentations si c'est une fille. Il a traversé des villages dans les campagnes de Chine où les mères se pendent si elles enfantent une fille. Il a vu en Inde, où il manque cinquante millions de femmes, le visage des victimes qu'on a tenté de brûler. .. Dans les pays de sable et de soleil, il a partagé des diners à la table du maitre de maison pendant que la mère de famille se nourrissait par terre de ce qu'on lui laissait. Il a rencontré des familles composées de petits garçons gras comme des poussahs entourés de fillettes aux côtes saillantes...
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Pour ceux qui ont tracé la voie,
Pour le loup marchant dans la steppe enneigée,
Pour cette nuit éclaboussée d'étoiles, semblable à la robe d'un mage,
Pour une éternité, échapper à la mort,
Pour ce u tu ne savais pas et ne sauras jamais,
Pour l'invraisemblable vérité, elle t'appartient,
Pour l'homme peuplé que tu es devenu.
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Je respire où tu palpites,
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?

A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?

Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
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J'observai Camus. Et soudain, un contraste prodigieux m'apparut : d'un côté cet infantilisme, et de l'autre, ce beau visage tendre et grave. D'un côté l'absurde, et de l'autre ce calme défi. Encore tout pénétré de la lecture du Mythe, je comprenais mal, je crois, ce qu'il me faut maintenant inscrire à la fin de ce chapitre, à savoir que l'absurde n'était pour Camus qu'un point de départ ; qu'il regretterait bientôt d'être enfermé dans cette formule, qu'elle n'était pour lui qu'une idée trouvée dans les rues de son temps.
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Juste avant Yom Kippour, nous amis nous avertirent qu'un raid se préparait.
Le jour de Yom Kippour, nous nous rendîmes donc dans les bois pour nous y cacher. Ma mère, mes sœurs et moi, nous partîmes dans une direction, mon père et Aron s'en allèrent en sens opposé. Après avoir passé la journée à errer dans les bois, nous parvinrent cependant à nous retrouver à la nuit tombante. Il était dit que nous serions tous réunis pour Yom Kippour, c'était dans l'ordre des choses, assura ma mère.
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date : 23-01
Les droits de l’homme ne sont qu’un prétexte pour continuer le colonialisme sous le prétexte politiquement correct de l’humanitaire ou celui, politiquement rentable, d’apaiser les peurs de nos concitoyens. Le droit d’ingérence théorisé par Kouchner permet à l’Occident de continuer sa politique impérialiste sans en avoir l’air.
Si danger de terrorisme islamique il y a sur le territoire français, et il y a désormais, c’est parce que ceux que nous avons agressés riposteront à nos agressions. Nous devrions réserver nos guerres au strict cas défensif avéré. Attaquer en disant que l’on agit de manière préventive est une sophisterie qui n’abuse que les victimes de l’idéologie dominante.
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Voilà pourquoi il avait fait ça, non pas par culpabilité ou par fierté, mais parce qu'il attendait cela depuis une éternité : la chance de montrer des merveilles à quelqu'un d'autre, de le voir comprendre qu'on ne lui a pas menti, que le monde qu'on lui a promis dans son enfance existe bel et bien, qu'il y a vraiment des choses tapies dans le bois, cachées sous les escaliers ou parmi les étoiles. Qu'il y a du mystère absolument partout.
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Pourquoi interroger Dieu en lui demandant s'il est bien sûr de devoir faire ce qu'il va faire ? Il prétend être son fils, il dit être le Messie, mais tout près du but il doute, il tremble, il va craquer et prie son Père pour ? Pour lui éviter de réaliser son projet afin d'échapper à la crucifixion et de finir sa vie sur le bord du Jourdain à boire du jus de mangue avec douze amis en compagnie de femmes adultères et de paralytiques ayant retrouvé l'usage de leurs membres grâce à lui ? Quel breuvage y a-t-il dans cette coupe que jésus demande à son père d'éloigner ses lèvres ?
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Le sentiment de déception fut immédiat et cuisant. Car il ne s'agissait pas de celui qu'ils recherchaient, l'homme à la silhouette sombre qui avait tenté d'entrer par effraction chez Lanning. Le fugitif n'était même pas un homme. Face à Helen se trouvait une adolescente terrifiée.
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Je suis convaincue que chaque être a un quadrant (un quart) physique, émotionnel, intellectuel et spirituel. Je pense également que si nous pouvions apprendre à nous libérer de nos sentiments dénaturés, de notre haine, de nos peurs, de nos larmes non versées, nous pourrions à nouveau nous trouver en harmonie avec notre vrai moi, tel que nous devrions être. (...)
Mais le plus important de tout est d'apprendre à aimer inconditionnellement. La plupart d'entre nous ont été élevés comme des prostituées. C'était toujours : Je t'aime "si"... Et ce mot "si" a ruiné et détruit plus de vie que n'importe quoi sur la planète Terre.
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Un vieil Indien cherokee que son petit-fils, pétri de rancœur, venait consulter un jour, lui avait fourni la réponse suivante :
— Il m’est arrivé à moi aussi de ressentir de la haine à l’endroit de ceux qui m’ont fait du mal. Sache que la haine te mine sans nuire le moins du monde à tes ennemis. C’est comme si tu avalais toi-même du poison en souhaitant leur mort. C’est comme si tu avais en toi deux loups qui se battent pour prendre possession de ton esprit. Le premier est bon et ne te veut aucun mal. Il vit en harmonie avec les autres et ne s’offusque jamais sans raison.
— Et le second loup, grand-père ?
— Ah ! s’était exclamé le vieillard. Le second loup est mauvais. Il est rempli de colère et la plus petite contrariété le met en rage, mais sa colère est vaine, puisqu’elle ne change rien.
Alors le jeune Indien avait sondé le regard de son aïeul.
— Quel loup finit par gagner, grand-père ?
Le vieil homme avait souri.
— Celui que tu nourris.
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date : 20-12-2023
Dans le rétroviseur, mes yeux cernés de cratères trahissent un volcan d'émotions : la frustration sans soupape de ne pas mieux servir la Nature, la colère de ne plus sentir que j'appartiens au clan des Hommes, la peur de perdre le contrôle. Images d'éruptions, de coulées de lave qui renversent et font sauter tous les wagons.
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