Commentaires de livres faits par Marie-France-46
Extraits de livres par Marie-France-46
Commentaires de livres appréciés par Marie-France-46
Extraits de livres appréciés par Marie-France-46
- Quelles idées, Tante Martine ?
- Les idées tristes, Pascalet.
- Il y en a ?
- Il y en a. Mais on en vient à bout en se remuant… Bon remède ! C’est ça que nous enseigne la sagesse :
Bondon-Bondaine,
Qui marche fatigue sa peine.
Il n'a pas peur de la nuit, car il porte en lui toute la nuit dont il a besoin.
Dans la rue, il ressemble à des millions d'autres gens.
Vous lui parlez, il semble exactement comme vous.
Mais il n'est pas comme vous.
Et ne le sera jamais.
Cet encens vaginal est présenté comme un hommage à sa "superpuissance" - intellectuelle probablement.
Je connais bien cette histoire, car je suis coincé dedans.
Lo dejo suelto, y se va al prado, y acaricia tibia-5mente con su hocico, rozándolas apenas, las florecillasrosas, celestes y gualdas ... Lo llamo dulcemente:« ¿ Platero ? », y viene a mí con un trotecillo alegre queparece que se ríe, en no sé qué cascabeleo ideal . . . Come cuanto le doy. Le gustan las naranjas man-10darinas, las uvas moscateles, todas de ámbar, los higosmorados, con su cristalina gotita de miel ...
- Il se passe des horreurs partout, répondit Jacques.
- C'est peut-être pour nous rappeler que le diable existe.
- On croirait entendre papi.
- Papi avait raison. Cette citation qu'il faisait toujours de Shakespeare. Tu te souviens ?"
Jacques hocha la tête. Il n'avait pas oublié.
"L'enfer est vide, dit Calvis, tous les démons sont parmi nous"
Pour le loup marchant dans la steppe enneigée,
Pour cette nuit éclaboussée d'étoiles, semblable à la robe d'un mage,
Pour une éternité, échapper à la mort,
Pour ce u tu ne savais pas et ne sauras jamais,
Pour l'invraisemblable vérité, elle t'appartient,
Pour l'homme peuplé que tu es devenu.
Tu sais ; à quoi bon, hélas !
Rester là si tu me quittes,
Et vivre si tu t'en vas ?
A quoi bon vivre, étant l'ombre
De cet ange qui s'enfuit ?
A quoi bon, sous le ciel sombre,
N'être plus que de la nuit ?
Je suis la fleur des murailles
Dont avril est le seul bien.
Il suffit que tu t'en ailles
Pour qu'il ne reste plus rien.
Le jour de Yom Kippour, nous nous rendîmes donc dans les bois pour nous y cacher. Ma mère, mes sœurs et moi, nous partîmes dans une direction, mon père et Aron s'en allèrent en sens opposé. Après avoir passé la journée à errer dans les bois, nous parvinrent cependant à nous retrouver à la nuit tombante. Il était dit que nous serions tous réunis pour Yom Kippour, c'était dans l'ordre des choses, assura ma mère.
Si danger de terrorisme islamique il y a sur le territoire français, et il y a désormais, c’est parce que ceux que nous avons agressés riposteront à nos agressions. Nous devrions réserver nos guerres au strict cas défensif avéré. Attaquer en disant que l’on agit de manière préventive est une sophisterie qui n’abuse que les victimes de l’idéologie dominante.
Mais le plus important de tout est d'apprendre à aimer inconditionnellement. La plupart d'entre nous ont été élevés comme des prostituées. C'était toujours : Je t'aime "si"... Et ce mot "si" a ruiné et détruit plus de vie que n'importe quoi sur la planète Terre.
— Il m’est arrivé à moi aussi de ressentir de la haine à l’endroit de ceux qui m’ont fait du mal. Sache que la haine te mine sans nuire le moins du monde à tes ennemis. C’est comme si tu avalais toi-même du poison en souhaitant leur mort. C’est comme si tu avais en toi deux loups qui se battent pour prendre possession de ton esprit. Le premier est bon et ne te veut aucun mal. Il vit en harmonie avec les autres et ne s’offusque jamais sans raison.
— Et le second loup, grand-père ?
— Ah ! s’était exclamé le vieillard. Le second loup est mauvais. Il est rempli de colère et la plus petite contrariété le met en rage, mais sa colère est vaine, puisqu’elle ne change rien.
Alors le jeune Indien avait sondé le regard de son aïeul.
— Quel loup finit par gagner, grand-père ?
Le vieil homme avait souri.
— Celui que tu nourris.
Landis pris une profonde inspiration, et il continua de respirer fort. c'était la seule chose dont il se sentait capable à cet instant.