Commentaires de livres faits par rouge
Extraits de livres par rouge
Commentaires de livres appréciés par rouge
Extraits de livres appréciés par rouge
Je devais admettre que c’était plutôt bien résumé. »
Qu'il est étrange de mourir au coeur d'une si riche palette !
S.V.
— On ne va pas perdre notre temps pour un avorton comme toi. On est là pour un démon.
Ah, d’accord. Donc, en fait, Kai savait ce qu’il faisait. L’homme des Clés commença à reculer.
— Alors je vais t’en donner, moi, du démon ! gronda Mario en attrapant le pendentif à son cou.
Une lumière d’un rouge profond fusa entre ses doigts. Des rayons de pouvoir balayèrent le trottoir et formèrent une vague ondoyante. Elle s’étendit vers le haut comme si la magie se déversait de l’infernus pour emplir un moule invisible. La lumière se condensa et se solidifia, et quand elle disparut, un démon se tenait devant le contractant.
Je réprimai un élan de terreur. Le démon était sorti du pendentif comme un Pokémon de sa Pokéball. Belzébuth, je te choisis !
— Allô ?
— Bonne nouvelle, déclara Bug. J’enclenchai le haut-parleur.
— J’ai retrouvé ton sac à vomi. Il conduit une merde italienne d’importation gris métallisé. Il va déboucher sur l’I-10. Où es-tu ?
— Sur le siège passager de la merde italienne.
— Bon sang, mais quel connard.
C’était sorti tout seul.
Alessandro eut un mouvement de recul.
— Quelle grossièreté ! Ça promet. Vous mériteriez que je vous savonne la bouche.
— Vous ne me savonnerez rien du tout. Personne ne touche à ma bouche !
Non, je ne venais pas juste de dire ça.
Il rit. Alessandro se moqua de moi.
Alessandro se figea.
Ha ! Ça t’en bouche un coin, hein ?
— Ça, ce n’est rien, ajouta Runa. Attendez de goûter à son pithiviers. Il est à se damner.
Je la fusillai du regard. Elle me gratifia d’un air de blanche colombe et continua de manger.
Alessandro s’étrangla à moitié et le masqua derrière une brève toux.
— Il y a un pithiviers ?
— Oui, répondis-je.
Il reposa sa fourchette et se tourna vers moi, l’air exalté.
Ne rougis pas, ne rougis pas…
Alessandro ouvrit la bouche :
— Épousez-moi.
— Si elle dit oui, tue-le, dit Bern à Leon, le visage grave. Elle nous remerciera plus tard.
Bug s’agita sur son siège.
— Catalina, n’épouse pas cette tête de nœud. Il y a assez de poissons dans l’océan. (Il accorda un regard à maman.) Excusez mon langage.
Matilda se pencha en avant et nous regarda tour à tour, Alessandro et moi.
— Vos enfants seraient très beaux.
Leon fila vers la porte.
— Reposez-moi, grognai-je.
— Non, vous êtes en pleine crise d’autorité.
— Alessandro !
La définition légale des archives en France, inscrite au Code du patrimoine, affirme explicitement que les archives ne sont pas seulement – comme on le pense encore trop souvent – les documents anciens qui ne présentent plus d’utilité que pour les historiens ou les curieux. Elle établit également le caractère organique des archives : ces documents ont été produits dans le cadre d’une activité précise pour des besoins de gestion, souvent aussi pour établir un droit ou une obligation. Ils n’ont donc pas été conçus à l’origine pour l’écriture du récit historique et peuvent à ce titre être supposés plus précis et plus fidèles à la vérité que des témoignages ultérieurs. Cette hypothèse, toutefois, demande à être vérifiée par une critique attentive du document, critique qui devra établir son authenticité ; à cet effet, il faut pouvoir en retracer la provenance et le replacer dans son contexte.
Je t'ai embrassée avant de te tuer... Il ne me restait plus qu'à me tuer pour mourir sur un baiser !
(Othello)
- Et à quelle catégorie appartient la baronne, selon vous ?
-Elle, elle glisse sur la rampe. Toujours.