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Tous les extraits ajoutés sur les livres

Nana, Tome 5
À cette époque, je me disais que je ne voulais plus jamais tomber amoureuse. Mais cette nuit-là, tout en priant pour ton bonheur, Nana, j'ai pensé que malgré toutes les blessures et toute la douleur que ça peut provoquer je voulais rêver une nouvelle fois et aimer quelqu'un de tout mon cœur.
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La Pension du bord de mer, Tome 12 : En attendant ton retour
Les larmes ne servaient à rien, mais la bravoure, la force d'âme et la détermination à ne jamais se laisser abattre... autant de valeurs auxquelles il était impératif de s'accrocher, et peu importait ce que le destin leur réservait.
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La Pension du bord de mer, Tome 12 : En attendant ton retour
"Nous tenons à vous remercier d'avoir accepté de nous accueillir parmi vous. Nous vous promettons de travailler dur et de toujours respecter le couvre-feu. Et, je vous en conjure, n'ayez pas peur de nous, ajouta-t-il en se tournant vers les femmes. Nous avons des familles qui nous attendent, des épouses, des mères, des soeurs et des filles. Tous les Allemands ne sont pas des monstres."
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Spy×Family, Tome 2
"Un espion une télépathe, une tueuse... tous trois réunis sous le même toit, alors que chacun cache sa véritable identité. Voici donc le quotidien de ce trio bien loin d'être la "famille modèle" que les services secrets croyaient avoir constituée..."
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King Kong
"Préparez-vous à découvrir la chose la plus invraisemblable que vous n'ayez jamais vue ! Un être qui était le roi et le dieu du monde qu'il connaissait, mais qui a rejoint la civilisation en tant que prisonnier, en tant qu'objet de spectacle, pour nourrir l'insatiable curiosité de l'Humanité... Mesdames et messieurs, admirez Kong, la huitième merveille du monde !"
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King Kong
Ann n'avait jamais vu une telle expression sur un visage humain. Elle avait souvent été l'objet de regards lascifs en parcourant les rues de New York, mais les traits de Kong reflétaient une indicible innocence alors qu'il se penchait pour la caresser du bout d'un doigt. Elle réalisa qu'il la désirait, mais pas à la façon d'un prédateur urbain. Ses yeux bizarrement humains brillaient de... d'adoration, d'une vénération pure, candide. Il pensait sans doute qu'il la protégeait. Pendant un bref moment, Ann éprouva un élan de... pitié, d'affection, de dégoût ? Elle ne pouvait le dire. Dans l'état d'épuisement et de peur dans lequel elle se trouvait, le cœur prêt à éclater, ses émotions fluctuaient follement et elle éprouvait le sentiment de flotter entre la vie et la mort. A cet instant, elle n'aurait pu dire si elle était dans le monde réel ou dans un rêve.
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Contes zen de la forêt des songes
« …C’est quand tu partages tes rêves avec tes amis que tout devient vraiment extraordinaire! »
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Contes zen de la forêt des songes
« Pendant la course, Tara vit des choses merveilleuses : un nid d’oiseaux, une rivière scintillante, des fleurs aux couleurs vives… Elle s’arrêta pour les admirer. Tout était si beau. »
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Don't Bleed For Me
date : 05-05 par Fl3g | ses comms
Julian ...elle est assise dans son jardin d’hiver, au milieu de ses plantes, un espace entièrement vitré, baigné et comme saisi par la lumière rasante et dorée de cette fin de journée. Je marque une pause et l’observe. Comme à l’accoutumée, elle s’est installée dans son fauteuil préféré, ses lunettes sur le nez, une liseuse entre les mains...
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Les Extraordinaires, Tome 3 : La Fournaise
"Si tu comptes raconter des trucs idiots, je suis la personne idéale à qui les dire, lui rappela Nick. Presque tout ce qui sort de ma bouche est débile."
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A Court of Mist and Fury: Rhysand's POV
I let Morrigan winnow us home to Velaris, I felt a hole inside of me close for none to pass through. Close, but a gaping pit remained beneath it waiting for the stitches holding it shut to burst open. I wouldn’t let it. We spent most of this day in quiet silence, content to remain at the townhouse for most of the morning before taking to the streets of Velaris and breathing in the fresh air. We walked for hours, never saying more than was necessary. Her presence was enough. Occasionally, Morrigan would touch my wrist or squeeze my shoulder, but she never pried. Not once. Not until we came home and stood on the rooftop watching the sun begin its descent towards the tips of the horizon. It was nice to stop and be idle for once. A day of walking had wormed a sick, nauseated feeling into my gut that was becoming harder and harder to ignore the longer we went. “Cassian will be here soon,” I said. I stood stiffly with my feet apart and arms crossed over my chest. “Is that a dismissal?” Morrigan said with little inflection. Stay or go, she would accept my request. “It’s never a dismissal. You know that.” She tossed her hair over her shoulder and smirked up at me. “I’ll try to remember that the next time we bicker over dinner or you get invited to a big party in someone else’s court.” “That’s your own doing and you know it.” Morrigan leaned up and kissed my cheek before turning for the door. “Say hello to Cass for me.” Her voice darkened and I felt her grow deadly serious. “He’s worried about you, you know. We all are. Your mask doesn’t fool everyone, Rhys. And this isn’t Amarantha’s court anymore. You needn’t always be so guarded.” “I’m not so su-” “Feyre?” The words died in my throat. The barriers of my mind cracked open like lightning ripping the heavens apart as I saw through her eyes miles and miles away from me. Tamlin was standing feet from Feyre, his arm outstretched towards it as she struggled in vein to convince her to take his offered hand. Help me, help me, help me , she begged - pleaded so pitifully in her mind, her body begging her tongue to make use of the thought and turn it into some kind of action. I saw through her eyes, took advantage of the window she’d opened for me and surveyed the scene. High Fae - hundreds of them - sat around her gawking whilst red rose petals that Feyre couldn’t stop staring at screamed at her from every corner. Blood boiled in my veins. Darkness spilled out of me like waves on a turbulent night sea. I couldn’t see it through the fog I traveled within between our minds, but I could damn well feel it. The bastards. The fucking bastards had recreated her damned trials all over again. With Feyre, I saw them the way she did. This was not an assembly of Prythian’s finest turned out to celebrate a blessed union with her. This was a human standing in a pit of mud and bone and grime while those same people pretending to be her friends now stood around the perimeter of her cage and watched her fight a creature from the bowels of hell itself that she could never hope to kill. This was a girl who had no education, had never learned to read standing before a riddle she could not decipher while her only friend cried out behind her and these fools applauded feet above her head. This was the girl who had stained her soul with blood and death for the sake of the man she loved and earned only the cruel snap of her neck in return. Save me - please, save me. Get me out. End this. This was Under the Mountain all over again. Feyre was relieving it in the full light of day, but this time, the mask was pulled off and she was forced to see it as a blessing. But her happiness, her happy ending... no one moved to help her and the solution sat there dangling before my eyes and I couldn’t move even as my heart tore itself to shreds watching her panic rise to a breaking point. I couldn’t take her future away from her, not unless she - No. Tamlin stepped forward and Feyre recoiled. No - no. That was all I needed. That one little word. That was all I had ever needed. I made my decision. Tamlin might be content to sit idly by and not do anything, but I would not. I would never keep quiet any longer. I would never - could never - let her suffer an eternity like this. I was shamed for how long I’d already let it go on. “Rhys?” Morrigan’s voice became a dull, distant memory in my mind as I winnowed on the spot. I wouldn’t have been surprised if Velaris had been plunged into darkness and storm with the rage that flew off me and swirled itself into thunderous applause as I landed in a cloud of smoke and shadow in the middle of the Spring Court. Starlight flecked the dust around me and when it settled, I stepped out of it giving a brisk shirk to the lapels of my jacket, now formal and elegant compared to the casual tunic I’d worn most of the day. I had no idea of the chaos erupting around me. I spared the guests no thought as my eyes plucked over them one by one like the strings on a violin looking for her. And then, there she was. Standing mere feet away from me. And she was absolutely horrified at my appearance, but I didn’t care. Seeing her there standing in that dress that drowned her out and stole her voice, I felt a flicker of happiness for the first time in months . My mask - that cruel mask of the wicked High Lord of Night hated and despised by all - was fitted tightly around me once more, but after fifty years of wearing it and three months of struggling to remember who I was without it, it felt like a comfort, a road I knew how to navigate that would get me... somewhere. Anywhere that was closer to her. I looked at Feyre dead in the eye and the words sprang immediately to my lips in a rich, soothing purr that felt immediately familiar. “Hello, Feyre darling.” All around me, everyone screamed.
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La Saga d'Auren, Tome 1 : Gild
« Je ne suis que la pouliche préférée du roi. Je n’aime pas cette expression. Je préfère que les gens m’appellent la favorite du roi. Ça sonne beaucoup mieux, même si ça signifie la même chose. »
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La Saga d'Auren, Tome 1 : Gild
« Pas dorée. Pas bronzée. Pas peinte, ni trempée, ni teintée. Ma peau est en or véritable, ce métal chatoyant, satiné et doré… Je suis une curiosité, un objet de convoitise et de rumeur. Je suis la favorite du roi. Celle qu’il a changée en or et qu’il garde dans une cage au sommet de son château, celle dont le corps porte la marque de sa propriété et de sa préférence. Son animal de compagnie doré… Je suis la prisonnière couverte d’or. »
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La Saga d'Auren, Tome 1 : Gild
« Il a gagné ma confiance. Mon amour. Ma loyauté. Sinon je ne serais pas ici, dans cette cage dorée. »
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La Saga d'Auren, Tome 1 : Gild
« Une cage reste une cage, même dorée. »
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Vainqueuse
- Comme les fleuves, les êtres humains ne sont jamais aussi puissants que lorsqu'ils se réunissent, Agésilas.
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Vainqueuse
- Tu as raison, les femmes ne participent pas aux Jeux Olympiques : elles les remportent.
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Twisted, Tome 4 : Twisted Lies
Apparemment, mon réglage par défaut consiste à donner à Stella tout ce qu'elle veut. J’espère que personne ne découvrira jamais cette faiblesse. Ce serait catastrophique pour moi et pour elle.
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Twisted, Tome 4 : Twisted Lies
Stella Alonso a incendié mon monde d'une manière telle qu’il est impossible de revenir en arrière. Il n'y a qu'un avant et un après elle.
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La Reine des enfers
Even kings must bow to Fate, but the sight is delightful nonetheless.
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Gardiens des cités perdues, Tome 8 : Héritages
(Ro) - "..." Surtout s'il apprend que tu passes du bon temps avec d'autres garçons. Et tu veux que je te dise ? ça lui fera les pieds ! On sait tous qu'il a besoin d'une bonne leçon d'humilité. Alors laisse-le se morfondre un peu. (L'ogresse pivota pour faire fasse a Keefe.) Quant a toi, arrête de jouer les froussards ! - À quel sujet ? s'enquit Sophie. - Je ne joue pas les froussards, protesta l'Empathe. Je tiens mon rôle d'ami. - Et ça marche ? contra Ro. - À merveille ! éructa le jeune homme. - Pour sûr, quel bonheur de passer ses nuits à dessiner jusqu'à la crampe, parce qu'on a préféré abandonner sans même tenter le coup ! - Abandonné quoi ? insista la Télépathe. Keefe se jeta de nouveau sur son lit, les mains sur la figure. - J'en ai ma claque de cette conversation ! Page 101, Héritages
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Coven of Bones, Tome 2 : The Cursed
— Mais l’équilibre, protestai-je. — Rien à foutre de l’équilibre. Je préfère laisser le monde brûler que te forcer à faire une chose que tu ne veux pas.
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La Reine des enfers
‘Fine, then I’ll hold your flowers while you tear the world apart,’ he says.
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La Reine des enfers
Why is every single bloody part of me dictated by what men want? Long hair for virgins, short for married women. Even the style: loose hair says you’re a slut, too tight and you’re frigid. Your dress is too short – you look too easy. Your dress is too long – you’re not easy enough. Not enough make-up and men won’t desire you, and what value do you hold if they don’t? Fully made-up and they’ll desire you too much and whatever happens, whatever they do to you, it’s your fault. Gods, everything – right down to my old name – has been decided by men. And what’s worse is that no man has ever told me these rules. They’ve thought them, of course, but it’s my mother’s voice I hear. It’s the voice of the nymphs saying that Daphne wanted Apollo’s attention – she flirted too much. It’s me clutching a sickle and nodding mutely in the hope it keeps me safe. Gods, I could scream because there’s no way out. Literally every decision I make is because of men, one way or another. There were no men on my island and yet I was there because of them.
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Les Extraordinaires, Tome 3 : La Fournaise
Spoiler(cliquez pour révéler)
Gardian
- autrement, dit Nick - était exceptionnellement doué pour tomber. D'un pont. Du toit d'un immeuble. De son lit, même. Aussi n'aurait-il pas dû être surpris quand le conduit d'aération céda sous lui dans un hurlement métallique, le projetant tête la première vers le sol, trois mètres en contrebas.
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La Triade irlandaise, Tome 2 : Moorland
Et qu'est-ce qu'il racontait le camarade Khrouchtchev ? Le cordonnier prend une profonde inspiration et décline, marteau levé au ciel : _ « Ne vous inquiétez pas à propos de votre pain. Chez nous les rats mangent à eux seuls autant de blé que le peuple albanais peut en consommer ! » Résultat, depuis que le Parti a viré les Soviétiques, on crève de faim et si ça continue, on devra se bouffer les mains. _ Tu vois , Ibrahim, tu fais toujours de la politique. _ Non c'est pas de la politique, c'est de l'hypoglycémie.
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