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Vice et vertu



Description ajoutée par serjyo 2015-07-31T15:41:21+02:00

Résumé

Une jeune femme accepte un odieux chantage. Elle s'offre sexuellement à son expert-comptable et ses amis, et les soupçons de détournement de fonds qui pèsent sur elle seront oubliés...

Elle sera la première à se surprendre à aimer les situations de plus en plus perverses demandées par son débiteur...

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Classement en biblio - 9 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par LaurePhilips 2015-08-26T12:40:21+02:00

Chapitre 02/ Passer à la caisse/lundi 1er avril

Je me présentai vers quatorze heures dans les locaux de la société Macchias & Wells, situés en plein cœur de Paris. Monsieur Macchias me fit « poiroter » une bonne heure dans le salon attenant à son bureau, sous les yeux d’une secrétaire « bcbg » à la mine renfrognée et coiffée d’un odieux chignon. Cette mégère me lorgnait de temps en temps d’un air réprobateur. Chaque regard qu’elle décochait m’accusait de tous mes péchés. Je me sentais tellement coupable ! Je fixais vaguement le plafond pour éviter ce supplice, quand une voix très haut-perchée me fit sursauter en m’annonçant que Monsieur Macchias allait me recevoir.

Je réajustai ma jupe jusqu’aux genoux, me levai, et avançai d’une allure empruntée. J’avais peur de perdre l’équilibre à chaque pas. Monsieur Macchias vint à moi, me serra la main d’une poigne très ferme. Cet abruti me fit mal ! Il avait toujours cette même mâle assurance. D’un regard détaché, il me toisa, renforçant mon sentiment de malaise.

— Bonjour, vous allez bien ?

Il en avait de bonnes…

— Bonjour. Ça pourrait aller mieux… mais je fais aller.

— Asseyez-vous.

Je pris place sur un siège au design minimaliste tandis qu’il me faisait face dans un confortable fauteuil « Chesterfield » .

— Avez-vous le livre de comptes ?

— Oui, bien sûr. Le voici.

— J’ai, moi aussi, fait le nécessaire.

Il se retourna, ouvrit un coffre placé derrière lui, y posa le livre que je venais de lui remettre, se saisit d’une chemise cartonnée, referma le coffre et dit en me tendant le document :

— Voici l’ensemble des pièces « manquantes » de votre comptabilité. Elles « régularisent » en quelque sorte la situation. Nous n’avons plus qu’à parapher tous les deux.

Marquant une pause, d’un ton sentencieux qui m’intrigua, il ajouta :

— Je sais que vous mesurez parfaitement ce à quoi vous échappez grâce à ces documents.

Je m’empressai de lui dire :

— Oui ! Oui ! Et je vous en remercie infiniment.

— C’est exactement ce que je voulais entendre, répondit-il d’un ton péremptoire. Mais vous allez faire bien davantage.

Interloquée, je fis mine d’avoir mal entendu.

— Pardon ?

Il se leva de son siège et vint s’asseoir sur l’angle de son bureau. Mi-souriant, mi-menaçant, il me dit le plus sérieusement du monde :

— Oui, vous avez deux options : soit vous acceptez mes conditions, c’est à dire ces documents contre votre petit cul.

Je sursautai, incrédule devant cette proposition indécente. Une colère sourde monta en moi.

— Soit vous vous levez et franchissez le seuil de cette porte, et ferez face à toutes les accusations qui pèsent contre vous.

J’étais stupéfaite. Je n’arrivai pas à encaisser le choc. Je me levai enfin, verte de rage, et hurlai :

— Vous n’êtes qu’un porc !

D’une main puissante posée sur mon épaule, avec une force que je n’imaginais pas, il me fit rasseoir. Il reprit sans se départir de son calme olympien.

— Vous ne croyez pas si bien dire, mademoiselle.

Pour mieux me faire soupeser le poids de chaque mot, il articulait exagérément chaque syllabe. Son regard menaçant complétait parfaitement le fond de sa pensée.

— Pourtant, prenez le temps de la réflexion. Votre colère me parait légitime. C’est une réaction saine et spontanée. Je n’en attendais pas moins de vous. Mais elle est mauvaise conseillère. Réfléchissez à la situation et aux implications d’un tel refus sur votre avenir. Il vous faudra des années pour remonter la pente. Tandis que le marché que je vous propose met fin instantanément à vos problèmes.

Mes tremblements avaient repris, mes tempes bourdonnaient, ma vue s’embrouillait. J’aurais voulu me lever que mes jambes ne m’auraient pas portée. Je me sentais, telle une bête traquée, prise au piège d’un redoutable prédateur.

— Pas la peine de dire oui ou non. Simplement, laisse-toi faire.

Je le vis déboutonner son pantalon, qu’il laissa choir à ses pieds. Il baissa son slip jusqu’en haut des cuisses, dévoilant son sexe qui pendouillait encore, à peine turgescent. Il le prit dans sa main, l’approcha de mon visage. Je sentis son odeur savonnée et musquée à la fois. J’avais sous les yeux le membre de cet individu que je haïssais. Il m’imposa cette présence dont je voulais me débarrasser. Je m’accrochai aux accoudoirs pour enfin me dégager, quand il me saisit par la nuque.

Pour la première fois son gland toucha ma peau. Il le passa sur ma joue, sur mon nez, puis sur mes lèvres que je maintenais serrées. Son sexe gonfla à vue d’œil. J’étais prostrée, assise sur le rebord de ce fauteuil, avec cet homme qui baladait sa verge sur mon visage et parfois la tapotait sur mes lèvres. Il passa sa main sous mon menton et releva sa queue pour appliquer ses couilles sur ma bouche. Avec le contact désagréable de cette masse molle et velue, je pris conscience de la situation, même si elle avait quelque chose d’irréel.

J’étais le jouet sexuel de ce maître-chanteur. Comment avais-je pu laisser ce manège se prolonger ? J’allais mettre fin à ce dégoûtant chantage. A l’instant où je m’apprêtai à dire :

— Non…

Entrouvrant à peine les lèvres, son membre se fit un passage. Comme il tenait encore mon menton, il poussa son avantage jusqu’au fond de mon palais.

Au moment même où je trouvai la force de me délivrer, je pris son pieu dans la bouche. L’idée qu’il puisse penser que j’avais eu envie de le happer me révolta, mais il baisait ma bouche et je ne fis plus rien pour l’en empêcher. C’est un fait.

Une main sous mon menton, l’autre sur ma nuque, je subissais ses coups de reins de plus en plus volontaires. Je mesurais sa vigueur, sa force et son envie grandissante. Je réalisais que son sexe était long et noueux. C’était le plus gros que j’avais eu l’occasion de sucer.

— Tu vois que c’est pas si dur de sucer une queue, avec tes airs de « Sainte-Nitouche », qui aurait cru que tu ouvrirais tes lèvres à mon gros chibre ?

Son mouvement était de plus en plus ample et il s’enfonçait de plus en plus loin dans ma gorge. Je mis une main sur son ventre pour le retenir.

— Oui ! Touche-moi ! Caresse-moi les couilles.

Comme je ne bougeais pas, il prit mon bras, me saisit au poignet et glissa ma main à hauteur de ses couilles. Malgré moi, j’acceptai ce contact. D’abord immobile, je me contentai de les laisser frotter sur la paume de ma main. Elles étaient lourdes et douces. Après les avoir flattées de la sorte de longues minutes, mes doigts se resserrèrent sur elles.

Il avait lâché mon visage pour glisser une main dans chaque bonnet de mon soutien-gorge. Ses mains chaudes sur ma peau me firent frissonner et immédiatement mes pointes se dressèrent. Ce détail ne pouvait lui échapper et ses doigts pincèrent les extrémités de mes seins. Je les ai malheureusement très sensibles. Comme si je lui avais tout révélé de mes goûts en la matière, il les énerva de la plus délicieuse des façons.

Ma main glissa de son ventre vers son pubis pour atteindre la base de son sexe. J’en faisais à peine le tour entre le pouce et le majeur. Par cette prise, je voulais retenir sa furie à baiser ma bouche, mais cette initiative révéla que j’avais pleinement accepté la situation. J’étais désormais une victime consentante.

Je me dis qu’une pipe lui suffirait et que finalement ce n’était pas « la mer à boire ». C’est le moment qu’il choisit pour décharger dans ma bouche.

Quand il m’assena ses derniers coups de boutoir avec une incroyable vigueur, ma langue se fit la plus douce possible, jouant délicatement avec sa hampe, tandis que mes lèvres serraient sa verge.

— N’en perds pas une goutte !

Sa semence se répandit à gros bouillons, tapissant ma bouche où coulissait encore son membre. Un long filet s’échappa de la commissure de mes lèvres et coula sur mon genou avant de poursuivre sa dégoulinante dégringolade jusque sur mes chevilles.

— Allez ! Avale !

Je n’avais jamais eu une telle quantité de sperme en bouche. Je dus déglutir trois fois pour tout avaler.

La colère avait laissé place à un sentiment mitigé. Je me sentais penaude d’avoir accepté sa proposition, et, en même temps, j’avais éprouvé le frisson de la transgression d’un interdit. Je devais admettre avoir pris du plaisir à sucer une autre queue que celle de Paul.

— Tu as vraiment une belle bouche, Alexandra, et tu t’es montrée très zélée.

Il reprit le manège du départ en baladant sa queue encore dure sur mon visage.

— Regarde-moi.

Pour la première fois, je levai les yeux sur lui. J’avais un sentiment de honte et je crois que j’ai rougi. Il me dit :

— Tu es adorable. Tu aimes ma queue ?

Je ne répondis pas.

— Est-elle plus grosse que celle de ton mari ?

Toujours plongée dans mon mutisme, il m’ordonna :

— Allez ! Réponds !

Je murmurai :

— Oui.

— Plus fort ! Je n’entends rien.

— Oui, elle est plus grosse.

— Bien. Alors maintenant lève-toi.

Il me saisit par le bras. J’accompagnai le mouvement. Je lui dis :

— Vous avez eu ce que vous vouliez. Maintenant laissez-moi partir !

— Tu plaisantes ? C’est toi que je veux, et je vais te prendre, ici et maintenant.

Disant cela, sa main passa derrière ma cuisse. Il remonta ainsi ma jupe en me caressant, jusqu’à saisir fermement ma fesse gauche. Il me plaqua contre lui, baissa son visage vers le mien et posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue cherchait déjà le passage et je cédai enfin.

Il me fouilla tellement avec sa langue que je me sentis déjà prise par la bouche et pénétrée par avance. Sa main glissa sous mon string, il palpa mon cul et ma fente. Tous ses gestes étaient d’une impudeur totale. Et pourtant, je sentais que je n’avais d’autres choix que d’accepter.

Bien sûr, j’avais été contrainte et forcée mais quelque chose de troublant se rajoutait à ce que je vivais. Totalement dominée, totalement soumise à sa volonté, je découvris un plaisir d’un genre nouveau. Je ne l’analysai pas, je me laissai simplement aller et obéis à chacune de ses injonctions.

— Mets tes mains sur le bureau et cambre-toi.

Je m’exécutai. Il se plaça derrière moi, releva ma jupe au-dessus de mes fesses, baissa mon string à mi-cuisses. Sa main explora méticuleusement mon intimité. J’étais sur le point de défaillir de plaisir à cette caresse, quand je sentis son souffle chaud sur mon abricot. Sa bouche le goba entièrement. Sa langue fouilla ma fente comme elle l’avait fait pour ma bouche. Je jouis en l’espace de quelques secondes, poussant un cri de plaisir qui emplit toute la pièce.

Je m’affalai sur le bureau, renversant une pile de documents. Encore une fois, la honte me submergea, il était impossible que la secrétaire n’ait pas entendu tout ce vacarme. J’avais joui si fort !

Je ne m’étais pas encore remise de mes émotions que sa trique m’empala jusqu’à la garde. Encore une sensation nouvelle, celle d’être totalement emplie. Ses mains agrippées à mes hanches, il me culbuta sans ménagement sur son bureau.

— Tu aimes ça ?

— …

Je me contentai de ressentir ses assauts en gémissant.

— Dis-moi que tu aimes.

— Oui, j’aime.

— Elle est bonne ma queue ?

— Oui.

— Redis-le.

— Oui.

— Non. Dis-moi : « Elle est bonne ta queue ». Je veux entendre ces mots dans ta bouche.

— Oui. Elle est bonne ta queue.

— Elle va plus loin que celle de ton mari ?

— Oui.

— Dis-moi qu’elle est meilleure que la sienne.

— Oui.

— Non, je veux entendre une phrase.

— Oui, elle est meilleure que la sienne.

— Comment s’appelle-t-il ton mari ?

— Paul.

— Dis-moi que tu préfères ma queue à celle de Paul.

— Oui, je préfère ta queue à celle de Paul.

— Tu es une belle salope. Dis-le-moi !

— Oui, je suis une salope.

— Tu n’as pas honte de te faire baiser comme une chienne en pensant à lui.

— Si…

Je perdis tout contrôle. La brûlure de plaisir grandissait, enflait démesurément, jusqu’à l’explosion.

— Aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh ! Je jouis !

Jamais je n’avais joui dans cette position ! Je venais de connaître une extase incroyable, faite de sensations physiques intenses mêlées de culpabilité.

Pourtant, pas le temps de souffler, il continua de me défoncer de plus belle. Hors d’haleine, j’aurais voulu savourer ma jouissance, mais, tel un beau diable, il harponnait mon con. Je sentis un doigt sur ma rosette. Il l’avait palpée tout à l’heure, et revint à la charge dans cette position où elle était offerte à sa vue.

— Tu vois, quand on baise une salope comme toi, la fête n’est pas totale si on ne l’encule pas.

— Non ! Pas ça !

— Tais-toi. Tu ne bouges pas. Tu serres les dents et tu m’offres ton cul. Souviens-toi, c’est ton cul que je veux. C’est notre marché.

Je l’entendis cracher sur mes fesses et tandis qu’il me baisait avec moins d’application, je le sentis se concentrer sur mon anus. Il le graissa méthodiquement avec deux doigts. Il s’y prit de mieux en mieux et la coordination devint parfaite. Après deux minutes de ce traitement, j’explosai de jouissance une nouvelle fois. Sa queue, ses doigts, ses mots, la situation… tout amplifia mon orgasme.

Orgasme ! C’est ce mot qui me vint à l’esprit. Mes jouissances avec Paul étaient plus ou moins intenses et je croyais réellement avoir connu l’orgasme avec lui. Mais, à cet instant, je pris conscience qu’il n’en était rien. Je venais de connaître le premier.

J’étais sa chose. Il le savait. Quand je pensai la première fois être à sa merci, je n’entrevoyais pas la suite. A cet instant, je mesurai la portée de mes paroles.

Allongée sur son bureau, embrumée de plaisir, le cul dilaté par ses doigts, je sus que j’allais subir l’ultime outrage. Son gland se plaça à l’entrée de mes fesses. Il marqua une pause et me dit :

— Demande-moi de t’enculer.

Et ces mots que je n’aurais jamais pensé prononcer vinrent le plus naturellement du monde.

— Oui, encule-moi.

— Dis-moi que tu en as envie.

— Oui, j’en ai envie.

— Encore.

— Encule-moi. J’en ai envie.

Sa queue se fraya un chemin, centimètre par centimètre, dans mon cul, jusqu’à ce que ses couilles se plaquent sur ma chatte. J’étais prise jusqu’à la garde et je trouvais la sensation agréable. Il me pilonna en variant le rythme, tantôt accroché à mes hanches, tantôt agrippé à mes fesses. Puis, il saisit mes épaules et me redressa.

— Tu aimes ça ?

— Oui, j’aime.

— Touche-toi.

Je glissai immédiatement une main sur ma chatte pour exciter mon clitoris. Il était presque douloureux. Je sentis mon bourreau au bord de l’explosion.

— Dis-moi que tu as envie de recommencer encore d’autres fois.

— Oui.

— Tu viendras te faire enculer ici chaque semaine ?

— Oui.

— Tu es ma petite salope maintenant.

— Oui, je suis ta petite salope.

J’ai joui en proférant ces insanités. J’ai senti son sperme chaud se répandre au fond de moi. Il s’est affalé de tout son poids sur mon corps. Nous sommes restés imbriqués l’un dans l’autre quelques minutes. Il débandait lentement et mes fesses expulsèrent son membre ramolli.

Il fut le premier à se ressaisir. Il remit mon string qu’il fit claquer sur mes fesses, abaissa ma jupe, me releva. Je sentis le sperme qui s’écoulait lentement le long de ma cuisse. Il déposa un baiser sur mes lèvres.

— Je vous en prie, asseyez-vous.

Sans prendre la peine de remettre son pantalon, il s’assit sur son fauteuil et, comme si de rien n’était, commença à parapher les documents. Il me les tendit pour que j’en fasse de même. Je trouvais la scène assez surréaliste. J’avais encore les chairs dilatées de ses assauts et il expédiait les affaires courantes ! Toujours décontenancée, je paraphai et signai. Il prit congé de moi en disant :

— Je vous ferai signe sous peu. Vous avez encore le volet fiscal à régler. Mais là aussi, un arrangement est possible.

Je rougis jusqu’aux oreilles. Encore une fois, je me demandai comment j’avais pu accepter de m’abaisser à ce point.

— En sortant, vous passerez voir ma secrétaire, madame Gatie. Elle devra tamponner chaque document.

Il se leva, revint vers moi, me prit la main, la plaça sur son sexe. De l’autre, il passa sous ma jupe et me palpa jusqu’à glisser un doigt dans chacun de mes trous. Il m’embrassa à pleine bouche. Et comme l’aurait fait un éleveur parlant de sa pouliche en lui tapotant la croupe, il se fendit d’un petit compliment :

— Vous êtes extra ! Tout en me faisant comprendre du geste que je devais prendre congé.

Les cheveux ébouriffés, encore dégoulinante de sperme, sentant le foutre à dix mètres, je déposai au passage les documents sur le bureau de sa secrétaire. Elle m’accueillit avec un petit sourire en coin, prenant tout son temps pour apposer son cachet sur chaque feuillet. Elle me toisa de la tête aux pieds, comme pour découvrir la trace de chacun des outrages que j’avais subis. En me tendant la chemise, elle me dit :

— Vous trouverez un WC et une salle d’eau en face de mon bureau.

Ce fut ma dernière petite humiliation avant de quitter ce bureau.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Fannyanka 2019-06-27T02:19:42+02:00
Bronze

Dommage qu'il n'y est pas de suite. L'histoire est bien mais la fin laisse présager un tome 2 qui n'existe pas

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Commentaire ajouté par DianeBM 2015-12-12T15:43:12+01:00
Argent

Le déroulement de cette histoire est très très inattendu...

On passe par toute sorte d'émotion durant la lecture parfois même par de la gène... Le neveu et ses copains...

On sent que ce personnage s'ennuyait dans sa vie mais il lui a fallu peu de temps et surtout aucune volonté pour "échapper" à son nouveau comportement !

Mais le livre se lit très vite...

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Commentaire ajouté par serjyo 2015-07-20T22:39:40+02:00
Argent

Très bien écrit. Semble t il tiré d'une histoire vraie... Un délice de décadence...

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