Le réseau Papillon, Tome 1 : Aux arts, citoyens!

Bonjour !

On se retrouve aujourd’hui pour parler d’une BD historique portant sur le thème de la Seconde Guerre Mondiale.

Vous l’avez maintenant remarqué, c’est vraiment une période que j’adore, je la trouve vraiment -historiquement parlant- intéressante.

Ici, c’est une intrigue fictive qui suit un groupe d’adolescents : Gaston, Bouboule, Doc, Elise qui ont décidé de défendre leur pays malgré leur jeune âge. Ainsi, ils vont tout faire pour contrer les projets des nazis !

C’était une lecture sympa, l’histoire plutôt intéressante. Idéale pour faire découvrir cette période aux plus jeunes ! Et aux moins jeunes.

Le graphisme est très joli, malgré le contexte, les couleurs vives étaient très jolies.

Je lirai avec plaisir le tome 2.

Le thème de la préservation de l'art pendant la Seconde Guerre mondiale est intéressant. J'ai particulièrement apprécié l'aspect instructif du petit documentaire à la fin de l'œuvre. Malgré la beauté des illustrations, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages et à apprécier la cohésion dans le groupe. De plus, le scénario m'a semblé peu crédible. Malheureusement, cette œuvre a souffert de la comparaison avec une autre saga du même genre.

Une histoire qui a un peu de mal à décoller. Pourtant, les quatre protagonistes n'ont pas l'air désagréables - même si Gaston joue un peu aux petits chefs, et qu'à la place d'Elise, je lui en aurais déjà mis une. L'intrigue n'est pas inintéressante non plus, même si pas très originale. Mais le tout reste tiède et a du mal à nous faire accrocher ... C'est quand même intéressant pour les jeunes pour aborder le vol des oeuvres d'art par les nazis pendant la guerre.

Une BD au dessin agréable à regarder. La disposition des bulles n'est pas facile à comprendre, ce qui pose des problèmes de lecture et de compréhension de l'histoire.

Je connaissais l'histoire des tableaux, mais ce ne doit pas être forcément le cas des jeunes lecteurs. C'est donc une idée simple et intéressante pour les informer des hauts faits de la résistance sans les barber.

D'ailleurs, les éléments historiques donnés en fin d'ouvrage complètent efficacement le propos de la BD.

Avec plus de logique dans la disposition des bulles, ça aurait pu être un ouvrage à recommander.

Étant fan d’Histoire, je suis souvent attirée par les ouvrages historiques comme celui-ci et c’est ce qui m’a poussée vers cette BD. Mais bon, il était décevant. Un groupe de jeunes amis qui se lance dans la Résistance contre l’Occupation allemande, c’est du déjà vu. En général et même dans le 48h BD puisqu’une autre dans le genre a été proposée l’année dernière (Les Enfants de la Résistance par Benoît Ers et Vincent Dugomier) qui était, pour moi, bien meilleure.

L’avenir de la relation entre Gaston et Élise est bien trop prévisible, aucun des personnages ne présente un petit soupçon de mystère et j’ai essayé, en vain, de ne pas lever les yeux au ciel en lisant les noms de code de chacun…. Caricature et compagnie ! Le petit leader qu’on surnomme « Chef« , l’intello « Doc« , la fille « Princesse » et le clou : le gamin en surpoids « Bouboule« . Je ne lève plus les yeux au ciel mais l’exaspération est bien là.

(La suite de ma critique ici: https://tamtaminwonderland.wordpress.com/2019/04/09/le-reseau-papillon-par-nicolas-otero-2018/)

J'suis un peu déçue quand même...

Le thème de la résistance dans les BD jeunesse, c'est pas forcément très original, on en connaît déjà pas mal, mais il suffit que ça soit bien fait pour que ça passe.

Or là... Eh bien, cest pas vraiment le cas, c'est banal, et quelconque.

Pourtant, l'idée de mettre en avant l'art et de le prendre comme objet de résistance, ça aurait pu être vraiment sympa.

Mais au bout du compte, on a une intrigue qui peine à se mettre en place, plutôt ennuyeuse avec un déroulement des plus prévisibles et simplistes, et des personnages caricaturaux.

En plus, j'adhère pas du tout au style des dessins...

Bref, un premier tome qui ne m'a pas du tout convaincue.

Cette Bd jeunesse est parue récemment, en 2018, et à mon sens, bien que relatant une période pertinente, manque cruellement d'originalité. Déjà, pour ceux qui sont des lecteurs de BD historiques, "Le réseau Papillon" est un claque majeur de la BD "Les enfants de la résistance", ce qui aurait pu aller, mais également de la BD "La guerre des Lulu". Ajoutez une bonne dose de stéréotypes et le compte est bon.

Quatre enfants, donc, affublés de "Nom de code" aussi cliché que laisse supposer leur physique, se sont organisés un QG secret dans une cabane perchée ( La Guerre des Lulu) et font parti de la Résistance française contre les envahisseurs allemands ( Les enfants de la Résistance).

"Chef" ( Nom civil: Gaston) n'a pas volé son nom, c'est le leader, beau, intelligent, qui ressemble à Sasuke Uchiha de "Naruto" avec la gentillesse qui sied au protagoniste, néanmoins. Et ce petit meneur a bien sur le béguin pour la seule fille du groupe, Élise , alias Princesse, une version miniature de Élise, rouquine magnifique de la série "Assassin"s Creed". N'allez pas croire qu'elle en a la personnalité, oh ça non! Élise est soumise, ne peut même pas choisir son propre nom de code et concrètement de sert à rien. Incroyable de voir qu'une BD historique reproduit le stéréotype féminin le plus archaïque de l'Histoire. Puis, parce qu'il en faut bien un, nous avons Edmond, alias Doc ( tiens, Emmett Brown!) qui bien sur porte des lunettes et sait out sur tout. Et parce qu'il faut bien un quatrième à ce quatuor, on a mit "Bouboule", faire valoir des trois autres, avec sa manie de grignoter qui le rend si "rond". ( soupir) Ouais, on ne fait pas dans la fraicheur avec ce quatuor et ce d'autant que leur archétype propre, à savoir "Le beau gosse boss-des-bécosses", "la belle-fille-de-service", "le génie-à-lunette" et "le-gars-ordinaire-gaffeur", constitue à peu de choses prêt leur personnalité. Ils manquent de relief, de profondeur. On les voit venir à des kilomètres. Donc, c’est très surfait.

Puis, l'histoire, qui reprend celle des "Monuments Man", mais du côté des villageois. Si on comprend l'enjeu, l'action elle manque de fluidité et de clarté. Et j'avais l'impression dérangeante de relire "la guerre des Lulu" avec leur cabane dans les arbres, puis le trio des "Enfants de la Résistance" avec leur conspiration secrète avec la Résistance adulte de leur petit village français. Donc, si je résume, il n'y a rien de nouveau dans cette BD! Je me demande comment les auteurs ont pu penser innover avec tout ce déjà-lu.

Le tout manquait donc de personnalité et de substance. Je suis très déçue. Le quatuor n,a pas la vive intelligence des "Enfants de la Résistance", ni la débrouillardise des Lulus. En fait, je ne saurais dire ce qu'ils ont, hormis le désir partagé de tous les français de botter le cul des allemands hors de France, mais ça n'a rien de très unique. Et je dois souligner que dans les BD jeunesse historiques relatifs à la seconde guerre mondiale, généralement, on y dénonce quelque chose, des abus, des traitements injustes, des vérités cachées, des vérités oubliées, bref, des éléments susceptibles de nourrir notre quête de compréhension de ce pan de notre Histoire ou à tout le moins nous renseigner. C'est en tout cas généralement le propre de la BD Historique. Ici, la seule chose de vraiment nouvelle que j'ai pu constater est le fait que les allemands allaient à l'Église avec les Français, puisque leur religion est la même. Ce devait être asse tendu! J'ai aimé cet élément de l'histoire dans la BD.

Mais bon, si vous n'avez jamais lu "Enfants de la Résistance" ou "La Guerre es Lulu", il est possible que cette Bd ait donc une grande pertinence. Mais le reste demeure un peu plat, même le dessin, qui manque d'expression et le scénario, qui est un peu boiteux. Les couleurs sont bien, pour leur part.

Au final, si j'en sors vraiment peu convaincue, je vais toutefois me pencher sur les deux autres, juste pour leur sujet. Le quatuor a peu être décevant et stéréotypé, peut-être que leur aventures touche un pan d'histoire jamais exploité en BD, alors je me dois de vérifier.

Ce premier album de cette saga destinée aux plus jeunes historiens, se déroule durant la deuxième guerre mondiale. Un groupe d’adolescents vont se prendre au jeu de la résistance et tenter de participer non pas de sauver des vies, mais de sauver des oeuvres d’art spolier par les nazis.

Le récit est lent, pauvre, et mis à part quelques notions historiques intéressantes, il reste juste une histoire basique sans intérêt. Les rebondissements sont fragiles et trop prévisibles. L’histoire linéaire n’est pas passionnante malheureusement.

Graphiquement, c’est correct. Très adapté au public avec des visages qui manquent d’expression, mais l’ensemble reste malgré tout très bien travaillé.

Ce premier album est très décevant.

Beau dessin mais histoire de guerre donc pas trop mon genre.

Une bande dessinée qui nous raconte l'histoire de jeune ado pendant la seconde guerre mondiale. Bien pour les enfants pour apprendre l'histoire