Ray Bradbury
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Note moyenne : 7.56/10Nombre d'évaluations : 1 873
6 Citations 899 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Lecture difficile au premier abord mais très poétique
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Comme pour le roman de George Orwell : 1984, un classique de la science fiction mais je suis passé complètement à côté. L'histoire est intéressante et troublante mais je n'ai malheureusement pas accroché.
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Les Chroniques martiennes ne sont en aucun cas un livre de science-fiction traditionnel. Il s'agit d'une œuvre de littérature à part entière qui rappelle Poe ou Maupassant.
Ce livre enchaine les nouvelles dont la trame de fond est la planète Mars. Chacune de ces histoires présente des singularités marquantes. Elles portent un profond regard critique sur l'humanité.
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Une idée brillante, mais mal exploitée. Les personnages eux-mêmes manquent de vie mais c’est peut-être l’atmosphère dystopique qui exige cela. Ce que Ray Bradbury fait à merveille, en revanche, c’est dépeindre le marasme de la pensée sous les assauts de la technologie, du virtuel et du divertissement prêt à consommer. Il semble évident que l’esprit humain s’abandonne docilement à ce qu’on lui fait ingurgiter, à grand renfort de confort et de possession (ce point précis devait être encore plus percutant lorsque le livre fut publié, en 1953).
Le bilan reste très positif, puisque la plume de Bradbury nous embarque avec sincérité dans une dystopie ou la drame le dispute à l’espoir. La mémoire de notre espèce ne serait pas totalement perdue du moment qu’une poignée d’entre nous aurait à cœur de l’entretenir ? Puisse cette conclusion éveiller certains de nos contemporains, et les inciter à ouvrir quelques bouquins !
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Ce roman dystopique conte l'histoire de Guy Montag, un pompier qui doit brûler des livres, comme tous les pompiers de ce monde où règne un régime totalitaire. De tous les romans dystopiques que j'ai pu lire dans ma courte vie, celui-là rentre dans les cases : un monde semblant futuriste, car nous vivons dans une saucisse, contrôlant, duquel le héros se réveille, se rendant compte qu'une autre réalité existe ailleurs. Spoiler(cliquez pour révéler)Montag parvient d'ailleurs à quitter la ville et rejoindre une communauté de bibliophiles
Je conseille ce livre de littérature dystopique, stopique, Beatty, t'es un super bon personnage.
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J'attendais beaucoup de ce livre, compte tenu de sa réputation et de son classement régulier dans les meilleures dystopies, mais je suis ressorti de cette lecture très déçu. Peut-être suis-je passé totalement à côté, en voyant les commentaires élogieux et les bonnes évaluations, mais je n'ai pas été transporté par le livre. Je trouve que le monde dans lequel le récit prend place n'est pas assez développé, ce qui est quand même dommage pour une dystopie (du moins c'est que je recherche en priorité), et le récit bien trop rapide, on ne prend pas le temps de mettre en place les choses pour amener progressivement à la prise de conscience du personnage principal, que je n'ai trouvé ni pertinent ni attachant. Si l'aspect psychologique du roman est bien développé à défaut de se concentrer sur le monde en lui même, cela ne pose aucun problème, mais ici ce n'est pas non plus maîtrisé comme ça l'est, par exemple, dans la Kallocaïne de Karin Boye. Par ailleurs, je n'ai pas non plus été convaincu par la plume de l'auteur qui n'a pas su me captiver. Le livre est trop court, il aurait bien mérité 100-150 pages supplémentaires à mon sens, et très inégal entre la première partie avec Clarisse très intéressante, la deuxième beaucoup moins, et la troisième un peu entre les deux. Les questions soulevées par le livre restent intéressantes et constituent son point fort, mais je m'attendais à beaucoup plus d'un livre si acclamé. L'exécution n'est pas à la hauteur de la brillante idée de départ, et c'est vraiment dommage. Certaines personnes me l'avaient vendu comme étant meilleur que 1984... mais l'œuvre d'Orwell reste bien mieux réussie et pertinente.
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D'habitude je ne lis pas ce genre de livre, mais j'ai été scotché par celui-ci.
Je conseille !
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A la science fiction se lie une critique habile de notre société dont les arguments restent vraies aujourd’hui et probablement demain encore.J'avais un peu peur que le livre ait mal vieilli, mais très honnêtement, j'ai été emporté par le héros, ses remises en questions, ses interrogations, son nouveau chemin... C'est une écriture que j'ai trouvé légère, poétique, et pleine de réflexion, j'ai voyagé dans un monde parallèle... que j'espère ne jamais connaitre ici..
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Un récit dystopique qui finalement n'en est peut-être plus un aujourd'hui, tant il se rapproche de la réalité. Ray Bradbury serait-il allé faire un tour dans le futur ?
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Avec Ray Bradbury on s'évade et on réfléchit dans ce monde futur tantôt poétique, tantôt onirique, tantôt philosophique.
Les nouvelles s’enchaînent les unes aux autres, parfois très courtes, parfois longues, pour nous narrer la conquête de Mars par l'homme.
On retrouve toutes les qualités du grand Ray, avec certaines nouvelles qui atteignent des sommets. Certaines nouvelles sont un peu plus ternes en comparaison mais l'ensemble reste de très haute volée.
Je n'ai pas mis la note maximale car j'ai trouvé que l'auteur utilisait de façon un peu trop visible l'ensemble des nouvelles pour arriver là où il voulait arriver (ce qui fait que le message général de l'ensemble tient un peu trop de la démonstration alors que le manichéisme n'est pourtant pas la marque de fabrique de Ray Bradbury).
Afficher en entierOn parle de Ray Bradbury ici :
2020-03-14T19:19:59+01:00
2018-09-30T13:28:11+02:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2017-10-31T01:23:30+01:00
2017-02-18T18:35:11+01:00
2017-02-15T11:50:56+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Ray Bradbury
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Denoël : 91 livres
Gallimard : 29 livres
Gallimard Jeunesse : 11 livres
LGF - Le Livre de Poche : 9 livres
Flammarion : 6 livres
France Loisirs : 3 livres
HarperCollins Children's Books : 3 livres
Casterman : 3 livres
Biographie
Né en 1920 et mort en 2012, Ray Douglas Bradbury est écrivain américain, référence du genre de l’anticipation.
Il est célèbre pour ses nombreuses œuvres de science-fiction, ayant une préférence pour l'anticipation (sous-genre de la science-fiction). Il est particulièrement connu pour les "Chroniques Martiennes", écrites en 1950, "L'homme illustré", un recueil de nouvelles écrit en 1951 et surtout pour son roman de dystopie: "Fahrenheit 451", publié en 1953. En 1954, il reçoit le Prix Hugo du meilleur roman.
Il est également l'auteur des "Pommes d'Or du Soleil".
Ray Bradbury a aussi écrit sur la survie spirituelle de l'humanité, s'opposant au matérialisme de la société (notamment un des thèmes de "Fahreinheit 451").
Un prix a été créé en 1992, en son nom, qui récompense l'excellence d'une oeuvre dramatique présentée au cinéma, à la télévision, sur internet, à la radio ou encore au théâtre. Il est décerné par un regroupement d'auteurs de science-fiction, le "Science-fiction and Fantasy Writer of America". Ce prix remplace officiellement celui de "Nebula du meilleur scénario" qui datait de 1973.
En 2002, il reçoit la médaille de la "National Book Fondation", puis le 1er avril de la même année, l'auteur se voit attribué la 2193ème étoile du "Walk of Fame" à Hollywood. Le 22 août 2012, la NASA nomme en son honneur l'atterrissage effectué par le robot "Curiosity" sur Mars: "Bradbury Landing" ("Zone d’atterrissage Bradbury").
Ray Bradbury est un maître incontesté du récit de science-fiction, bien qu'il ne se soit pas considéré comme un écrivain centré sur un genre. Il estime lui-même avoir plus écrit de romans de fantasy que de science-fiction.
Ray Bradbury a écrit sur la survie spirituelle de l’humanité s’opposant au matérialisme de la société. Bien qu’il ait souvent été présenté comme un écrivain de science-fiction, Bradbury lui-même ne s’est jamais enfermé dans un type de narration : « Avant tout, je n’écris pas de science-fiction. J’ai écrit seulement un livre de science-fiction et c’est Fahrenheit 451, fondé sur la réalité. La science-fiction est une description de la réalité. Le fantastique est une description de l’irréel. Donc les Chroniques martiennes ne sont pas de la science-fiction, c'est du fantastique ». Bradbury se préoccupe peu de réalité scientifique, et pour cela fut peu reconnu des amateurs américains de SF « pure et dure »
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