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Bernard Prince, tome 6 : La Loi de l'ouragan



Description ajoutée par camillel54 2010-07-09T19:46:50+02:00

Résumé

En escale à Tago-tago dans le Pacifique, Barney rencontre une vieille connaissance de l'équipage du cormoran : El Lobo, le colosse du Coronado. Celui-ci leur explique qu'il a gagné aux cartes une pêcherie de perles et qu'il vient exploiter son nouveau bien. Seulement les indigènes de l'île, employés comme plongeurs et manipulés par le sorcier du coin ne l'entendent pas de cette oreille. Une murène géante décime leurs rangs là où ils plongent et ils pensent que le nouveau propriétaire veut les y envoyer de force.

Bernard Prince va bien sûr aider El Lobo quand soudain, un ouragan se lève...

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Lu aussi

Pas besoin de longs commentaires comme certaines personnes peuvent le faire pour vous dire que c'est un très bon tome de Bernard Prince et de ses amis. le dessin est toujours aussi parfait et en adéquation avec les couleurs pour parfaire une histoire dans le vent de l'ouragan et de ces iles paradisiaques quand le calme est revenu...

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Lu aussi

♫ Comme un ouragan, la tempête en moi, a balayé le passé. ♫ Allumer ma vie, c’est un incendie, qu’on ne peut plus arrêter. ♪

Mes excuses à tout ceux et celles qui vont chantonner ces paroles hautement intellectuelles durant toute une partie de la journée.

Dans une aventure de Spirou et Fantasio, la murène dont on parlait était en fait le surnom d’un bandit, un voleur (Le repaire de la murène, tome 9), mais ici, dans Bernard Prince, nous sommes face à une grosse bêbête pas commode du tout.

Elle attaque les plongeurs, elle les dévore… Oui, quand murène fâchée, elle toujours faire ainsi.

Une fois de plus, on a le souffle de la grande aventure, celle avec un grand A, le tout mâtiné d’exotisme.

Un vieil ami à Barney Jordan a gagné au jeu un tiers d’une exploitation d’huitre perlière, mais à cause du gros serpent de mer pas commode, les perles, on les enfile car impossible de plonger, sauf à vouloir jouer à Jonas dans le ventre de la murène, puisqu’on n’a pas de baleine.

L’inconvénient, ou l’avantage, dans les albums de Bernard Prince, c’est que les gentils gagnent toujours, ne se font pas tuer et que bien souvent les méchants sont punis, par la justice ou par la grande faucheuse, qui, comme ici, fera intervenir son bras armé qu’est la nature en déclenchant un ouragan qui va dicter sa loi.

Je ne spolie rien, tout est dans le titre…

On comprend bien les motivations du méchant, elles sont claires, elles sont habituelles (de toute façon, il n’y en a pas 36.000) et on comprend encore mieux la manière de réfléchir des autochtones qui, avec de l’alcool et de beaux discours, deviennent aussi enragé qu’une murène affamée.

Avec Prince, au moins, on ne sort pas les flingues pour tirer sur la foule en délire, pas de balle en caoutchouc ou autre matière lancée à bout portant, juste la bonne vieille technique de la pèche au moules et hop, tout rentre dans l’ordre.

Alors oui, c’est assez simpliste, c’est bourré de bons sentiments, comme Bernard Prince qui plonge pour sauver de la noyade le mec qui lui tirait dessus avant (moi, pour ma part, hein… *sifflote*) et qui va leur filer un coup de main pour mater la bestiole.

Et oui, même si le dessin de Bernard en maillot ne nous rend pas rêveuse et qu’il ne lui rend sans doute pas justice sur ce qu’il a dedans, je peux vous assurer qu’il en a des grosses pour oser aller affronter la bête dans son antre. Bon, l’eau devait être froide, aussi, et ça a dû rétrécir… Je ne vous apprends rien, messieurs.

Sur cette tirade un peu limite, un peu coquine, très en dessous de la ceinture, je vous rend l’antenne, tout en vous conseillant, si un jour vous tombez sur la saga de Bernard Prince, de la découvrir et d’être indulgent avec, car elle correspond à ce qui se faisait dans les années 70 (60+10) en matière de bédé jeunesse où le Bien devait triompher du Mal en toute occasion.

Malgré tout, elle reste assez en avant sur son temps dans le politiquement pas toujours correct puisque nous avons un jeune garçon qui voyage en mer avec deux hommes, sans aller à l’école et un marin d’eau salée qui carbure à l’alcool et ne dit jamais non à une bonne bagarre.

Bref, Bernard Prince, c’est de l’Aventure, de la détente, les beaux dessins d’Hermann (cocorico, c’est un Belge) et mon seul bémol pour cet album concernera sa fin un peu abrupte ou en quelques cases on résout tout le problème et où un ouragan avait déjà tout résolu aussi…

♪ Comme un ouragan, qui passait sur moi, l’amour a tout emporté.

Dévastée nos vies, des rêves en furie, qu’on ne peut plus arrêter. ♫

Juste par pur sadisme…

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Argent

Nouveau décor pour nos globe trotters : la Polynésie et les fonds sous-marins. Et à nouveau, Hermann s'en sort plus qu'honorablement pour faire culminer son talent dans les scènes d'ouragan finales.

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