Un énorme coup de cœur qui m’a pourtant fait si mal au cœur…

J’ai mis du temps à poser les mots sur cet avis, car je pense l’avoir adoré presque autant que j’ai pu le maudire!

J’ai aimé cette histoire, profondément, mais j’ai détesté la douleur que j’ai pu ressentir. J’ai succombé à la plume de l’auteure, bien que j’aurais préféré qu’elle ne me fasse pas tant d’effet…

C’est une lecture dont on ne peut ressortir indemne. Une lecture sublime, qui se fait au fil de sanglots étouffés, entrecoupés d’éclats de rire qu’on ne voit pas arriver… Parce que oui, j’y ai pleuré en riant, j’y ai ri en pleurant!

Un roman dont la puissance des sentiments n’a d’égal que l’intensité des émotions qui vous submergent, qui fait passer par mille sensations, au gré des mots et de leur maux.

Une romance compliquée mais tellement belle, où les non-dits et les secrets sont autant de grains de sable qui enrayent l’engrenage de leurs vies.

Une histoire d’amour, de tous les amours. Le passionnel et passé sous silence d’un premier coup de foudre. Le fusionnel d’une amitié hors norme, qui perdure par delà la mort. Le fraternel qui malgré les tourmentes n’a jamais cessé d’exister. L’inconditionnel d’une mère pour son enfant, prête à tout pour la protéger, jusqu’à s’oublier…

Un récit où chacun peut trouver sa résonance, un roman que je ne peux que conseiller, à qui voudrait littéralement vibrer!

Partir à Zanzibar début avril a tout d’un avant-goût de vacances paradisiaques! Les plages de sable fin, le soleil chaud et caressant, l’océan à perte de vue… Mais partir à Zanzibar aux côtés de Victoire et Romain est surtout une véritable aventure!

J’ai complètement fondu pour ces deux-là et pour la plume de l’auteure! Un coup de cœur pour cette histoire, drôle, piquante, sensuelle qui m’a provoqué étincelles et papillons dans le ventre!

J’ai vraiment tout adoré dans ce roman et en particulier Victoire et Romain. Je me suis beaucoup retrouvée chez Vicky et forcément elle m’a touchée en plein cœur. C’est une jeune femme complexée, incapable de lâcher prise et qui s’oublie dans le travail. Elle a des choses à prouver à sa famille et de ce fait, elle en perd essentiel… Le seul à la faire vriller, c’est son collègue Romain!

J’ai adoré que chacun ait deux facettes distinctes et que le contact de l’autre révèle ce qui est peut-être leur vraie nature. Victoire, docile, effacée, inhibée, se mue en une femme volcanique dont les nerfs crépitent à chaque échange… Romain, qui n’est pas qu’une belle gueule arrogante et arriviste, dévoile une personnalité émouvante, un fond tendre et protecteur insoupçonné! Comme s’ils avaient créé eux-mêmes, le moule dans lequel tout le monde attend qu’ils se fondent…

J’ai aimé ce couple terrible, mais aussi tout ce qui se cache derrière. Des thèmes forts et traités avec pudeur et empathie, une leçon de vie qui me fait dire merci Lili!

J’ai découvert avec ce roman la plume de Lili Malone et je dois dire que c’est justement une sacrée découverte! Fluide, additive, avec des punchlines percutantes et de l’émotion en pagaille! Une auteure que je relirai sans hésiter!

« Fakes Honeymoon », un coup de cœur qui donne envie de soleil et de transat au bord de la piscine, que je recommande évidemment!

Il est des romans que l’on voudrait lire vite, tant le coup de cœur est intense mais que l’on s’oblige à savourer, car chaque phrase touche profondément… « Gambling, With Desire » est un de ceux-là pour moi!

L’histoire de Thea et Marcus est ce tourbillon qui m’a emportée sans crier gare, ce maelström de sensations qui a tout chaviré sur son passage.

Une attirance puissante et incontrôlable, une alchimie évidente et ravageuse à laquelle il leur est impossible de résister… Voilà qui pourrait résumer Marcus et Thea.

Ce désir irrépressible leur tombe dessus, sans qu’ils ne comprennent le pourquoi. Mais il est si viscéral, que plutôt qu’y renoncer, ils vont y céder quitte à en jouer. Et pour le dompter, un deal où seul ce désir est assouvi, un accord excluant tout sentiment… sauf que ce désir n’est pas qu’un besoin et qu’il pourrait se jouer d’eux…

Un coup de foudre donc pour ce roman qui m’a happée, pour ces deux personnages qui m’ont fait passer par mille émotions, pour cette plume que je découvre, qui m’a envoûtée et que je relirai sans hésiter. Un coup de foudre que je ne peux que vous recommander!

PS : petit message très personnel à l’auteure: merci!
Merci pour toutes ces références, l’amoureuse des lettres que je suis en a été ravie, la passionnée de Baudelaire en a eu le Spleen et l’Idéal haletant ❤️‍🔥

À genoux mais le cœur apaisé, voilà comment j’ai fini cette trilogie.
Je crois que j’attendais ce dernier tome, au moins autant que je l’appréhendais… Les auteures m’ont donné raison… C’est un pur coup d’âme, mais je n’y étais pas réellement préparée…

Parce que cet ultime opus est une véritable vrille émotionnelle qui m’a mise sens dessus dessous. Parce que je suis passée par cette multitude d’émotions et de sensations à n’en plus savoir qui j’étais…Parce que les accélérations brutes et fiévreuses ont joué avec mes nerfs. Parce que les révélations m’ont laissé sur le carreau.

Parce que X, surtout parce que X676, que je voulais percer ses secrets et que chemin faisant j’en suis tombée amoureuse… Alors oui, je sais désormais qui se cachait derrière X mais étais-je prête pour lui, pour tout ce qu’il m’a fait éprouver et endurer? Rien n’est moins sûr… Car de cette gifle monumentale, je ne suis pas encore remise!

Parce que Sixt, celle que j’adore, celle qui me touche d’une si singulière façon n’était pas plus prête que moi… Parce que la dualité qu’elle éprouvait déjà va s’amplifier encore et que sonnera l’heure des choix…

Parce que Poyz, mon Poyz, celui que j’aime plus que tout m’a fait le détester parfois tout autant… Son aura toujours si magnétique m’a à nouveau envoûtée et m’a fait lui pardonner certains de ces accès. Sa force et sa fragilité mêlées m’ont émue aux larmes, parce que chaque apparition de Poyz est un coup de cœur en même temps qu’un coup au cœur!

Parce que tous les autres, Davy, Juno, Slug, Tan, toute cette famille atypique que sont les Reptiles m’ont touchée comme jamais et m’ont mis l’âme à en étau…

Parce que ces deux plumes accordées ont su créer en cette mélodie parfaite, celle qui m’a emportée sans préavis, celle qui a kidnappé mon esprit, faisant de moi une victime consentante, cette mélodie rock qui a fait s’emballer chaque battement de mon cœur!

Lana, Jena, je vous aime les filles! Je vous aime, même si vous m’avez plus que malmenée! Je vous aime et je dois vous remercier. Pour toutes ces émotions si intenses, si dures et oppressantes quelques fois, bouleversantes et vibrantes chaque fois. Pour m’avoir rendue Fan, accro à eux, addicte à vous. Pour votre confiance qui m’a comblée plus que vous ne l’imaginez!

Cette dernière partie est un bijou, cette trilogie est une pépite, un coup d’âme dans laquelle il faut absolument plonger!

Je pourrais bien devenir complètement accro à ce format court et à ces Kalys-Verdens Ende News!

Parce que chaque fois je découvre de nouveaux personnages (hello Ulrik!), j’apprends à en connaître certains d’une toute autre façon (coucou Bror!), et j’ai aussi le plaisir de retrouver tous ceux qui ont déjà fait battre mon cœur (bonjour Kalys-Verdens Ende, la liste est beaucoup trop longue là!)

Cette fois retour à Verdens Ende, (quoique le passage par Kalys vaudra aussi le détour!), pour se mesurer à Ulrik et Bror.

Ulrik Soren, cet homme au passé pas tout à fait honorable, est le nouveau chauffeur du tout fraîchement élu Président du Parlement, Bror Hansen. Son patron ne le laisse clairement pas indifférent, il a sur lui un effet détonnant (cela étant dit, en lisant leur rencontre, vous saurez pourquoi il a eu chaud d’entrée…). Mais peu importe, Bror est avant tout son boss et par là même intouchable! Et de toutes les façons, il ne s’estime pas à la hauteur de l’homme politique. Car sous ses allures d’homme sûr de lui, se cachent certains doutes, certaines failles qui l’empêchent pleinement se laisser aller. Le voir lutter entre désir et raison est parfaitement touchant!

En ce qui concerne Bror, j’avoue, je plaide coupable… Il ne m’avait pas forcément laissé un souvenir impérissable. Potentiellement trop polissé et conventionnel pour moi… Oui mais non en fait ! Il ne faut pas oublier que c’est un personnage créé par Marie et que, fatalement, il trouverait sa hauteur! Et bon sang de bois quelle hauteur! Il m’a totalement conquise, parce que son caractère lisse en façade dissimule un véritable feu sous la glace! Et quand Bror sort les griffes…🔥🔥🔥

Et le plaisir ultime de cette histoire? Retrouver Axel qui fait du… Axel White dans le texte! (BESC Forever ♥️). Dis-moi Marie, à quand l’histoire de Didi?

Enfin voilà, « Private Date », un nouveau slowburn, drôle, émouvant et frustrant à souhait d’une auteure qui me provoque chaque fois un coup de cœur. « Private Date », un roman court que je conseille absolument!

Je découvre ici la plume de Flora C et sincèrement, c’est une très belle surprise.

J’ai beaucoup aimé cette histoire écrite de manière singulière où rêves et réalités s’opposent ou se superposent…

J’ai adoré cette touche d’humour décalée dans le récit (pour avoir une petite idée, voyez le résumé!)

Une héroïne qui peut ne pas plaire à tout le monde, mais qui personnellement m’a beaucoup touchée. Une de celle qui reste en mémoire par beaucoup de ses réparties.

Et entre moments torrides, romance et suspense, j’ai vraiment passé un très bon moment!

J’ai hâte de connaître la suite des péripéties d’Emma et de ce qu’il adviendra de son cœur!

C’est une nouvelle revisite de conte par Samantha Morgan que j’attendais avec impatience.

Celle du Petit Chaperon Rouge! Et j’avoue que cette réécriture est bluffante! Car mêler le Chasseur (qui évoque Blanche-Neige), le Petit Chaperon Rouge (ici Red, une rousse incendiaire) au Loup (tueur en série à San Francisco), est on ne peut plus original! Et le pari risqué est un pari gagné pour moi!

C’est une histoire pleine d’intrigues et de mystères où la pointe de fantaisie au sein de l’enquête donne la touche additive au roman!

Un duo explosif, de la romance et du suspense, « Red et le Chasseur » est un roman que je ne peux que conseiller!

J’adore les revisite de contes et particulièrement lorsque les rôles sont presque inversés!

Dans le conte de Peter Pan, j’ai toujours préféré Crochet… Et comment dire ici? Crochet m’a totalement fait fondre! Son côté ténébreux et manipulateur qui s’efface peu à peu face à une Wendy bien plus forte et revêche que celle du conte d’origine m’a beaucoup plu. Avoir fait de Peter le vilain tout en conservant l’aura de danger du Capitaine est, je l’avoue, assez jouissif.

J’ai beaucoup aimé l’aspect sombre d’une revisite qui n’a rien d’une histoirepour enfants!
J’ai apprécié la relation de Wendy et Crochet même si parfois j’ai eu l’impression que tout allait un peu vite.

J’ai adoré retrouver la plume d’une auteure qui m’avait déjà fait forte impression et je ne peux que vous encourager à découvrir cette série particulière version, du compte de Peter Pan!

Je vais quant à moi,m’atteler à celle de Red et du Chasseur! Bonne lecture!

Je n’avais pas encore eu l’occasion de lire Elodie François et après cette lecture, je me demande encore pourquoi!

Il est vrai que j’ai tout d’abord complètement flashé sur cette magnifique couverture et que la seule première phrase du résumé m’a carrément embarquée! Mais c’est la totalité du roman qui m’a emportée! Je l’ai tellement aimé. Cette histoire particulièrement originale, cette bande d’amis qui forment une véritable famille, cette rencontre singulière, cette relation aussi explosive et intense que douce et profonde, m’a littéralement prise à revers!

Entre Tuyet et Sam, ce sont d’abord des étincelles piquantes et dangereuses qui prennent malgré tout le temps d’allumer un brasier impossible à éteindre. Sam et Tuyet sont deux faces d’une même pièce où leurs forces complètent leurs failles, où leurs blessures respectives se muent en baume pour apaiser l’autre… Deux âmes liées sans même le comprendre, qui se cherchent autant qu’elles se repoussent, une alchimie et des sentiments évidents, sauf peut-être pour eux.

J’ai adoré chacun de leur caractère différents et pourtant si semblables. J’ai aimé que la fragilité ne soit pas l’apanage exclusif d’une femme, que Sam assume pleinement toute sa sensibilité. J’ai aimé leur histoire, je les ai aimé eux…

Et j’ai adoré découvrir la plume de l’auteur, fluide, additive et toute en nuances. « Secret Waves » est donc pour moi une superbe découverte qui m’a émue, qui m’a remuée tout autant qu’ elle m’a touchée en plein cœur! N’hésitez pas et foncez!

Ce n’est pas un secret, je suis fan de l’auteure et de plus en plus au fil de mes lectures! Cette dernière sortie ne fera pas exception à la presque règle de mes coups de cœur made in Khéméia B!

Cette fois encore, elle change de registre et c’est une romance militaire qu’elle propose. Je ne suis pas forcément adepte de ce trope et pourtant j’ai été complètement complètement embarquée! J’ai été littéralement projetée dans le feu de l’action, celui qui amplifie tout, celui qui rend tout plus intense et plus fort, celui qui rend totalement accro!

J’ai absolument tout adoré dans ce premier tome. L’ambiance suffocante d’un désert où le danger rôde en permanence. Les montées d’adrénaline à chaque rebondissement et qui en font un page-turner qui se lit d’une avidité folle.

J’ai plus qu’aimé cette romance au sein du chaos. Où la puissance des émotions tire son essence d’une unique fulgurance, celle d’un regard qui telle une étincelle, les embrase aussi férocement qu’elle les lie fiévreusement.

Et que dire de la plume de Khéméia… Elle se fait cette fois plus brute pour coller pleinement à l’histoire en étant toujours aussi fluide et fascinante. Elle est de ces auteurs qui vous emmène sciemment là où vous ne vous y attendez pas, semant ce tumulte de sensations particulièrement grisant!

Ce premier opus est un coup de cœur que je recommande farouchement! Et moi, j’attends impatiemment le tome suivant, Tiger est déjà si intriguant!

C’est une bonne lecture qui me laisse pourtant une petite impression mitigée. J’ai beaucoup aimé l’histoire de Puck et Babydoll. Les émotions dans la romance sont là, intenses et profondes, quoi que peut-être un peu rapides à mon goût, mais il est vrai qu’un coup de foudre ne s’annonce pas.

Les sensations fortes s’enchaînent, sans temps mort, au rythme des rebondissements qui n’ont de cesse de surprendre et d’attiser encore la curiosité.

L’auteur maîtrise sa trame et ses effets, elle sait vraiment jouer avec les émotions de son lecteur le faisant passer d’un état à l’autre, sans crier gare! (À ce propos, cette Dark Romance n’est pas forcément à mettre entre toutes les mains, attention aux Triggers Warnings)

J’ai vraiment accroché aux personnages si différents et néanmoins si semblables. J’ai adoré tenter de percer leur secret. J’ai aimé leur amour si singulier et leur évolution.

Un vrai bon moment de lecture où le seul bémol pour moi, c’est la traduction… J’avoue qu’elle m’a parfois semblé plus littérale que littéraire et me laisse un petit goût de frustration car pour avoir lu d’autres de ses romans, je sais que j’adore la plume de Monica James!

Il ne s’agit là que de mon ressenti et je vous invite donc à tenter cette lecture pour pouvoir vous faire votre propre avis!

Freaks de tous horizons, soyez les bienvenus à FreakyRealm, bien qu’à vos risques et périls…

FreakyRealm, une idée folle venue à l’esprit de jeunes gens au mal-être palpable et qui pourtant reste tu… Un concept hors norme, un exutoire hors cadre… Un royaume décadent, où le lâcher-prise règne en maître! Où chacun peut révéler le freak qu’il cache à la vue de tous… Un univers sulfureux où même s’il est facile de s’affranchir de tout ce qui vous oppresse le temps d’une soirée, il peut aussi vous perdre dans l’euphorie de son succès, dans les méandres de sa marginalité…

C’est l’amer constat qu’en ont fait les membres fondateurs il y a trois ans, lorsqu’ils ont décidé de mettre fin à l’aventure. Seulement voilà, l’un d’eux vient de mourir et les autres semblent être les prochains sur la liste. Que s’est-il passé à FreakyRealm pour que ces 7 amis devenus une véritable famille, se déchirent et se séparent?

J’ai adoré cette histoire qui se déroule à la manière d’un jeu de piste étrange, d’une enquête où le présent ne peut s’expliquer qu’en replongeant dans le passé. Où justement ce passé prend une toute autre teinte à la lumière de leur présent. J’ai aimé chaque personnage, chacune des failles qui les ont amené à construire FreakyRealm, chacun des doutes dont ils sont perclus!

Jack et Daphné surtout, ce couple mythique dont les alter ego, La Reine et L’Amant,ont incarné l’essence même des représentations mais qui se sont laissés submerger par la puissance de ce qu’ils avaient engendré. La mort de leur ami, si douloureuse soit-elle, est-elle le point d’orgue de leurs erreurs ou peut-elle être ce point final qui signe un nouveau départ? Auront-ils enfin cette deuxième chance de se trouver ?

Pour le savoir, n’hésitez pas et franchissez l’entrée de FreakyRealm! « Live your fantasies, be our legacy »! Même si en refermant ce livre, je vous dirai plutôt : « Be your own legacy » !

⚠️ TW à prendre en compte⚠️

Les dystopies pour moi, c’est toujours quitte ou double…

J’ai un rapport ambivalent, presque contradictoire avec ce type de récit. Autant j’angoisse à l’idée de voir certaines craintes personnelles prendre vie sous la plume de l’auteur, autant j’aime affronter mes peurs… Parfaitement contradictoire donc, car pour que j’aime une dystopie, il faut que j’ai détesté ET adoré ce qu’elle m’a fait ressentir! (Mon côté maso sans doute!)

Khémeia, en une nouvelle, a réussi précisément et si justement ce tour de force! Une histoire où la pureté, la beauté des sentiments côtoient la face sombre des travers d’une humanité sur le déclin. Deux âmes-sœurs, qui se trouvent mais qui se perdent au gré des manipulations. Deux êtres liés par le destin que même, l’adversité ne peut séparer.

J’ai aimé cette impression d’être spectatrice de leur histoire d’amour, j’ai détesté cette sensation d’impuissance face à la catastrophe annoncée. J’ai adoré être perdue dans mes hypothèses sur le pourquoi du comment, jusqu’à cette éclairage où tout fait sens et qui laisse un goût amer…

J’ai aimé Reager et Enza, profondément, j’en haï d’autres, intensément.
J’ai adoré la force de Reager, que ce soit lui qui mette en premier les mots sur ce qu’il ressent et que même ses doutes puissent le rendre plus fort encore. J’ai aimé le tempérament d’Enza qui, malgré leurs différences, reconnaît en Reager la deuxième moitié de son cœur!

Une nouvelle dystopique sur fond de hockey qui m’a fait passer par une multitude d’émotions, un coup de cœur donc, que je conseille absolument!

Une jolie romance de Noël, entre patinage artistique et chalets enneigés, un Ennemies to Lovers à poser au pied du sapin, un boyfriend de Noël sexy en diable, voilà ce que nous propose notre Karine!

J’ai vraiment beaucoup aimé ce « Sexy Santa »! Une lecture addictive, emplie d’émotions où la douceur côtoie parfois l’amertume de certains thèmes abordés.

Alice et Ian m’ont fait passer un superbe moment! Deux personnages tour à tour hilarants et touchants, des joutes verbales et des coup bas mémorables, une relation qui se construit entre rencontre explosive et étincelles crépitantes! Vraiment, j’ai adoré les rencontrer!

Je me suis identifiée à une Alice qui ne veut que réaliser son rêve, en portant malgré tout sa vie à bout de bras, qui commet des erreurs mais n’hésite pas à se remettre en question. J’ai été émue par un Ian dont l’arrogance et le comportement cachent des fêlures profondément enfouies…

La plume de Karine m’a à nouveau conquise. Fluide, percutante et prenante, elle m’a fait succomber à son histoire, et fondre pour ses héros!

« Sexy Santa », un roman que je recommande bien, évidemment!
À savourer sous un plaid moelleux, paré de votre plus joli bonnet à pompon!

♥ Livia, insaisissable, Livia… La petite dernière du clan Ferrugi, l’unique femme au sein de cette famille singulière… Tour à tour sympathique, revêche, ou particulièrement venimeuse, Livia, reste une énigme…

♡ Une chose est certaine cependant, Livia, la petite sœur de Dante et Dario, n’est pas en reste pour ce qui est du tempérament! Si l’un de ses frères est le feu, l’autre la glace, Livia, elle, est le feu sous la glace! Elle est ce brasier volcanique qui couve sous l’armure polaire façonnée par son père, menaçant à tout instant de se muer en une bombe aussi incendiaire que létale!

♥ Sa seule faiblesse, Santi… Son garde du corps. Celui qu’elle aime depuis leur premier regard échangé… Même si elle est capable de tout pour lui, il reste un mystère pour elle. Malgré leur proximité, l’alchimie évidente et cette attirance irrépressible, aucun n’a posé de mots sur ce qu’ils éprouvent. Et au cœur du chaos qui règne désormais dans le clan Ferrugi, ces sentiments pourraient être leurs pires ennemis…

♡ Ce dernier volet est à la fois le plus sombre et le plus lumineux de la saga. Obscur parce que le dessein de vengeance est plus noir que jamais. Teinté de clarté par la beauté de l’amour qui lie Livia et Santi.

♥ Livia se révèle enfin dans ce tome et tout ce que l’on avait supposé d’elle, vole presque en éclats! Bouillonnante, intelligente, guidée par ses sentiments, dotée d’une force et d’une résilience incroyable, voilà la Livia qui se dévoile!

♡ Et si j’ai adoré découvrir la vraie Livia, j’ai tout autant aimé comprendre Santi! D’un naturel taciturne, son attitude a toujours semblé ambiguë… Pourtant, dès lorsqu’il prend la parole, c’est un véritable tumulte d’émotions qu’il provoque! Un homme dont l’abnégation fait vibrer, dont l’intensité des sentiments fait vriller…

♥ Un dernier opus qui réserve un final explosif à la hauteur de la famille Ferrugi! Les révélations, les rebondissements et l’action s’enchaînent tambour battant, pas un instant de répit pour cette histoire particulièrement haletante!

♡ Un ultime volet que je recommande évidemment, un ultime coup de cœur pour cette saga qui mérite vraiment qu’on s’y attarde!

Dernière sortie de l’année pour Marie HJ: « Les rivaux de la rue Paradis ». Et quelle sortie! J’ai commencé l’année au côté de Marie avec un coup de cœur, je la termine… sur un coup de cœur!

Ces rivaux, ces deux têtes de pioches, probablement nés sous le sceau de la loi de Murphy (vous savez, celle de l’emm*****ent maximum) m’ont complètement embarquée!
Grégoire et Baptiste, deux presque voisins de la rue Paradis, deux petites teignes à leurs heures perdues (et croyez-moi, ils ne les comptent justement pas, leurs heures!). Ils se détestent, cordialement, depuis… trop longtemps! À grand renfort de coups bas et de reparties cinglantes, ils ont presque réussi à faire de la rue Paradis, un véritable enfer! Leurs querelles et les règlements de compte (jamais dans les règles de l’art) sont au centre de toutes les attentions dans ce quartier où il fait bon se mêler de ce qui ne vous regarde pas.

Une rivalité presque inexplicable, où la limite entre la répulsion et l’attraction est presque floue. Ces presque ennemis, anciennement presque ami, sont tous les deux très possessifs dans la détestation! L’un comme l’autre ne permet pas à qui que ce soit de dénigrer l’adversaire, un comble… Bref, il y a anguille sous roche! Cela étant, l’anguille pourrait être un anaconda qu’ils n’y verraient pas plus clair…

Et c’est justement ça qui fait de cette lecture, un pur moment, addictif! Un slow burn hilarant, régressif et jouissif! Une romance de « pas Noël » qui a tout du conte, les situations incongrues et les personnages décalés en plus!

Un récit aussi, où si les deux « héros » (oui, j’ai mis des guillemets!) se chamaillent comme des ados, ils parviennent surtout à vous émouvoir et à vous toucher en plein cœur… Il y a tant de « presque » entre eux que c’en est presque une évidence… Et vous n’attendez qu’une chose, qu’il n’y ai plus de presque!

Un roman doudou où la plume de Marie et son sens de l’humour font encore des étincelles, où sa capacité à vous faire passer d’une émotion à une autre fait de cette histoire, une douceur de fin d’année à déguster sans modération!

« Ce qui nous consume #2», un deuxième tome pour une deuxième FashionWeek, un deuxième coup de foudre pour moi et cette saga!
Direction Londres pour retrouver Evan et Ophélie!

Une suite attendue (c’est un bel euphémisme), qui d’emblée ou presque, met les nerfs à rude épreuve… Il faut dire qu’à la fin du précédent opus, ils avaient été déjà plus que titillés!

Un second volet où la tension va à nouveau monter crescendo à mesure des retrouvailles d’Ophélie et Evan. Les choses ne sont jamais simples avec eux. Si l’attirance qui les consume est toujours aussi viscérale, s’ils ne se comprennent pas encore véritablement, ils ne se mentent plus à eux-mêmes quand à la réalité de leurs sentiments.

Ophélie et Evan se dévoilent un peu plus et permettent de les découvrir autrement, peut-être plus intimement, lorsque les bribes de leurs passés ressurgissent… Seulement, certaines révélations sèment le doute et questionnent d’autant plus!

L’intrigue autour d’Evan s’étoffe, et pourtant le mystère s’épaissit… S’il commence à mettre des mots sur ce qu’il ressent, ses maux eux, sont toujours omniprésents… Sa personnalité atypique m’avait déjà fait fondre dans le premier, cette fois c’est l’homme qui m’a fait chavirer!

Un deuxième opus où une nouvelle fois, les thèmes particulièrement forts sont abordés avec cette justesse qui éprouve tant elle est criante de vérité...

Comme pour chacun de ses romans, la plume de Kentin est un tout unique! Une alchimie des mots et des émotions, un cocktail d’humour et de profondeur, une sensibilité touchante et tout en nuance!

En résumé, « Ce qui nous consume #2 » est une suite pépite sur laquelle vous devriez vous ruer absolument !

« Babydoll », troisième roman que je lis de l’auteure… et troisième coup de cœur!
Sonia Birdy, c’est une évidence, fait désormais partie de mes auteurs fétiches! Cette fois encore l’histoire m’a complètement happée dès le premier chapitre et m’a agrippée jusqu’au dernier.

J’ai été ravie de retrouver un peu de cet univers que Sonia a créé dans ses précédents romans, avoir des nouvelles de mes chouchous, même si j’y ai été immergée d’une façon différente encore.
Après la fac et le lycée, c’est dans la vie active des personnages que j’ai été plongée. Cette temporalité alternée entre les spin off est simplement addictive! Parce qu’il m’a fallu attendre avant de retrouver Alec Graham, il m’a fallu patienter pour comprendre pourquoi il m’avait tant intriguée.

Alec est désormais le deuxième quaterback des Bears, Zack et Jude sont ses coéquipiers, sa deuxième famille. Il a une réputation de tombeur à faire pâlir, il est célèbre et gagne bien sa vie. Le combo rêvé pour un homme qui ne semble pas prêt à se ranger! Pourtant, j’avais perçu que derrière la façade, quelques failles étaient dissimulées… Et j’ai compris que c’était celles d’un passé qui va resurgir sans crier gare. Cette danseuse croisée au détour d’un club nommé Babydoll, Alec la reconnaît. Celle qui se fait appeler Bambie, c’est sa Clara, celle avec qui il a grandi, sa meilleure amie, son premier amour. Seulement, cela fait plus de 10 ans que Clara a disparu sans un mot… Ne se trompe-t-il pas? Et quand bien même, que peut-il vraiment espérer?

J’avais hâte de découvrir son histoire et de rencontrer celle qui ferait flancher son armure. Pourtant je n’étais pas vraiment parée pour eux, pas préparée à ce que ce soit elle qui ait forgé son armure… Pas forcément armée non plus pour ressentir ce qu’ils ont enduré… Mais bon sang ce que j’ai pu adorer! J’ai entièrement chaviré pour l’homme derrière les apparences, fondu pour sa personnalité mise en sommeil depuis tant d’années et qui se réveille au souvenir de celle qu’il a toujours aimé. J’ai adoré naviguer entre ce présent et leur passé, en quête d’indices et d’explications à mesure qu’ils grandissaient, et assister, à en être émue aux larmes, à tout ce qui fait la force et la beauté de ce qui les unit.

J’ai été totalement embarquée par l’histoire, par l’intrigue, par les rebondissements, par toutes ces émotions en pagaille que j’ai pu vivre! Et surtout, j’ai été emportée à nouveau par la plume vibrante de Sonia. Tantôt douce, tantôt brute, elle se fait aussi délicate que sensuelle, aussi affûtée que torride, et malgré toute la retenue qui émane de certains passages, elle est toujours sans concession, même pour mon cœur!

Évidemment je ne peux que vous recommander ce roman et j’espère qu’il saura vous faire le même effet!

PS: En ce qui me concerne, j’avoue que je ne serais pas contre un dernier volet, parce que Matt…🫶🏻

« Dario »… deuxième acte pour le clan Ferrugi… Dario, ce frère aîné dont on ne sait rien ou presque… Dario, ce fils sur qui repose désormais toute la pérennité du clan et que l’on va forcer à se marier… Dario, cet homme presque mystérieux dont l’aura de violence épouse chaque parcelle de son être. Dario, ce parfum de débauche lui collant aussi comme une seconde peau…

Si Dante est la glace, Dario est le feu. Tout en lui crépite, ces bas instincts qui le guident, cette rage qui l’habite et le brûle…Dario est ce brasier parfois hors de contrôle capable de tout consumer... L’innocente Isabella qui lui est promise, échappera-t-elle aux flammes de son enfer? L’attisera-t-elle ou l’apaisera-t-elle? Parce que si une chose est certaine, c’est qu’aucun n’était préparé à l’autre. J’avoue d’ailleurs que moi non plus!

Ce second volet est bien plus sombre. Dès les premières pages la noirceur est cinglante… L’histoire, les thèmes, les attitudes de certains, sont singulièrement glaçants. Et malgré la répulsion qu’aurait dû m’inspirer Dario, je n’ai pu faire autrement que d’être subjuguée par lui, par ce qu’il dégage, par tout ce qu’il a enfoui pour survivre dans son abîme. Il m’a touchée et profondément émue sans que je ne m’y attende. Parce qu’une fois son armure fissurée, l’homme m’a laissée en apnée!

Isabella m’a aussi énormément remuée! La force de l’amour qu’elle porte aux siens, la rend plus combative, plus déterminée dans les épreuves, et face à Dario, il n’en faudra pas moins pour espérer le faire ployer. Bella est bien moins candide et docile que tous le supposaient. Elle apporte ces étincelles d’émotions dont Dario est dépourvu et qui pourraient bien allumer un toute autre incendie!

Cette fois encore, j’ai été totalement emportée par le récit! La trame, les rebondissements, tout tient en haleine pour faire de ce tome un véritable page-turner! La plume totalement addictive et grisante Khemeia m’a emmenée, presque malgré moi, dans un tumulte de sensations toutes plus contrastées les unes que les autres!

Deuxième opus de la saga des Ferrugi, deuxième coup de cœur pour moi, deuxième opus que je recommande plus qu’absolument!

À présent, c’est l’énigme Livia que j’attends de percer!

« Rien ne se brise plus qu’un cœur de tricheur»… C’est parfaitement vrai… Seulement à cette phrase, j’ajouterais que « rien ne se brise autant que le cœur d’un lecteur qui en a semé les fragments derrière chaque page tournée »… Parce que « Le jeu des tricheurs » est un pur coup d’âme dont je ne suis absolument pas ressortie indemne!

J’ai adoré rencontrer Belle! Sa maladresse légendaire et son tempérament de feu, sont une inoubliable bouffée d’oxygène! Belle Murray, avocate spécialisée en divorce, est unique. C’est une joueuse, une menteuse, une tricheuse… C’est aussi une âme magnifique qui m’a touchée comme rarement je l’ai été! Car parfois l’air est venu à me manquer…

Et celui qui nous vole en partie ce souffle, c’est Priam. Priam Brings, le frère de sa meilleure amie, le Priam qu’elle déteste depuis si longtemps. Celui qui est désormais son adversaire. Avocat sexy à l’esprit retors, il n’a pas que cette seule facette à présenter. Et pour tout dire, si Belle m’a profondément émue, Priam lui m’a complètement chavirée!

Lorsque Belle et Priam se retrouvent face-à-face pour un dossier, ils savent que la partie ne fait que commencer. Tous les coups, notamment les plus bas, sont permis, ils vont se battre et tomber, combattre et se relever… Ils vont tricher, surtout tricher même! Mais sur quel sujet vont-ils véritablement tricher?

Lire Anita, c’est aussi lire, douloureusement, entre les lignes… Lire cette histoire, c’est découvrir le supplice de savoir justement, lire entre les lignes d’Anita… Pourtant, chaque fois j’en redemande, puisque chaque fois c’est une nouvelle façon d’être étrillée! Je tombe encore et toujours plus pour cette plume riche de ce tumulte de émotions qu’elle sait faire résonner. Je succombe encore et toujours plus aux histoires d’une auteure qui m’emporte par ses mots et ses maux.

Préparer votre cœur de lecteur, votre cœur de tricheur, et plongez dans ce jeu sulfureux où rires et larmes se confondent, dans ce jeu si particulier qu’il ne pourra que vous marquer!

« Zoé fait son max » c’est un feelgood bien sympathique pour se changer les idées. Un bon moment de lecture où j’ai fait la connaissance de la fameuse Zoé, et que dire, si ce n’est qu’elle est un cas à elle toute seule!

Un caractère fort, un tempérament de battante, un cerveau qui mouline tout le temps, seulement voilà, sa vie ne lui correspond pas! Rien ne la démarque d’une femme lambda… Éternelle célibataire, sa vie amoureuse est un désert ponctué de fiascos plus ou moins mémorables. Alors un énième rendez-vous arrangé ne risque pas de changer la donne…

Mais là où Zoé n’était pas préparée, c’était le spécimen masculin sur lequel elle allait tomber. Ce bel avocat lui fait beaucoup trop d’effet, elle ne peut décemment pas lui faire part de sa morne vie! Alors elle enjolive, s’invente une situation enviable, un métier à la hauteur. Bref, son côté mythomane s’en donne à cœur, joie! De quiproquos en situations ubuesques, Zoé va tout tester! Et qui sait peut-être que « son max » la surprendra?

Ce roman est une lecture légère, pétillante et pleine d’humour, où l’auteure sait faire preuve de maîtrise dans une intrigue qu’elle mène de bout en bout. Même si en temps normal, le style ne me correspond pas vraiment là, j’ai été agréablement surprise et j’ai aimé être embarquée dans les aventures rocambolesques de Zoé!

Une belle découverte pour moi, que je conseille à tous ceux qui cherchent un bon moment de détente!

Il faut que je vous avoue quelque chose…
J’ai été bien trop embarquée pour faire une pause chronique entre les deux opus, je vous propose donc mon retour sur l’histoire intégrale. « Rock On My Majesty », ce sont deux tomes, deux ambiances mais pour moi un même coup de cœur!

Rien que par le titre, j’étais déjà emballée! Puis honnêtement une histoire consacrée à Axel White, je ne pouvais passer à côté! Le petit aperçu (mémorable d’ailleurs l’aperçu!) que j’avais eu de lui dans « Intimate Friends » battait déjà la mesure, parce que Axel est une promesse à lui tout seul!
Une star du Heavy Metal au comportement de diva légèrement déjanté, un phénomène unique qui ne peut susciter que des réactions épidermiques tranchées: soit on l’aime, soit on le déteste.
Et moi je ne l’aime pas, je l’adore!!

Son côté sans filtre, sa non-modestie assumée, son tempérament un brin capricieux, son amour pour le rock, sa soif de liberté, son besoin d’être admiré, tout absolument tout m’a fait kiffer, cet enfant terrible! Car au-delà de l’image de sale gosse, il y a celui qui se cache sous l’armure… Celui qui doute, qui ne rêve que d’être heureux sans vraiment savoir comment faire. Celui capable de vous faire passer du rire aux larmes… Celui qui a fait fondre mon cœur et surtout celui qui a réussi à faire mettre le genou à terre d’un Prince.

Parce que face à lui c’est bel et bien un Prince! Hallstein Pedersen de Raspen, Prince de Verdens Ende est l’antithèse d’Axel. Protocole et droiture chevillés au corps depuis toujours, il vit et respire pour son île et son peuple. Le fait de ne pas être l’héritier du trône lui permet cependant une certaine latitude, notamment celle d’organiser le « Heavy Fest »! Un petit plaisir qui va mettre le chanteur Sleeky Snake sur son chemin. Et là, cette latitude qu’il s’octroie, va carrément voler en éclats!

J’ai adoré le relation aussi électrique que mélodique ou le choc des cultures fera s’apprivoiser deux êtres si opposés! Un slowburn particulièrement frustrant tant il prend son temps, où la tension brûlante ne fait que s’attiser. Une duologie plus que prenante où la magie de la plume de Marie opère à nouveau pour le plus grand bonheur de mes émotions en pagaille!

Vous l’avez lu? Non? Alors foncez!

Ce préquel à l’histoire des San Francisco Lovers, je l’attendais! Ces chapitres m’ont fait redécouvrir le volcan qu’est Déliah et forcément j’ai bien plus qu’adoré replonger!

Cet opus peut se lire avant ou après la trilogie, mais j’avoue que je suis ravie de l’avoir lu après, car ça m’a permis d’avoir une perception complètement différente!

J’ai appris à connaître la Déliah d’avant (qui n’aurait pas forcément eu mes faveurs d’ailleurs), j’ai pu la voir grandir, évoluer et prendre conscience de qui elle voulait être. Percer le mystère d’une Déliah Hasen Black devenue la superbe Déliah West!

J’ai adoré détester sa version peste prétentieuse et voir comment le drame qu’elle a vécu l’a métamorphosée à jamais.

J’ai aimé comprendre enfin cette si singulière relation qu’elle entretient avec Rick et finir par apprécier l’homme derrière le comportement exécrable dont il est coutumier dans la saga.

Ce slowburn, je l’ai trouvé simplement beau! J’ai savouré que tout ne soit ni simple, ni facile, que cette tension les trouble, que cette attirance contre laquelle ils luttent finissent tout de même par les faire céder.

J’ai été bluffée par toutes les explications de chaque détails qui constituent l’univers 31 jours! Tout comprendre à retardement, c’est juste excellent! Chapeau bas, Madame Hab!

Mon côté addicte à la plume de l’auteure a été comblé. Ce n’est pas un secret, j’aime la femme tout autant que son écriture. Alors merci pour ces chapitres ma Raquel! Et un merci tout particulier pour celui où les premières écumes d’une vague annoncent une véritable lame de fond!

Quel que soit l’ordre que vous décidez d’adopter, je n’aurai qu’un seul conseil, celui de découvrir d’urgence toute la série!

Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce deuxième tome, je l’attendais!! Je crois même que j’en rêvais!

Et que dire?…

C’est encore mieux que tout ce que j’aurais pu imaginer!
Si le premier opus a été un coup de cœur, celui-ci est un pur coup de foudre! J’étais devenue carrément Fan, là j’en suis complètement accro!

Adepte de l’univers de Sixt et des Reptiles et foncièrement addicte à Poyz! Là est justement le tour de force de Lana et Jena… Parce que bien qu’il se dévoile (un peu), Poyz est toujours aussi énigmatique et ambigu. De lui émane cette effluve de poison toxique et pourtant quand il se répand dans vos veines, vous ne pouvez qu’espérer qu’il n’y ait pas d’antidote!
À savoir si ce n’est qu’à moi qu’il fait cet effet là…

Ce deuxième volet démarre sur les chapeaux de roue mais il m’a fallu m’accrocher, car l’intensité ne fait qu’augmenter! De suppositions en révélations, je suis passée par toutes les émotions. Des moments de rock pur qui deviendront anthologie, des scènes mémorables où se mêlent éclats de rire et vives tensions et ces instants où je ne savais même plus comment respirer… Une alternance de légèreté et de gravité qui m’a souvent fait vriller, des échanges entre Poyz et Sixt, aussi frustrants que suffocants…

C’est un coup de foudre simplement parce que j’ai tout adoré! En apprendre plus sur chacun et quoi qu’ils fassent les aimer toujours plus! Ressentir, éprouver même tout un panel de sensations et en redemander quand bien même mon cœur n’était pas prêt!

Bien sûr, les explications n’ont pas toutes encore été données et bien évidemment, je trépigne déjà quant au dernier volet!
Je ne peux que vous conseiller de foncer!
PS : merci Lana, merci Jena, merci pour tout🫶🏻

Il m’a fallu quelques temps pour poser les mots de cet avis… Alors autant commencer le plus simplement possible: « The Power of Love » est un énorme coup de cœur!

Raquel, ma belle Raquel, quel plaisir de retrouver ta plume!

Après sa première trilogie qui m’avait embarquée de San Francisco au Japon, en passant par Rome, cette fois c’est à New York que Raquel m’a emmenée!

Et bon sang quel voyage!

Celui d’une romance totalement addictive qui m’a totalement emportée, aussi bien aux quatre coins du monde que dans un tourbillon de sensations fortes.
Une plongée dans une intrigue policière qui joue avec les faux-semblants comme elle joue avec les nerfs.
Une découverte de personnages hauts en couleur tous assortis de cette petite touche d’excentricité made in Raquel!

Et surtout un voyage qui en vaut le détour rien que pour cette rencontre avec eux,Tessa et Liam! Deux êtres aussi opposés que complémentaires, où chacun est d’un côté de la balance, dans un monde où tout n’est jamais ni vraiment blanc, ni foncièrement noir…

Un héros sexy et énigmatique que l’on trouve d’emblée arrogant et antipathique, mais dont les fêlures intimes, si enfouies soient-elles, font de lui un homme irrésistiblement touchant et émouvant.

Une héroïne mystérieuse à la force et au tempérament trempés dans l’acier. Une femme indépendante, déterminée, sûre de son aura et de ses aptitudes, qui sera pourtant plus que troublée par celui avec lequel elle n’aurait peut-être pas dû jouer…

C’est un roman haletant où Raquel maîtrise le récit de main de maître, où sa plume si particulière fait des merveilles, m’entraînant dans des montagnes russes d’émotions intenses, une histoire où elle s’est encore amusée à me malmener pour mieux m’envoûter!

« The Power of Love, Diamonds are Forever » est le premier tome d’une nouvelle trilogie qui s’annonce déjà comme détonante et que, bien évidemment, je ne peux que recommander!

Alerte coup de foudre!
Ce n’est pas un secret, chacun des romans de Kentin est un énormissime coup de cœur! « Ce qui nous consume » ne pouvait se soustraire à cette règle, règle de l’addicte à l’auteur que je suis!
Cette fois, c’est dans l’univers de la mode qu’il nous convie, aux côtés d’Evan et Ophélie, avec pour décor la Fashion Week de Paris!

Ophélie est une jeune couturière dans une grande maison de Haute Couture parisienne. Son métier, la passionne et l’émule, son petit ami est déjà adoubé par sa famille, sa vie est sur des rails rectilignes déjà bien tracés … En théorie, une vie rêvée. Seulement entre théorie et réalité, un monde se crée… À trop vouloir se conformer, elle risque d’étouffer malgré son caractère enflammé…

Evan est le mannequin sur qui Ophélie doit ajuster les pièces prévues pour le défilé. Un corps d’Apollon à l’aura magnétique et au regard singulier qui ne laisse personne indifférent, pourtant l’enveloppe ne reflète qu’une infime partie de ce qu’il est… Evan est un homme à l’intelligence exceptionnelle, néanmoins incapable de trouver sa place. Il ne comprend pas les interactions sociales, ni les émotions, il est hermétique au sarcasme et au second degré… Autant dire que face à une Ophélie dont « ironie » pourrait être le deuxième prénom, les étincelles vont fuser! Et si c’est proximité forcée leur apportait plus qu’elle ne leur coûtait?

Evan et Ophélie c’est un choc des cultures hilarant avant d’être ce choc d’une alchimie crépitante qui les bouleverse et les consume! Ils ne se comprennent pas toujours, n’ont pas le même mode de fonctionnement, cependant sans qu’ils ne s’en rendent compte, c’est ce besoin viscéral et inexplicable de l’autre qui se tisse et qui les lie. Leurs failles et leurs blessures encore trop enfouies les freinent autant qu’elles attisent les flammes d’un brasier qui ne fait que débuter…

« Ce qui nous consume » c’est aussi une intrigue travaillée et prenante, des personnages secondaires hauts en couleurs et parfaitement inoubliables! Mais si pour moi c’est un énorme coup de foudre c’est parce que, comme toujours, c’est du Kentin dans le texte… Une succession d’émotions folles, une énergie vibrante qui me fait passer d’un état à un autre… Un fou rire qui se tarit dans un murmure lorsque l’uppercut des sentiments m’arrive en plein cœur sans crier gare… Enfin voilà, c’est l’effet K sur moi! Parce que même en connaissant l’homme derrière l’auteur, je suis toujours autant surprise, touchée et ô combien émue! J’aime, j’admire sa façon de se renouveler chaque fois jusqu’à harmoniser sa plume sur la psychologie et les émois de ses personnages! J’adore sa façon d’aborder des thèmes toujours différents… ou simplement différemment!

Un auteur dont le style sonne comme une évidence pour moi, que je vous invite à découvrir, si ce n’était pas déjà le cas. Ce roman, son dernier sorti, est une pépite à lire de toute urgence!
Car la seule chose qui soit certaine désormais, c’est que ce qui Les consume n’en a pas terminé de Vous consumer!