livre assez simpliste mais surtout, surtout bourré de fautes, à force, ça pique !!

ce n'est pas mon genre de lecture mais je voulais connaitre "le grand mystère" de Twillight avant de critiquer. Maintenant que j'ai tout lu et que je me suis franchement ennuyée, je regrette bien la démarche.
Certes, c'est bien écrit, c'est "assez" original mais les personnages sont irritant au possible, surtout Bella, toujours à geindre, à couiner, à douter à se dévaloriser, à ne pas pouvoir mettre un pied devant l'autre (à croire qu'elle tient aussi bien sur ses pattes qu'une bique sur ses cornes, bizarre, et surtout pourquoi ??). On a envie de la baffer et de souhaiter qu'un méchant vampire passe par là, la croque et qu'on en finisse, mais non, pas de bol !! Edward ? tellement transparent, mou, insignifiant, qu'on l'oublie dès qu'on ne voit plus son nom écrit.
Par contre Jacob relève le niveau, il est attachant ce petit loup.
Enfin bref, c'est bien de la lecture cucul-praline d'ado. Next ...

je vais être le caillou dans la chaussure mais je n'ai pas aimé ce livre. Sur un sujet difficile, la trame n'est pas très originale mais méritait amplement plus de consistance. L'écriture est scolaire, l'histoire est bâclée, vraiment très bâclée on n'a pas le temps de s'ennuyer car on arrive très vite à la fin malheureusement. Rien n'est développé, tout est vide et ennuyeux. Il se fera vite oublier.

Etant fan de l'auteur je me devais de lire ce livre et je ne suis pas déçu. Un bon roman, bien ficelé, bien rythmé. Son nouveau personnage, le commandant Derochelle en a, comme on dit. qui a sa propre idée de la justice.
Une très belle couverture qui aide bien à l'accroche, enfin bref, une de mes meilleures lecture de ce début d'année.
Je recommande chaudement ce livre ainsi que tous les livres de Jean Dardi, vous passerez un excellent moment.

j'ai un peu moins aimé cet opus après avoir lu la cave aux poupées mais Magali Collet reste une auteure de grand talent

aucune surprise avec Céline Denjean, son livre est excellent. Je suis toujours agréablement surprise par la richesse de son écriture et la profondeur de ses personnages. Elle reste dans mon Top10.

on frise le grotesque avec ce livre.
J'en ai lu des dizaines et des dizaines de livres plus gores les uns que les autres mais là, on touche le ridicule.
C'est le 5ème livre de Gilles Caillot, cette fois j'arrête définitivement ...

de la violence pour de la violence, aucune subtilité, pas de suspense, c'est pas l'ultra gore qui fait un bon thriller.
Deuxième remarque : l'abondance du "franco-italien", pour décrire Zanetti, j'en ai repéré 4 dans une page.
Disons que c'est un premier roman, donc pas parfait sans doute, il est évident que je continue les aventures du ... "franco_italien !!!

je suis désolée, j'ai du mal à écrire une mauvais critique, mais là, non, je n'ai pas aimé.
Les personnages ne sont pas assez fouillés, l'écriture est trop simplette, tout reste en surface, on sent bien le copier-coller des documents trouvés sur internet sur ces atrocités Tchétchènes, ainsi que les barbaries nazis, et on fait un petit mix.
Trop de clichés (le lampadaire, le médecin fou trop ressemblant à Mengele) ...)
On frise le grotesque !
Et pour finir, le personnage de Marius est horripilant, geignard, larmoyant avec ses répétitions de "ma moitié" (il faudrait que je les compte, tiens).

Bien que l'histoire de ce livre soit sombre, très sombre, Magali Collet ne versera jamais dans la vulgarité et les détails, elle arrive avec brio à nous faire imaginer le pire.
Ce qui est surprenant est que son écriture est douce, fluide et agréable à lire.
L'histoire de Manon, cette femme-enfant qui a toujours vécu sous le joug de son père pervers, est troublante. En effet, tout pour elle est naturel, sans haine, presque naïf puisque pour elle, la vraie vie qu'elle ne connait pas, est la télévision.
J'ai vraiment adoré ce roman, j'ai découvert une auteure de talent et j'attends avec grande impatience d'autres livres de sa part.

j'ai trouvé dans l'ensemble ce livre assez ennuyeux, le scénario est banal, froid, aucune subtilité, aucune innovation dans les scènes, juste un déballage répétitif de déviances existantes, on dirait du simple copier-coller mis à la queue leu-leu.

La sublimation selon Bastien Pantalé ou l'art de transformer l'immonde en parfait.
Un tueur en série sévit à Bordeaux, son mode opératoire : transformer les âmes pourries en oeuvres d'art qu'il essaime un peu partout dans la ville.
Dans ce thriller très rythmé l'abject se marrie pour le meilleur et surtout pour le pire avec le pur.
Une course poursuite pour stopper la folie d'un tueur talentueux et génial amoureux de l'art dans sa plus pur expression.
L'auteur a lui aussi touché à la sublimation avec son roman déroutant, écrit d'une plume fluide et très bien documentée, et une fois la lecture terminée, on peut enfin reprendre son souffle et attendre avec impatience le retour de ce duo de choc que forme le capitaine Manoa Bonhoure, flic à l'ancienne d'origine tahitienne et sa jeune partenaire le lieutenant Torrès.

Dès les premières pages, coupables ? démarre sur les chapeaux de roue, pas de temps mort dans cette double histoire que rien ne semble relier, la plume fluide et lègère de Laurent Loison nous transporte immédiatement.
L'auteur nous ballote sans ménagement dans une lessiveuse sans nous laisser souffler une seconde.
Quel est donc le rapport entre le dérapage malheureux d'un gamin en France et un meurtre perpétré aux Etats Unis à des années différentes ? Seul l'esprit tordu de Laurent Loison arrivera à nous dénouer la pelote de l'intrigue.
La fin est grandiose et doublement surprenante, on ne voit rien venir.
Ce livre est tout simplement ... létal !

c'est creux, c'est vide, les personnages ne sont pas fouillés, l'histoire est survolée, pas détaillée, la fin est facile à deviner, bref, je n'ai pas aimé

dommage d'avoir lu l'excellent Shutter Island de dennis Lehane, j'y ai retrouvé beaucoup de similitudes, la fin était donc facile à deviner.

la lecture aurait pu être intéressante mais le style d'écriture de l'auteure (ou la traduction) est vraiment très mauvais et je me suis lassée de lire ce phrasé parlé

le véritable centre d'inter^t, à mes yeux, est la description très détaillée de la vie dans un lebensborn.
Les caprices et les entêtements illogiques de l'héroine font qu'on ne s'attache pas à elle.
J'ai l'impression d'avoir lu un Konsalik de ma jeunesse.

que je me suis ennuyée, pourtant l'histoire est courte, mais je n'y ai trouvé aucun suspense, aucune originalité. Dans une semaine je l'aurais oublié !

Encore sous le charme de l'excellentissime CHARADE, je m'attaquais à ce nouveau thriller avec délectation.
Sitôt la lecture terminée je n'arrivais pas à me décider : avais-je aimé ou détesté ce livre ? Impossible
sur le moment d'émettre un avis.
Chose que je ne fais jamais : j'ai relu le livre dans ma lancée.
Après cette relecture, et connaissant l'intrigue, je suis beaucoup plus apte à donner un avis.
Commençons par les point négatifs : le style d'écriture "parlée" m'a désorienté, c'est mon gros point noir.
Etrangement je n'ai pas retrouvé la plume fluide et tranchante de Laurent Loison dans son Charade, mais au fil des pages, je m'y suis habituée.
par contre, l'intrigue est originale, j'avais plus ou moins deviné la fin tout en restant scotchée par le dénouement.
Si je n'avais pas relu décortiqué puis digéré ce livre je dirais que je n'ai pas aimé.
Mais non,au final ce
livre est bon, et même putainement bon.

Blanche-Neige est mon 2ème "conte interdit" et franchement j'ai lâché au 3/4 la lecture tellement je m'y suis ennuyée.
Je n'ai rien trouvé avec le conte initial.
C'est brouillon, touffu, soporifique ... je me suis crue dans un des romans de Giebel. Insupportable pour moi !

c'est bien la première fois que je mettrais une critique négative à un livre de Douglas Preston, mais d'un bout l'autre de l'histoire je me suis profondemment ennuyée. L'histoire est tirée par les cheveux, pas crédible un seul instant et je n'ai pas compris ce que Pendergast et Fièvre Mutante viennent faire à la fin du roman.

un bon thriller qui se lit facilement. Une idée originale et un duo de choc. C'est la première fois que je remarque que le film est identique au livre. Je recommande !

même si je suis très fan de Scott Westerfield et de la saga Uglies, ce troisième opus m'a passablement ennuyé.
Ce n'est pas le meilleur à mon avis, et l'histoire s'essouffle et la naïveté de Tally est affligeante et les retournements de situations cousus de fil blanc : la mixture passe de moins en moins.

suite logique du premier tome : Uglies.
Les personnages changent, évoluent, prennent conscience. Quelques nouveautés : la découvertes d'autres "ethnies", les expériences et toujours l'ombre glaçante des Spéciaux" de plus en plus présents dans la vie de Tally.

Une nouvelle vie, un emménagement très perturbant, une énigme, une enquête ... et une aide des plus inattendue :voici le cocktail étonnant de ce livre.
Personnellement, je me suis prise au jeu de piste de cette intrigue et j'ai cherché les lieux sur une carte. Je voulais y être, participer, fouiner et rentrer moi aussi dans l'histoire, ou l'Histoire avec un grand H.
Ce roman historique nous fait découvrir le riche passé de Cahors et nous donne envie de lire une suite.

quand la fiction rejoint presque la réalité !!!!
A l'époque où nous vivons que pour le beau, le retouché, le parfait et le faux, le livre de Scott Westerfield à un arrière gout de futur bien proche. Le livre est excellent, sans temps mort, très original. C'est la 4ème fois que je le lis et je le redécouvre toujours avec autant de plaisir.