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Il n'y a pas de dieux en ce monde, seulement des rois et des tyrans.
Une collision féroce entre amour et pouvoir dans cette réécriture d'Antoine et Cléopâtre.
Chaque année, une centaine d'habitants du royaume de Talin participent aux Jeux. Cette arène sanglante promet d'inimaginables richesses à son unique
vainqueur.
La Princesse Calla Tuoleimi a déserté le palais après l'assassinat de ses parents... de sa propre main. Espérant débarrasser le royaume de sa monarchie
tyrannique, elle pourra mettre un point final à son plan si elle triomphe des Jeux.
Anton Makusa, membre en exil de la famille royale, espère sauver son amour d'enfance gravement malade grâce aux gains qu'il tirera des Jeux. Confiant et indolent, il est certain que ses pouvoirs inégalés le guideront jusqu'à la victoire.
Bien qu'ayant des buts différents, Calla et Anton.scelleront une alliance dont l'intensité consumera tout sur son passage. Calla devra alors décider si elle
se bat par loyauté envers son royaume, ou par amour.
Calla has never claimed to be good. She has never wanted to be good. But she seeks it in every corner of the twin cities: a sign that goodness is something Talin is capable of. Every day, she wakes up and she begs for what she has done to mean something, for the kingdom to tell her she is right to believe it could be honorable, that it's befitting to spill blood until there is nothing left of her, until all the pieces are gone, until she cannot feel this twinge of doubt each time her blade slips in and out. There is peace at the end of this. There must be.
Un univers vraiment riche, des personnages très intéressants et des intrigues politiques. Que demander de plus ?
Toutefois, j’ai eu du mal avec la plume du l’autrice, surtout au début. De plus, je n’ai pas vraiment apprécier la romance entre les 2 protas. Ils avaient des scènes hot, smash, tout ce que vous voulez, mais je n’ai pas été touchée par leurs sentiments que j’ai trouvé « forcés » en un sens.
Les 2 plot twist étaient géniaux par contre ! Et cette fin me donne envie de lire le T2 dès sa sortie ! Trop hâte !!
J'ai dévoré ce livre ! je n'ai pas réussi à le lâcher ! je pense qu'il mérite beaucoup plus de vue sur les réseaux, et notamment c'était un univers tellement bien construit ! l'univers cyberpunk avec la magie et la politique est très bien équilibré ! j'ai hâte d'avoir la suite de cette trilogie !
Je me suis lancée dans la lecture de Désirs Immortels sans connaître l’histoire dont cet ouvrage s’inspire : Antoine et Cléopâtre. Cependant, je dois avouer que cela n’a nullement gêné ma lecture. Étant une grande fan de Ces Plaisirs Violents de la même autrice, je ne pouvais tout simplement pas passer à côté de cette nouvelle saga, et je suis ravie de l’avoir découverte !
J’avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l’histoire. Le worldbuilding est assez dense, et je pense que je n’étais pas suffisamment concentrée en lisant les premières pages. Heureusement, cette confusion initiale s’est dissipée rapidement, et j’ai pu apprécier pleinement le reste de l’histoire, que j’ai trouvée cruellement addictive. Chloe Gong m’a, une fois de plus, prouvé qu’elle possède une plume capable de me transporter du début à la fin.
L’autrice parvient à intégrer des touches de magie dans un contexte historique, et elle le fait avec subtilité et intelligence. Ces éléments magiques ajoutent une dimension supplémentaire au récit, sans jamais devenir trop envahissants ou lourds. Encore une fois, l’ambiance sombre et crasseuse de cette histoire m’a énormément plu, et elle se marie parfaitement avec les péripéties vécues par les personnages.
Et parlons justement des personnages. J’ai beaucoup aimé voir le duo Calla et Anton évoluer. Leur dynamique est explosive et intense, ce qui m’a captivée tout au long de ma lecture. J’ai particulièrement adhéré au personnage de Calla. Ses ambitions sont claires et louables, et elle sait précisément ce qu’elle veut dès le début. Elle est déterminée, ne change pas de cap en cours de route, et incarne une forte personnalité, ce qui a rendu son évolution très agréable à suivre.
C’est un premier tome que j’ai vraiment apprécié lire, et il me tarde de me replonger dans cet univers avec le second volume.
Ce qui me fascine chez Chloe Gong, c'est sa capacité unique à transformer ses univers en protagonistes à part entière. On ne suit pas seulement les aventures de nos personnages, mais aussi, ou surtout, celle du monde dans lequel ils évoluent. C'est quelque chose qui m'avait déjà épaté dans sa précédente saga. Au sein de "Désirs Immortels", néanmoins, Chloe Gong élève cette particularité à un tout autre niveau.
• Alors, on ne va pas se mentir, ce roman demeure très banal. Ma note n'a rien d'objectif, et je l'assume. L'histoire ne casse pas trois pattes à un canard. Elle ne contient aucun élément révolutionnaire. L'intrigue, lorsqu'elle ne se perd pas en route, reste terriblement prévisible. Et le rythme narratif de l'ensemble possède autant de dynamisme qu'un asthmatique sévère privé de Ventoline.
Sauf que.
•Cela fonctionne à merveille. Car l'univers de San-Er est juste incroyable. Sans lui, ce roman n'aurait aucun intérêt - une énième copie bas de gamme des Hunger Games, qu'on oublie sitôt le livre refermé. Or, j'ai été complètement subjugué par San-Er. Et l'idée d'une mutation qui permet de changer de corps, réduisant notre enveloppe charnelle à un vulgaire bien de consommation, dont on se défait aussi facilement qu'on change une ampoule ? Stupéfiant. Ce bouquin regorge de concepts novateurs, de créativité, de prises de risques. Les Jeux qu'affrontent nos héros, par exemple, peuvent sembler fades et superficiels, car dépourvus d'objectifs concrets. Or, en cela réside la nature même de leur existence : à cause du capitalisme à outrance qui la régit, rien, à San-Er, ne possède de valeur ou d'intérêt, pas même la vie humaine. Si on daigne s'y attarder 30 secondes, la portée de cette réflexion est prodigieuse, et tout aussi efficace que la critique sociale de la série Hunger Games dont Gong tire son inspiration. Fabuleux.
•Après, oui, clairement, ce bouquin manque de finitions. Certains aspects de l'histoire méritaient de plus amples explications. L'exécution pêche beaucoup par moments. Gong possède ce genre de prose qui se complait dans des descriptions à rallonge, et la narration pédalait parfois franchement dans la semoule. Mais si vous faites l'effort de vous accrocher, croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle.
• J'ai également beaucoup apprécié les personnages. Surtout Anton, le protag masculin, qui m'a vraiment intrigué, de par son charisme et sa nonchalance. Ses intentions semblaient volontairement vagues, lui donnant un petit côté imprévisible très agréable. Calla m'a moins marqué, cependant. Ce n'est pas le genre d'héroïne que j'apprécie, même si elle ne manque pas de panache.
Le seul point négatif repose dans l'inutilité complète des personnages secondaires. C'est un des travers de Chloe Gong. Ses personnages secondaires vont et viennent au gré de ses besoins narratifs, sans aucune caractérisation. Vous les rencontrez à peine qu'ils sont déjà remplacés par un autre POV, ou morts, ou juste disparus - je n'ai même pas cherché à comprendre qui était qui, dans le cas présent. L'autrice aurait gagné en fluidité si elle s'était limitée à ses trois protagonistes principaux (Auguste, Anton, Calla), mais bon. Ce n'était pas non plus une catastrophe.
En bref, ce roman fut une excellente lecture. Il est loin, très loin, d'être parfait, et demande un peu de détermination pour en venir à bout. Mais pour quel résultat, franchement !
J’ai été ravie de retrouver la plume de Chloé Gong dans ce livre même si au début j’avais du mal à comprendre qui était à la narration dans les différents chapitres. Mais une fois ce désagrément surmonté, j’ai été ravie de suivre les aventures de Calla et Anton pendant ces fameux jeux qui ont une petite vibe à la Hunger Games. Cependant, s’il y a un truc que je pourrais reprocher à l’auteure, c’est la fin qui était assez prévisible par rapport à certaines révélations pendant le récit mais bon j’ai passé un bon moment quand-même. Nos deux protagonistes en revanche sont très bien construits comme dans la duologie “Ces plaisirs violents” d’ailleurs certains traits de caractères m’ont rappelé Roman et Juliette que j’avais beaucoup aimé et ce décor aux vibes chinoises, je ne m’en lasse pas j’ai hâte de connaître la suite de cette histoire.
Après maintes déceptions face à de nombreux livres qui s’autoproclamaient inspirés de Hunger Games alors que je n’y trouvais strictement aucune ressemblance… voilà enfin une VRAIE bataille royale à la Hunger Games (ou Fortnite pour les geek) !
Et en plus, la bataille possède sa propre particularité : certains habitants peuvent « posséder » le corps d’un autre afin de se faire passer pour ce dernier en se glissant dans sa peau.
L’univers dystopique est un peu difficile à comprendre au début (d’autant plus que personnellement, je n’avais encore jamais vu ce type de « pouvoir » qui s’avère beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît) et qu’il y a différents points de vu. Si je ne me suis pas encore totalement attachée aux personnages, j’ai adoré suivre la badass Calla ainsi que la petite romance parsemée de rivalités.
Les cent premières pages sont donc un peu laborieuses, voire lentes, mais une fois qu’on a bien tout saisi, la lecture devient addictive. Le livre m’a un petit peu fait penser sur certains points à la série « Alice in Borderland » que j’avais adoré.
L’histoire est très bien rythmée et haletante. Il y a pas mal d’actions et de combats, surtout durant le dernier 3/4 du livre.
Et puis quel final ! Il me faut absolument la suite car il annonce un second tome grandiose.
Quel coup de coeur ! Un livre sombre, une ville tourmentée, une héroïne qui n'en est pas tellement une. On est bien ici dans un livre adulte, alors attention aux nombreuses scènes sanglantes qui m'ont personnellement bien bien plu. On a une protagoniste badass, pleine de vengeance, confiante et absolument impitoyable. J'ai adoré suivre Calla au cours de ce livre, même si son impulsivité m'a parfois dérangé. On a quelques plots twist parfaitement exécutés qui rajoutent une touche exquise au récit. L'écriture est beaucoup plus légere que dans Ces plaisirs violents, mais on y retrouve le même soin dans le choix des mots ce qui est très agréable. L'ambiance est sensationnelle, l'autrice a retranscrit à la perfection ce sentiment de surabondance de gens, d'immeubles, de lumière artificielle et de brouillard de San-er, au point qu'il se dessine sans effort dans notre tête pendant la lecture. J'ai vrmt flashé sur la singularité de cette ville et de cette sorte de "magie" qu'est le saut. Un dernier petit mot pour Anton, qui m'a beaucoup plu avec son intelligence sage, son calme et sa douceur malgré le cadre du livre. J'ai hâte d'en savoir plus dans le tome suivant, surtout après cette fin phénoménale !!
Ps: Sachez juste que le côté "Hunger games" ne prend pas nom plus une grande place dans l'intrigue, en réalité, l'enjeu n'est pas tellement de savoir qui va gagner, donc ne pensez pas que c'est quelque chose de central, sinon vous risquez d'être déçus...
Résumé
Il n'y a pas de dieux en ce monde, seulement des rois et des tyrans.
Une collision féroce entre amour et pouvoir dans cette réécriture d'Antoine et Cléopâtre.
Chaque année, une centaine d'habitants du royaume de Talin participent aux Jeux. Cette arène sanglante promet d'inimaginables richesses à son unique vainqueur.
La Princesse Calla Tuoleimi a déserté le palais après l'assassinat de ses parents... de sa propre main. Espérant débarrasser le royaume de sa monarchie tyrannique, elle pourra mettre un point final à son plan si elle triomphe des Jeux.
Anton Makusa, membre en exil de la famille royale, espère sauver son amour d'enfance gravement malade grâce aux gains qu'il tirera des Jeux. Confiant et indolent, il est certain que ses pouvoirs inégalés le guideront jusqu'à la victoire.
Bien qu'ayant des buts différents, Calla et Anton.scelleront une alliance dont l'intensité consumera tout sur son passage. Calla devra alors décider si elle se bat par loyauté envers son royaume, ou par amour.
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