Las, elle ne savait pas comment terminer cette phrase. Et à mesure que s'étiraient les secondes, elle éprouvait une sorte de liberté à admettre son impuissance, à laisser son cœur sombrer vers les abysses.
Peut-être qu'en touchant le fond, elle trouverait enfin pied ?

- Il y a un plateau de couteaux près de toi et une voiture qui t'attend à la sortie du bâtiment.
Puis elle s'écarta, le laissant maître de son futur.
Il avait cru qu'elle ne pourrait pas impressionner davantage, elle venait de lui prouver le contraire.

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- Je t'aime, dit-il.
- Idem, répondit-elle. Maintenant, tire-toi.

- Ferme-la, face d'astaxanthine !
- C'est acide docosahexaénoïque qu'on dit, abruti !
- C'est quoi, cette dispute ?

Et puis de toute façon...
j'ai l'habitude d'attendre...
La dernière fois j'ai patienté dix ans...
Alors cent, ça ne change pas grand-chose !!

"Nous affirmons qu'être soi-même est la plus belle chose qui soit au monde."

willupleasebequiet : tiny ?
bluejeanbaby : présent !
willupleasebequiet : tu es prêt ?
bluejeanbaby : prêt pour quoi ?
willupleasebequiet : prêt pour le futur.
willupleasebequiet : parce que je crois qu'il vient juste de commencer.

"Alors tu ne trouves pas que c'est un merveilleux jour ordinaire ?
Je vous souhaite à tous..
Un joyeux non-anniversaire !"
O. Vessalius

<< Certaines personnes confondent "échec" avec "échec et mat" ! >>
Recovery Girl

"-Désolé, sourit mon ami, convaincre les autres semis a été un peu plus long que prévu, j'ai dû en tuer un ou deux pour faire entrer le message dans leur caboche."

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Axel Brown

[Quentin] "Et Josh ? coassa-t-il. Allez donc le voir.
— Il a un autre projet, répondit Janet en levant les yeux au ciel. Il croit pouvoir atteindre la Terre du Milieu via le pays du Ni. Il est fermement décidé à se taper une elfe."

Arata :
"Enerve-toi...
Haïs-moi, Hikaru...
Déteste-moi jusqu'à ne plus jamais avoir envie de me voir,
ou sinon...
je n'arriverai pas à te laisser partir."

Maintenant qu'il y repensait, Kamais avait dû franchir les cordes pour
lui donner ce coup si puissant que son nez s'était brisé d'un coup. Il
avait parcourut ces trois mètres et franchit l'obsacle sans même qu'il
ne le voie esquisser le moindre mouvement. Il commençait à croire à
ces histoires de super-pouvoirs finalement et l'idée le séduisait
particulièrement.

- L'as-tu reconnu ?
- Mais non, je ne le connais pas ! Qui est-ce ?
Sa réponse fut pour moi un véritable choc car, au ton sur lequel il la fit, on eût dit qu'il ne savait plus que c'était à moi, Mina, qu'il parlait :
- Mais c'est lui... C'est cet homme !
Le pauvre chérie était évidemment terrifié par quelque chose - extraordinairement terrifié ; je crois que si je n'avais pas été près de lui, que s'il n'avait pas pu s'appuyer sur moi, il serait tombé.

Je pulvérise les murs de béton.
Je fracasse le verre de mes doigts.
Je tiens à présent une poignée de gravats & un bout de tissu en agrippant le cou de Warner, et 50 fusils sont braqués sur ma tête.

Je veux qu'il connaisse la même terreur que celle qu'il vient d'infliger à cet enfant. Je veux le regarder mourir. Je veux le regarder implorer ma pitiée.

Je ne comprends pas mes mains et ce qu'elle font ou comment elles ont décidé de foncer, doigts écartés, vers la vitre. Je sais seulement que je veux sentir le cou de Warner se briser entre elles.

Tout à coup le monde se brouille sous mes yeux.
Je suis la proie d'une rage si intense, d'une colère si puissante que je décolle presque du sol.

(Cassia & Ky)
[...]
Je sens ces bras forts autour de moi, la douceur de la soie tandis qu'il pose sa main creux de mon dos pour m'attirer plus près, tout contre lui.
- Cassia, répète-t-il encore une fois, doucement, si près que ses lèvres se posent enfin sur les miennes.
Enfin.
Je crois qu'il voulais dire autre chose mais, e n'est plus la peine.[...]