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De Londres au fin fond des Carpates, quel périple ! En arrivant à Bistritz, Jonathan Harker est épuisé. Mais son hôte, le comte Dracula, a tout prévu : une chambre est retenue à l'auberge. Le lendemain, Jonathan prendra la diligence jusqu'au col de Borgo. De là, une calèche le conduira au château.
Mais pourquoi les habitants du village se signent-ils avec des mines épouvantées quand Jonathan leur dit où il compte se rendre ? Pourquoi lui fait-on cadeau d'un crucifix ? De guirlandes d'ail ? Il est vrai que ce pays est celui de toutes les superstitions...
Malgré ces mises en garde, Jonathan Harker poursuit sa route. Certes, ces montagnes escarpées, ces loups qui hurlent dans le lointain ont de quoi vous faire frissoner. Mais enfin, nous sommes au XIXe siècle, que diable ! Et Jonathan est un homme raisonnable...
Il ne faut pas de preuve, pas plus que des personnes pour nous croire. Ce gaillard saura un jour quelle mère courageuse il a ! Déjà, il connaît sa tendresse et son amour. Plus tard, il comprendra que plusieurs hommes l'ont aimé au point d'oser, pour son salut, ce qu'ils n'auraient jamais osé autrement.
En fait, le mythe du vampire a beaucoup évolué. Dracula est peut-être ce qu'on en a fait de plus proche par rapport aux superstitions et aux croyances anciennes. Mais bien entendu, Bram Stocker n'en a pas utilisé tous les éléments sinon Dracula aurait été encore plus laid et se serait baladé en linceuil ;) En fait, je me demande si ce n'est pas le personnage vampirique le plus étoffé en littérature classique.
Cela fait bizarre de l'écrire mais c'est le premier roman parlant de vampires. C'est impressionnant de se dire que Bram Stoker a totalement inventé, de toutes pièces, ces créatures imaginaires de la nuit ... Un livre, à mon sens, incontournable.
Je voulais lire ce classique par curiosité et pour ma culture générale. Malheureusement, j'ai eu une énorme déception.
J'ai vraiment adoré la 1ère partie avec Jonathan Harker et le comte, l'ambiance générale est folle et mortellement dangereuse. Le fait que Jonathan écrive tout ses doutes dans son journal rend la chose encore plus stressante. Il y a de l'oppression et du mystère. La scène où il voit Dracula sortir de sa fenêtre de chambre et qu'il grimpe sur le mur, pépite !
Mais j'ai été tellement déçu quand la narration a commencé à se faire via le journal de Mina, je voulais savoir ce qui allait se passer pour Jonathan, je m'étais accrochée à ce personnage !
Je sais que ce livre a été écrit il y a bien longtemps maintenant mais je n'ai pas aimé la plume de l'auteur quand c'était les passages de Mina et de Lucie. J'ai trouvé que ces deux femmes étaient d'une nature très "gnangnan" avec des "ma chérie" par-ci et "ma chérie" par-là dans les lettres qu'elles s'échangeaient. Et les personnages masculins les ont mis énormément à l'écart en ce qui concerne la chasse au vampire. Je sais que c'est cliché de l'époque et aussi le contexte historique de "la femme reste en dehors de tout ça, les hommes s'occupent de faire le travail" mais ça m'a un peu frustrée et déçue.
Aussi, je n'ai vraiment pas accroché au personnage de Van Helsing, j'ai eu cette impression durant ma lecture que c'était quelqu'un de condescendant.
Cependant, j'ai apprécié le Docteur Seward par son côté humain et comment ses doutes et interrogations étaient retranscrites dans son journal.
Pour finir, ce livre s'appelle Dracula, mais je n'ai pas du tout eu l'impression que l'on racontait l'histoire du légendaire comte Dracula (sauf au tout début). Pour moi, c'est un roman sur Van Helsing... Voilà pourquoi, grosse déception alors que ça partait si bien lors des 85 premières pages...
J’ai découvert avec un véritable plaisir ce classique et je regrette simplement de ne pas l’avoir lu plus tôt.
Dracula est un livre excellent tant sur sa plume (pour peu d’être sensible aux classiques et c’est mon cas), épistolaire (une nouvelle case de cocher : j’adore ça), avec un véritable suspense. Il pose les bases de ce personnage iconique et reprend toutes les traditions des vampires avec une véritable pédagogie. L’ambiance, sur les deux tiers du livre, est délicieusement gothique, inquiétante et pesante. J’ai été moins sensible à la dernière partie (ce qui explique que ce n’est pas classé en diamant).
Sur les personnages
Nous sommes vraiment sur une ambiance XIXe, et on reconnait bien la plume et la façon de s’exprimer qui m’amuse toujours. Le livre se dévore, les personnages possèdent cette naïveté touchante qui accentue la noirceur de Dracula. Ce dernier était terrifiant par l’ombre qui laisse et j’ai adoré le découvrir.
Sur la trame.
Il y a 4 grands moments à mes yeux et le dernier me parait moins intéressant :Spoiler(cliquez pour révéler)
- L’emprisonnement de Harker : nous rentrons tout de suite dans une ambiance particulière où le paranormal a toute sa place et où une tension s’accentue à chaque page.
- La lente mort de Lucy : nous revenons près de Londres et découvrons la décadence de Lucy et les efforts des hommes qui l’entourent. La puissance de Dracula et son ombre sont plus présents que jamais, et le vampire semble plus qu’intouchable.
- La phase de l’enquête : cette fois, Mina est prise pour cible et le lien avec le fou Reinfeld est poignante. A nouveau, l’angoisse saisit, Dracula brille par son absence qui le rend, paradoxalement, omniprésent.
- La poursuite de Dracula : ce dernier étant enfermé dans une caisse, la lente dégénérescence de Mina apporte un certain piquant, mais comparativement au reste, nous sommes toute de même avec une intensité moindre, d’autant que la confrontation finale reste très faible. Il est vrai que concernant de cette dernière, elle souffre beaucoup du manque d’épique auquel nous sommes habitués désormais.
Ce livre m’a permis de découvrir bien plus sur les vampires et de me laisser emporter dans une histoire prenante et de comprendre enfin qui est derrière ce fameux personnage de Dracula.
Maintenant, je vais parler de l’édition collector de Bragelonne (2024), et c’est une catastrophe. Pour 66e, j'attendais de cette version annotée un véritable apport.
Qu'ai-je obtenu ?
> Des spoils à longueur de romans (je ne connaissais pas l'histoire, en lisant les annotations, je découvrais qui étaient les futures victimes, quelles actions Dracula allait faire, les explications bien trop tôt de CHAQUE événement ce qui gâche évidemment toute l'histoire...)
> Des commentaires inintéressants La critique se permet des petites phrases ironiques du genre "ah oui, et comment le grand Van Helsing pourrait savoir ça ?" ou "oh, enfin une limite au savoir de Van Helsing !"
> Des interprétations délirantes (Mina qui ferait exprès de communiquer avec Dracula par amour pour lui... ce qui n'est PAS UNE FOIS même sous-entendu dans le texte, la commentatrice confond visiblement ses lectures avec d'autres univers)
> L'explication des pouvoirs de Dracula qui sont corroborés par des livres d'autres romans (elle cite notamment Anne Rice et Buffy pour justifier les pouvoirs de Dracula... les pouvoirs n'étant pas forcément identiques d'un univers à un autre) sans compter l'anachronisme de la comparaison... Elle va même jusqu'à demander à se référer plusieurs fois à la généalogie de Dracula qui n'a PAS été établie par Bram Stocker...
> Des précisions indiquant "il y a une erreur sur le lieu / date / horaires... Ils auraient dû arriver à 22H et non minuit... Le voyage n'a pas dû être effectué par l'auteur..."... Passionnant...
Bref : je suis furieuse. J'espérais découvrir un classique dans une belle édition, je me suis retrouvée empêtrée sous des avis qui n'ont certainement jamais été lus par quiconque tant ils desservent l'histoire !
Si vous souhaitez uniquement un beau livre dans la bibliothèque qui ne sera jamais lu, cette édition est faite pour vous. Sinon passez votre chemin...
Lorsqu'un journaliste irlandais décide d'écrire une aventure vampirique en 1897, ce n'est pas un simple roman qui se livre à nous, mais une légende qui traversera les siècles avec un nom qui s'invitera dans tous les cauchemars : le nom du Comte Dracula.
Découvrez l'aventure tragique de Mina, Jonathan et du Comte Dracula à travers ces quelques slides.
Je vous avoue qu'un certain constat me chagrine un peu.
Chaque année, du petit vampire costumé d'Halloween au mâle super sexy à dents ensanglantées d'une nouvelle série nous inondent de clichés, mais pourtant leurs origines ne sont pas vraiment connus.
Ce que nous prenons aujourd'hui pour acquis remonte à bien des légendes. Et à un auteur en particulier.
Bram Stoker.
Ce voyage entre Londres et les Carpates nous embarque dans un tableau sombre et mystérieux où la réalité est vite remplacée par un monde dangereux couleur rubis.
Lorsqu'un jeune clerc de notaire part faire signer des papiers au Comte Dracula dans sa demeure de Transylvanie, il se retrouve piégé dans un monde aux hallucinations pourtant bien réelles.
Tandis que Jonathan passe d'invité à victime d'une séquestration, le grand Comte énigmatique s'éprend de la fiancée de ce jeune garçon. Des évènement surnaturels apparaissent aussi au même moment dans la grande ville de Londres où réside Mina, la jeune fiancée. Démarre alors une traque sans merci pour sauver Mina et la population londonienne des griffes de Dracula.
Plaindre ou craindre ?
Mourir ou aimer ?
Est-il possible d'aimer au delà de la mort ?
Cette histoire nous plonge dans la folie et les meurs d'une société pas si différente de la nôtre.
Un classique que tout le monde devrait avoir lu au moins une fois.
Beaucoup d'adaptations sont disponibles, mais le texte original garde bien des secrets sur LE Dracula.
Vous pouvez d'ailleurs visiter le château de Vlad Tepes !
Dracula, paru en 1897, est un pilier de la littérature gothique, définissant l’archétype du vampire dans la culture moderne. Dès les premières pages, l’ambiance sombre et l’écriture soignée plongent le lecteur dans un univers de mystère et de fascination. On suit Jonathan Harker, un jeune avocat anglais, qui se rend en Transylvanie pour assister le comte Dracula dans une transaction immobilière. Rapidement, Harker se retrouve piégé dans le château du comte et découvre peu à peu la véritable nature de ce dernier.
L’histoire, racontée sous forme de journaux intimes, lettres et coupures de presse, adopte un style épistolaire que, je l’avoue, je redoutais au départ. Pourtant, ce format apporte une profondeur unique à la narration, permettant à chaque personnage – Mina, Lucy, Van Helsing, le Dr Seward – de s’exprimer et d’enrichir l’intrigue. Cette pluralité de voix crée un suspense et une immersion totale rendant la lecture captivante et addictive, même pour un roman aussi dense.
Le charme de Dracula réside dans son atmosphère envoûtante, ses descriptions saisissantes et son exploration des peurs humaines profondes. À la fois terrifiant et fascinant, Dracula reste un symbole de l’étrangeté et de l’effroi, et le roman de Stoker continue d’inspirer des adaptations et des réinventions dans la culture populaire.
Un point qui m’a dérangée, cependant, réside dans certaines remarques teintées de misogynie, notamment dans les propos de Van Helsing et d’autres personnages masculins. Bien sûr, ces propos doivent être replacés dans le contexte de l’époque victorienne, mais je reconnais qu’ils peuvent parfois être agaçants. Par ailleurs, quelques passages sont plus longs et descriptifs, mais cela n'a en rien altéré mon plaisir de m’immerger dans cet univers étrange et inquiétant.
Je suis ravie d'avoir enfin plongé dans ce roman que j'appréhendais depuis longtemps.
En somme, Dracula est une lecture fascinante, à la fois intemporelle et marquée par son époque, qui explore nos peurs les plus primaires avec une plume ensorcelante. C’est un chef-d’œuvre du roman gothique qui captive et effraie encore aujourd’hui.
J'ai beaucoup aimé le mythe (hihihi c'était spooky dit donc), surtout les personnages (Nina c'est mon bébé go girl !), les relations entre les personnages aussi (l'amitié entre fille de Nina et Lucy chef kiss, et les bro moment entre les hommes chef kiss aussi) et j'ai passé du bon temps à lire ce livre. Le seul point négatif c'est que Bram Stoker est sexiste mais c'est pas un sexisme "allez c'est l'époque pas grave" mais plutôt gros crachat dans ta gueule de bonne femme. Ca se voit surtout avec Nina, elle est plus que capable mais elle se refoulait parce que c'est une femme, le professeurs lui fait comprendre que "ok t'as plus de cran qu'un bonhomme mais oublie pas que tu est une bonne femme" et littéralement un moment où elle est représenté en figure maternel avec description de l'auteur pour nous rappeler que les femmes c'est surtout pour faire des enfants
L’histoire est écrite sous forme de journal, à chaque changement de personnage on a son histoire écrite à la première personne car on lit son journal. J’ai beaucoup aimé car comme ça on sait toujours quel personnage parle !
En parlant des personnages je les ai tous beaucoup aimé, ils avaient un peu tous le même caractère mais tout en étant différent, j’ai adoré le personnage de Van Helsing particulièrement
L’histoire était super, j’ai adoré le début ou il comment a y avoir le sentiment de peur et d’angoisse qui s’installe petit à petit, et vu que c’est le personnage qui nous écrit directement ses ressentis, il nous les transmet directement c’était incroyable ! Plus tard dans l’histoire on ne parle plus de Dracula mais des « crimes » qu’il commet et comment sa impacte les gens, il y a des quelques longueurs malheureusement, mais ça vaut le coup car la fin est géniale !
Présenté sous forme de journal intime, qui alterne avec les personnages...Bram stocker fait de son vampire, le pire personnage que l'on pourrait croiser sur son chemin.La forme choisi du journal centré sur les sentiments des protagonistes peut rendre l'action ralenti, mais l'on frissonne dès que le comte apparait.
J'ai vraiment souffert pour finir ce livre...C'était lent et extrêmement long, en plus je pense que le côté roman chorale épistolaire créé une distance émotionnelle entre lecteur et les personnages, je n'arrive à m'attacher, ni a avoir peur pour eux. Après l'ambiance gothique est présente et c'est bien de connaître les origines de Dracula. Bref, mon ressenti, j'en suis venu à bout, je l'ai lu..
Résumé
De Londres au fin fond des Carpates, quel périple ! En arrivant à Bistritz, Jonathan Harker est épuisé. Mais son hôte, le comte Dracula, a tout prévu : une chambre est retenue à l'auberge. Le lendemain, Jonathan prendra la diligence jusqu'au col de Borgo. De là, une calèche le conduira au château.
Mais pourquoi les habitants du village se signent-ils avec des mines épouvantées quand Jonathan leur dit où il compte se rendre ? Pourquoi lui fait-on cadeau d'un crucifix ? De guirlandes d'ail ? Il est vrai que ce pays est celui de toutes les superstitions...
Malgré ces mises en garde, Jonathan Harker poursuit sa route. Certes, ces montagnes escarpées, ces loups qui hurlent dans le lointain ont de quoi vous faire frissoner. Mais enfin, nous sommes au XIXe siècle, que diable ! Et Jonathan est un homme raisonnable...
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