Commentaires de livres faits par Livresmagique
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Commentaires de livres appréciés par Livresmagique
Extraits de livres appréciés par Livresmagique
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"Quoi?"
"T'es la plus belle dans le bar à soir.Je voulais juste te dire ça, bonne soirée, j'espère que tu t'amuses."
...
J'ai fais semb'ant de pas avoir entendu juste pacre que je voulais qu'il répète et aussi pour me donner le temps de trouver quelque chosw à répondre ou ben à dire,simplement.
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EXTRAIT 2: Nous faisons tellement de choses... Maintenant, je n'ai plus envie de faire quoi que ce soir, je n'y arrive plus.
Parfois, je me dis qu'il faut que je me fasse violence, mais c'est trop difficile. Tant que l'on ne vit pas ce drame, on ne peut pas comprendre. C'est comme si l'on vous opérait à coeur ouvert, en oubliant de refermer votre chair.
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Ses mots glissent sur mon corps comme une caresse.Je n'ai pas besoin de parler sa langue pour savoir ce qu'il a dit.
Ses yeux révèlent tout ce que j'ai besoin de savoir.
-Il n'y a que toi qui le penses, je réponds en secouant la tête.
-Tu ne te vois pas comme le reste du monde te voit, ajoute-t-il en posant une main sur ma joue.
-Tu n'es pas le reste du monde,Frenchie,je rétorque en riant.
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EXTRAIT 2: -Certaines personnes ne sont pas faites pour être sauvées. On peut les mettre sur le droit chemin, elles finiront toujours par bifurquer. C'est tout ce qu'elles savent faire. Peu importe la douleur qu'elles infligent aux autres, elles ne seront jamais capables de se contrôler. La douleur qu'elles causent aux autres ne sera jamais comparable à celle qu'elles s'infligent à elles-mêmes.
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EXTRAIT 3: Vu de l'extérieur, Cable semblait n'avoir aucune raison de ne pas être le garçon le plus heureux de l'univers. Mais la dépression et l'addiction ne fonctionnaient pas comme ça. Elles se fichaient de ce que vous aviez. Et elles se fichaient de ce que vous perdiez.
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EXTRAIT 4: En y réfléchissant bien, l'amour et la haine ne différaient pas tant que ça. Au fond, c'étaient deux sentiments qui vous rendaient complètement dingue, qui vous faisaient faire des choses que vous n'auriez jamais imaginé faire, et il était trop facile de s'y perdre.
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-Mais pourquoi? Ces choses sont véritablement dures à comprendre.
-Tout comme l’art,parfois.Tout repose dans les yeux de celui qui l’observe.Ce que tu vois,ou ce que je vois,sera peut-être différent de ce que verra une autre personne,et c’est tout l’intérêt.
-Tu lui as donné un nom?
Il hoche la tête.
-Comment?
-Comme je veux que les gens le perçoivent.
Je déglutis en attendant qu’il s’explique,ce qu’il ne fait pas.
-C’est-à-dire? j’insiste.
Il promène son doigt de ma tempe à ma bouche em suivant sa main des yeux.
-“S’aimer soi-même”.
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Tante Millie soupire lentement.
-Aucune règle ne linterdit,mais fais attention,Mia.Ces hommes peuvent te promettre la lune,ça ne veut pas dire qu’ils la decrocheront pour toi.Crois-moi,j’ai déjà entendu ça.Trop de fois,d’ailleurs.
-Alors,il n’y a rien qui l’interdit?
-Non,mais...protège ton coeur,ma poupée.Ce métier n’est pas pour tout le monde et tu as déjà beaucoup souffert pour quelqu’un de si jeune.Prends le temps de t’amuser,de te détendre,et goûte à tout ce que la vie peut t’offrir.C’est sans doute ta seule occasion de le faire.
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EXTRAIT 2: La vie m’a appris qu’il ne fallait compter sur personne de toute façon.On est seul,peu importe le nombre d’amis qu’on a sur Facebook.
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EXTRAIT 3: Bienvenue sur Dear Patriarchy,
S’il vous plaît,souvenez-vous que les gens combattent des démons intérieurs que vous ne pouvez voir,vivent des choses que vous ne pouvez savoir.Soyez gentils.
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EXTRAIT 4: -Bon sang,tu ne pèse rien.Aïe! m’écrié-je quand elle me donne une claque sur la tête.J’ai dit quelque chose de mal?
-Si je pesais lourd,tu me l’aurais dit?
-Non,mais...
-Exactement! Ça aurait été inapproprié.L’inverse,c’est pareil.Qui te dit que je ne suis pas complexée?
Je fronce les sourcils,confus.Elle est parfaite!
-Complexée de quoi?
Silence.Je réalise soudain qu’elle ne plaisante pas.
-D’être trop maigre.Par exemple.
Oh.J’avoue ne pas y avoir pensé.On pense toujours aux femmes qui sont complexées par leurs kilos en trop,mais j’imagine qu’on oublie trop souvent les autres.
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EXTRAIT 5: - Je suis sérieux ! Avec vos conneries de féminisme, c'est devenu super difficile d'être un homme; t'es un macho si tu refusés de la laisser payer et t'es aussi un macho si tu ne paies pas à sa place; il suffit que tu frôles le corps d'une nana dans le train pour qu'elle crie à l'agression sexuelle...
- T'as raison, l'interrompre sèchement Azalée, et je sais tout de suite qu'il n'a aucune chance. C'est vrai qu'être une femme, c'est easy. On se fait siffler dans la rue et tripoter dans le train dès qu'on porte une jupe, on se fait traiter de pute quand on couche et de coincée quand on ne couche pas, on n'est pas prises au sérieux quand on dit avoir été violée, on est payées moins que vous pour bosser autant, on est forcées de fonder une famille passé trente ans par peur d'être considérées comme parias de la société, On doit rester belles mais surtout naturelles, sans être grosses mais sans être maigres non plus car "personne ne veut d'un sac d'os", puis alors on ne doit surtout pas être trop intelligentes, et encore moins oser se battre pour nos droits, sinon c'est qu'on est des rabat-joie et qu'on ne trouvera jamais de mari et des enfants, pas vrai ? Et on devrait savoir faire à manger et le ménage, sinon on n'est pas une "vraie femme". Et ça, ce n'est que la surface du problème: je t'épargne les choses sordides que les femmes subissent dans le pays du tiers-monde. Non t'as raison, à côté de ça, c'est si dur d'être un homme blanc, riche et hetero en 2018.
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EXTRAIT 6: Il y a des rencontres qui changent une vie,des rencontres qui ne sont pas en mesure de vous sauver mais qui peuvent vous accompagner jusqu’au bout du chemin.Comme une lumière dans l’obscurité.
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La force dévastatrice de ce glissement de terrain a détruit en quelques minutes maisons, oitures,autobus,emportant dans une mort tragique des familles entières.Une fois recueillis par les sauveteurs,les sinistrés en état de choc étaient encore ébranlés face à leur impuissance de n’avoir pu répondre aux cris d’angoisse de leurs voisins en détresse entraînés dans le torrent de vase meurtrier à quelques mètres d’eux.
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Elle n'avait rien du petit animal blessé.
Elle était détruite.Anéantie.Oblitérée.
Froide comme un glaçon,au-dedans comme au-dehors.
Elle l'avait abandonné.
Et tout son coeur avec.
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EXTRAIT 2: Secouée par ce spectacle,la jeune femme en était ressortie doublement convaincue que de profonds changements s'imposaient.C'était révoltant qu'un tel endroit puisse exister.Les gens tout en bas de l'échelle étaient les vraies victimes.Et ceux tout en haut... les vrais méchants.
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EXTRAIT 3: -Pleure les morts,pas les vivants,lui glissa-t-il.Ce n'est pas la fin pour lui,mais une nouvelle vie qui commence.
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-Un rite de passage.C'était pratique courante dans certains tribus africains.On circoncisait le garçon à froid,on l'abandonnait une nuit dans la jungle.
-Tu...tu veux me couper le précupe dans la forêt?
-Mais non,on pourrait faire quelque chose de moins...disons,intense.Mais il faudrait que ce soit quand même un défi pas trop facile.J'ai pensé qu'on pourrait partir d'ici et marcher tous les deux jusqu'à notre nouvelle maison de Montréal,que t'as pas encore vue,d'ailleurs.
-À pied?
-Oui. "..."
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EXTRAIT 2: Il écoutait en fixant la chaussée.Ce n'est qu'à cet instant qu'il prenait conscience du sens réel de cette expédition.Pour la première fois de sa vie,il accomplissait une activité dénuée d'objectif pratique,qui ne promettait ni le plaisir concret ni récompense tangible,mais au bout de laquelle l'attendait une seule et unique chose: lui-même.
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Ce geste mécanique atteingnait Brenda en plein coeur,parce qu'elle y sentait une sorte de vénération qu'elle n'avait jamais provoquée chez aucun autre homme.Et ce sentiment la réconfortait.
Elle ne se doutait nullement de la source réelle du geste et Conrad se rengorgeait à chaque fois: il avait vraiment fait l'amour à cette femme!
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EXTRAIT 2: Et puis non... ce n'était pas à son inconscience qu'elle en voulait.Non,c'était à son absence,tout bêtement.Son absence d'homme enfui.
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EXTRAIT 3: Elle ne comprenait pas pourquoi cet homme la regardait.
Elle en était sûre,il la regardait.
Et elle etait sûre aussi que son oeil gauche coulait.
Et que la coulure était noire à cause du mascara de mauvaise qualité qu'elle était bien obligée d'utiliser.
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Je n'aurais pas dû.
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EXTRAIT 2: Afin de me garantir une euphorie maximale,j'ai adopté depuis longtemps un code de conduite à la fois simple et rigoureux.Je m'interdis de regarder les photos de l'endroit avant d'être sur place,de même que de lire une ligne à son sujet.Le décompte des jours en est d'autant plus souffrant.Mon ventre se dechire d'une voluptueuse langueur chaque fois que je prononce son nom.Lorsque je me trouve dans cet état,je suis comme hora de moi; je voudrais ne rien voir,ne point parler,que je considère comme une gloire bien supérieure à toutes les gloires créées.
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EXTRAIT 3: Je le lui répète: "Ici,il n'y a que des fantômes.Et je les sens,ils ne sont pas mauvais,seulement infiniment mélancoliques."Enfants,lorsque nous avions peur le soir dans nos lits,notre mère nous berçait d'une petite comptine.
Trouble est vain,
Peur est vaine,
Tout s'achève.
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EXTRAIT 2: Son coeur se met à battre rapidement,un mélange de frayeur et d'excitation,des restes d'adolescence et un appétit d'adulte.
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EXTRAIT 2: On ne peut pas toujours contrôler ce que font de vous les circonstances de la vie.
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EXTRAIT 3: Pourtant,même après des années de tragédie,je refuse de baisser les bras.Je ne sais pas si ce voyage pour l'Europe avec la boîte que nous avons fermée lors de notre nuit de noces pourra ou non arranger les choses.Je ne sais pas si un geste grandiose pourrait te convaincre de la vacuité de ma vie sans toi.Mais je ne passerai pas une journée de plus sans essayer de te prouver à quel points les enfants ont peu d'importance quand il est question de ma vie sans toi.Je n'ai pas besoin d'enfants,Quinn.J'ai besoin de toi.Jamais je ne pourrai assez le souligner.
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EXTRAIT 2: -Je ne te hais pas,s’écria-t-elle.Ni aujourd’hui ni jamais.
-Petite chise,s’émut-il en faisant un pas vers elle,comment fais-tu pour avoir si grand coeur?
-Le seul truc qui m’a maintenu la tête hors de l’eau pendant ma disparition,c’est penser à toi.Je savais que tu m’attendais dehors.J’ai rangé tous nos souvenirs heureurx dans un recoin de ma tête où rien ni personne ne pouvait les abîmer.Et puis quand je suis sortie...j’ai eu le sentiment que je n’étais rien à tes yeux.
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EXTRAIT 3: -C’est la lecture qui m’a permis de ne pas devenir folle.Les livres sont une porte ouverte sur mille mondes.Je m’y évade.Dans une réalité meilleure aue la mienne.
-S’évader,parfois,c’est tout ce qui compte.
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EXTRAIT 4: -Le présent n’efface pas le passé.
-Non,en effet.Et le passé ne définit pas davantage l’avenir.
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Nous vivrons dans des yeux toujours ouverts.
Mais ce soir,petite,ferme tes paupières.
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EXTRAIT 2: Nous vivons chaque jour dans la crInge qu’il soit le dernier.Nous dormons mal et,quand nous le faisons,des cauchemars nous poursuivent.
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EXTRAIT 3: -Je dois te dire autre chose.Ton frère n’est pas encore guéri.Il ne pourrait pas porter la ceinture.Il est trop faible.C’est pour ça que je t’ai choisi.
-Et si Aziz n’avait pas été malade,qui aurais-tu choisi? a demandé Amed avec un aplomb qui a surpris son père.
...
-J’aurais demandé aux oranges de décider à ma place.
-Aux oranges?
-Voilà ce que j’aurais fait: j’aurais donné une orange à ton frère,puis une autre à toi.Celui qui aurait trouvé le plus de pépins dans son orange,eh bien,c’est lui qui serait parti.
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EXTRAIT 2: - Ce sentiment d’injustice qui pousse en moi depuis si longtemps... Je voudrais tellement que ça sorte... Que ça me perce la peau, d’une manière ou d’une autre, pour laisser couler le pus...
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