Commentaires de livres faits par Livresmagique
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Page: 9
Extrait 2: -À quoi tu penses? s'enquit Laird.
-Oh,rien d'important.
-Tu peux préciser?
Travis se tourna vers lui:
-T'as jamais remarqué que certaines couleurs pouvaient être des noms de familles, mais d'autres jamais?
-Qu'est-ce que tu racontes?
-White et Black, par exemple. Comme Barry White, le chanteur.Et M.black, notre prof du CE2.Ou même Mlle Rose dans le Cluedo.Mais on n'a jamais entendu parler d'un M.Orange.Comme si certaines couleurs correspondaient à des noms de familles qui sonnaient bien,alors que d'autres avaient carrément l'air idiot.Tu vois où je veux en venir?
-Je dois avouer que ce truc-là ne m'a jamais traversé l'esprit.
-Moi non plus.Jusqu'il y a une minute à peine,en fait.Mais c'est plutôt bizarre,non?
-Ben oui,finit par admettre Laird.
Les deux hommes se turent quelques instants,puis:
-Je t'ai dit que c'était pas important.
-Exact.
-J'avais raison?
-Ouais.
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Extrait 3: Il posa une main sur le comptoir pour garder l'équilibre.Madeline fit le tour du bureau,les clés de voiture tintant dans sa main.Travis regarda à la ronde les clients de la salle d 'attente,revint vers Madeline,puis baissa les yeux.Lorsqu'il releva la tête,il ne put que répéter la phrase entendue auparavant au téléphone:
-Elle est réveillée...
Page: 344-345
Page: 95
Page: 18
Extrait 2: J'aimerais ça,avoir le choix d'embrasser ou pas un gars comme Simon,le faire languir,me laisser aimer et me sentir belle à travers des yeux de gars fou d'amour pour moi.
Page: 25-26
Page: 45
Extrait 2: URGENT
Affaire Natascha Kampusch : Femme affirmant être portée disparue
Police tente de déterminer son identité
Vienne (APA)-L'affaire Natascha Kampusch,disparue il y a plus de huit ans,prend une tournure surprenante: une jeune femme affirme être la petite fille recherchée depuis le 2 mars 1998.La police criminelle a enregistré les données pour vérifier l'identité de cette femme."Nous ne savons pas s'il s'agit de la personne disparue ou d'une femme délirante."a déclaré à l'APA Erich Zwettler de l'office fédéral de police criminelle.
...
23 août 2006.
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Page: 253
Extrait 2:-Parce que,lorsque je t'ai rencontrée,j'ai réalisé que tu me plaisais.Je sais que c'est idiot,on ne s'était même pas parlé.N'empêche que je me suis dit que,si je n'arrêtais pas de penser à toi,c'était que je n'aimais pas Alexandrine.Alors,j'avais prévu la laisser le soir qu'on est allés chez vous pour la première fois.J'ai été obligé d'annuler notre rencontre parce que mon père voulait qu'on mange chez Élizabeth pour faire la connaissance de sa fille.À ce moment,je ne savais pas que j'allais te voir.Comment j'aurais pu savoir que c'était toi,la fille d'Élizabeth?
Page: 275
Extrait 3:Puis il m'embrasse encore.
La porte de l'entrée se referme et,dans un élan de panique,je pousse Liam de mes mains et de mon pied.Comme dans un film de superhéros,il se fait propulser dans les airs et atterrit sur le plancher à côté du lit.
-Oups!
J'éclate de rire en réalisant ce qui vient de se produire.Liam se relève péniblement et rigole un peu.
-OK.OK. J'ai compris,je retourne dans ma chambre.
Je ris encore plus et lui aussi.
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Page: 11
Extrait 2: Il enlaça Sarah.
-Tu admettras,au moins,que je me suis conduit à la perfection.
-Il te faut un trophée pour te récompenser?
-Ça ne me déplairait pas.
-Eh bien,regarde ce que tu tiens en ce moment entre tes bras! s'exclama Sarah en souriant.
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Extrait 2: Fanny était surprise par ses propres paroles.L'amour,ça fait des miracles...Sans doute.Mais ça peut aussi tuer à petit feu.
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C'est Liam Scott.
Page:92
Extrait 2: -Tout le monde est décent? Parce que je descends! nous avertit monsieur Scott avant que ses pas résonnent sur les marches.Avouez que mon jeu de mots est cool!
Il nous trouve sagement assis l'un à côté de l'autre sur le sofa.Il attend une réaction.
-Décent,avec un c...parce que je descends...C'est drôle,non?
-Oui,oui, répond Liam.
-C'est tout?
Il nous regarde tour à tour,sans doute déçu de ne pas avoir suscité l'hilarité.
-Je te rappelle que Roxanne est sourde.Les jeux de mots,ce n'est pas sont fort...
-Oh shit!
Là,je ne peux m'empêcher de sourire.
-Est-ce qu'elle a lu ça sur mes lèvres? s'inquiète le père de Liam en voyant ma mine.
-Probablement,lui confirme son fils.Elle est douée.
Page: 266-267
Page: 46-47
Extrait 2: Ne pas penser aux corps enfermés dans ces deux boîtes.
Arrêter de me culpabiliser.Ça ne sert à rien.On ne peut pas revenir en arrière.
Continuer à vivre.
Simplement continuer à vivre.
J'ai envie de hurler de toutes mes forces: oui,mais comment faire?
Page: 60
Page: 29
Mais l'Univers est une machine bien accordée.Il est formé de milliards de choses vivantes,toutes programmées à l'avance pour avancer sur tel chemin particulier et pas tel autre,s'agglomérant et se "désagglomérant" sans pour autant interférer les unes avec les autres.Quand quelqu'un meurt,ce chemin est traditionnellement libéré pour qu'un autre être vivant puisse l'emprunter!
Page: 81-82
Si je reste.Si je vis.C'est moi qui décide.
Cela ne dépend pas des médecins.Leurs histoires de coma artificiel,c'est du bla-bla.Cela ne dépend pas non plus des anges,qui brillent par leur absence.Cela ne dépend même pas de Dieu qui,s'Il existe,ne se montre pas en ce moment.Mais de moi.
Page: 82
Extrait 2:
-Là,tu bottes en touche,Mia.Tu sais bien qu'en amour,il y a des hauts et des bas.Parfois,c'est l'harmonie,parfois,la cacophonie,comme en musique.
Page: 194
Demers haussa les épaules.
-Il y a toutes sortes de monstres,inspecteur: certains le sont toute leur vie,certains le sont juste pendant un court moment,pis certains le sont sans même le savoir...
Pages: 175-176
Mon sourire à moi tremble un peu.
-Tu es content?
-Content? Ce n'est pas le mot! C'est le plus beau jour de ma vie! Mon spectacle est un succès,j'ai retrouvé mon meilleur ami et je sors avec la fille la plus extraordinaire,la plus généreuse,la plus...Qu'est-ce qu'il y a?
Pourquoi pleures-tu?
Page: 200
Mes poumons sont à bout.
Encore une fois.Pour Stella.
-Pas...maintenant.Allez...Pas maintenant.Respire.
Je la supplie,le froid m'agresse alors que je tiens son visage entre mes mains pour lui souffler tout mon air.
C'est si éprouvant,à la limite du supportable.
Ma vue se trouble,l'obscurité vacille en périphérie,se répand progressivement jusqu'à ce que je ne voie plus que le visage de Stella,au milieu de l'obscurité.
Je n'ai plus rien à donner.Je n'ai plus rien à...Non.
Je rassemble mes forces,cherche mon souffle au comble du désespoir,conscient au fond de moi que c'est le dernier.
Et je le lui donne.Je lui donne tout ce que j'ai,à elle,à celle que j'aime.Elle le mérite.
Je lui cède la totalité de mon air puis m'effondre sur elle,sans savoir si ça suffit,alors que rugissent au loin les sirènes de l'ambulance que j'ai appelée.J'ai la tête ruisselante lorsque ma main trouve la sienne,puis je laisse les ténèbres m'ensevelir.
Pages: 271-272
J'aspirais à ce bonheur en divorçant,mais je culpabilisais.
J'aspirais à ce bonheur en sortant avec Antoine,mais je me mentais.
J'aspirais à ce bonheur en aimant Karl,mais je fuyais.
Aujourd'hui,je goûte au bonheur,car je le crée.
Page: 331-332
On cherche parfois bien loin ce qui se trouve tout près.Je sais que tu te sens perdue et que tu souffres.J'ai mal avec toi.Tu n'es pas toute seule,quoi que tu en penses.Je t'aime.
M.-A
Mon Dieu.Marc-André.
La politesse, c'est le respect d'autrui.
Le courage,c'est de faire ce qui est juste.
La sincérité,c'est de s'exprimer sans déguiser sa pensée.
L'honneur,c'est d'être fidèle à la parole donnée.
La modestie,c'est de parler de soi-même sans orgueil.
Le respect, car sans respect aucune confiance ne peut naître.
Le contrôle de soi,c'est savoir taire sa colère.
L'amitié,c'est le plus pur des sentiments humains.
Max s'est levé pour venir vers moi.
-Si,c'est grave.Tu n'es pas Becca.Tu es... toi.
Je ne savais pas quoi dire.Il était si près de moi que la chaleur de son corps me faisait oublier le froid du tableau noir contre lequel j'étais appuyée.
Max m'a posé une main sur la hanche,l'autre autour de la taille.Ses yeux,rivés aux miens,brûlaient de la même fièvre que lorsqu'il avait parlé de Becca avec Susan.
Il a resserré son emprise.A se demander si ce n'était pas moi qui le hantais,finalement.
Je n'ai pas eu le temps de me convaincre du contraire: ses lèvres se sont posées sur les miennes...et j'ai oublié tout le reste.
Plus rien ne comptait.Je me fichais même qu'on entre et qu'on nous surprenne...
A tel point que si Becca avait été là,morte ou vivante,j'aurais continué à embrasser Max.
Devant son nez.
Sans aucun problème.
-Tu es une fille merveilleuse,Jamie.Tu es belle,douce,gentille...tu es tout ce que je voudrais être.
Extrait 2:
-Tu l'aimes vraiment,n'est-ce pas?
-De tout mon coeur.
Jamais je ne l'avais vue aussi triste.
-Et que te dit ton coeur?
-Je ne sais pas.
-Peut-être que tu cherches tellement que tu ne l'entends pas.
Extrait 3:
-Est-ce que tu m'aimes?
-Oui.
-Veux-tu me rendre heureux?
En lui posant cette question,j'ai senti mon coeur battre la chamade.
-Bien sûr que oui.
-Alors je peux te demander de faire une chose pour moi?
Elle a détourné les yeux,le visage brusquement empreint de tristesse.
-Je ne sais pas si j'en serai capable.
-Mais si tu peux,tu le feras?
...
-Oui.Je le ferai.
...
-Veux-tu m'épouser?
-Les rêves nous parlent,dit Louise.Les rêves, pis les bêtes qu'on rencontre.Ils nous connaissent.Ils savent qui l'on est.oh oui,songea Stéphanie.Ils savent.
-Comment tu l'as trouvé?
-J'ai commencé par appeler la soeur de Caleb qui travaillait au bistro avec toi.Elle l'avait vu une ou deux fois à tes spectacles; évidemment,elle n'avait pas ses coordonnées.Par contre,elle m'a donné le numéro de Julien,ton ancien pianiste.
-Tu as appelé Julien?!
-Oui.Il savait déjà qui j'étais,ç'a l'air...Quand j'ai voulu avoir le numéro de ton grand-père,il m'a demandé une bonne raison de me le donner.
-...Et tu lui as dit quoi?
Il prend une longue pause.
-Que je t'aime.
Je suis émue.Je prends conscience de tout ce qui se passe et là,je ne peux m'empêcher de me mettre à pleurer.
-Je t'aime,Alice.Je ne peux pas te sortir de ma tête...Et je ne veux pas non plus.Je suis prêt à tout,même à t'attendre.Si tu pars,je vais comprendre,mais je vais te chercher longtemps.
...
-Tu as la permission de t'en aller...continue-t-il,ou bien tu m'embrasse immédiatement.
J'éclate de rire,un rire mêlé à un sanglot étouffé.Je chasse les larmes de ma joue avant de balancer ma bière dans l'herbe et de m'élancer pour l'embrasser plus fort.Il essuie mes larmes récalcitrantes avec ses pouces et appuie son front contre le mien.Les yeux fermées,il murmure:-Je m'excuse.
Je ris et ravale mes larmes:
-Tais-toi.
Et je l'embrasse de nouveau,dans une étreinte infiniment longue,qui s'étire jusqu'à ce que le soleil prenne le relais de lampe à l'huile...
Page: 318-319-320